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ICC, gaming, e-sport

Marseille, capitale de l’e-sport pour 4 jours à l’occasion des DreamHack Masters Corsairs

Ce sont les 16 meilleures équipes internationales qui s’affrontent pendant 4 jours (du 18 au 22 avril) au Dôme de Marseille à l’occasion des DreamHack Masters Corsairs 2018.

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Ce sont les 16 meilleures équipes internationales qui s’affrontent pendant 4 jours (du 18 au 22 avril) au Dôme de Marseille à l’occasion des DreamHack Masters Corsairs 2018. Sur le circuit e-sportif mondial, c’est l’une des plus grosses compétitions. 8 500 spectateurs sont annoncés. Et à la clé : un « cash prize » (récompense) de 250 000 $ pour le vainqueur.

Marseille plutôt que Las Vegas ou Rio
Marseille a en effet de quoi se réjouir car cet événement majeur dans le monde des compétitions de jeux vidéo ne se déroule que deux fois par an : Pour 2018, Marseille et Stockholm ont été désignées comme ville hôte des DreamHack Masters Corsairs. Les villes qui étaient candidates face à Marseille étaient Las Vegas, qui avait déjà organisé un Masters en 2017, et Rio de Janeiro. Le choix a été validé pour augmenter d’une part le nombre de villes organisatrices et pour récompenser d’autre part les équipes françaises de leurs victoires lors de DreamHack antérieures. Il est vrai aussi que la cité phocéenne est l’une des premières places européennes en nombre de joueurs, la communauté Counter Strike : Global Offensive (CS : GO), jeu choisi pour les DreamHack Masters Corsairs 2018, est très forte à Marseille et fut un argument décisif dans la décision. Marseille collabore donc d’un point de vue logistique et fournit le lieu tout en assurant la communication dédiée à l’événement.

C’est quoi les Dreamhack Masters ?
Créées en 2016, les DreamHacks Masters Corsairs sont l’apogée du circuit des DreamHacks (8 Opens + 2 Masters) et à la différence des DreamHacks Open, ouvertes à tous les joueurs, les Masters sont réservées aux équipes professionnelles, 16 exactement. C’est la compétition e-sportive la plus prestigieuse. Pour 2018, les deux compétitions Masters se déroulent sur un seul jeu, CS: GO. Ce n’est autre que le FPS (first person shooter), l’un des jeux le plus joué au monde.

16 équipes sont en compétition pour 250 000 $ de récompense
La compétition se déroule en deux étapes. Du 18 au 20 avril, 16 équipes parmi les meilleures mondiales vont s’affronter lors des phases éliminatoires. Les phases finales auront lieu ensuite les 21 et 22 avril. Une seule équipe remportera la prestigieuse coupe et les 250 000 $ de récompense.
Ce sont les phases finales qui sont ouvertes au public, et plus de 8 500 spectateurs sont attendus au Dôme, mais c’est surtout en ligne, sur le Net, où l’événement va générer le plus d’intérêt avec en moyenne 60 millions de vues sur Twitch. C’est toute la planète du jeu vidéo qui aura les yeux rivés sur Marseille.

Liste des 16 équipes présentes à Marseille :
G2 Esports, Astralis, mousesports, SK Gaming, FaZe Clan, Cloud9, Team Liquid, Na’Vi, Gambit, Ninjas in Pyjamas, Fnatic, EnVyUs, TyLoo, Space Soliders, Valiance & Co, Renegades.

Les tarifs d’entrée vont de 45 à 159 euros.

 

 

L’e-sport est en pleine expansion, dans le monde, mais aussi en France

D’après une étude du cabinet SuperData réalisée par PayPal, le revenu généré par l’e-sport en France est estimé en 2016 à 22,4 millions de dollars et le taux de croissance est de 14 %. L’e-sport hexagonal pèsera ainsi près de 28,8 millions de dollars d’ici 2018.
Selon France E-sport, le marché français a franchi dès 2016 le milliard d’euros de chiffre d’affaires en hausse de 30%.
Le nombre de fans de e-sport est également en augmentation : ils sont actuellement près de 1,4 million de spectateurs.
Et selon l’association France eSport, les joueurs français sont entre 700 et 850 000, ce qui place ce sport entre le golf et le rugby.

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Ecosystème

Allauch : Sportall, la nouvelle plateforme OTT arrive dès septembre sur le marché des médias sportifs

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Présentée en avant-première au début de l ’année lors de la Global Sport Week, à Paris, la plateforme audiovisuelle numérique Sportall arrivera officiellement sur le marché français à la rentrée de septembre. Implantée à Allauch, aux portes de Marseille, et incubée à l’incubateur marseillais Belle-de-Mai, Sportall, qui finalise sa première levée de fonds, se positionne comme l’unique solution bout-en-bout pour la production, la promotion et la diffusion d’évènements sportifs pros et amateurs.

La plateforme OTT de tous les sports

Sportall n’est pas une chaîne de sport avec un flux continu : La plateforme OTT (« Over-the-top », sur internet) est gratuite et proposera en ligne des compétitions sportives en direct et accessibles en replay, des reportages ou des interviews. Les ayants droit sportifs (fédérations, marques, clubs, créateurs de contenus) utiliseront Sportall pour produire, promouvoir et diffuser mieux et à moindre coût leurs évènements sportifs en live et leurs vidéos (VOD, Replay, tutoriels…), avec toutes les fonctions nécessaires pour démultiplier et monétiser leur audience sur internet (sans les limites et contraintes de YouTube, Facebook et autres). De plus, l’application multi-écrans Sportall, à télécharger dans les stores dès sa sortie commerciale à la rentrée, permettra d’être connecter directement aux fans, en grande majorité des jeunes, et entretenir ainsi des relations directes avec eux. Grâce à Sportall, fédérations, clubs, associations, coaches, athlètes de tous les sports, vont pouvoir augmenter considérablement leur visibilité, dans un univers médiatique très largement dominé par les sports Premium.
‘’Il était temps qu’une solution, dotée des toutes dernières technologies et au modèle économique extrêmement flexible, s’attaque aux sports non premium », souligne le PDG de Sportall, Thierry Boudard‘’Il faut savoir que les fans de ces sports en manque de visibilité médiatique sont environ 10 millions en France et plus de 50 millions en Europe. C’est donc un marché très prometteur pour une solution qui rassemble tous ces sports dans une seule plateforme, et leurs fans dans une seule base d’utilisateurs‘’.
‘’Notre ambition est d’apporter un nouveau média du sport, avec un modèle économique permettant la diffusion et la monétisation tous les sports’’, conclut le PDG de Sportall.

Sportall propose le kit Sportall et crée le réseau Sportall Procasters

En complément de sa plateforme technologique, Sportall va plus loin en proposant depuis le début de l’année des outils et services de captation digitale légère et des fonctionnalités de promotion et de story telling avancées.
‘’La captation des images d’une compétition est un problème majeur pour les fédérations ou les organisateurs d’événements’’, explique Thierry Boudard. ‘’Grâce à la technologie, nous proposons des solutions légères et 5 à 6 fois moins chères que la production traditionnelle’’. Le coût s’élève entre 500 euros et 3 000 euros par journée avec la possibilité d’intégrer des commentaires. Le Kit Sportall est composé de produits de captation simples et utilisables par tous ; une mini-régie sans fil permettant de produire localement un flux en direct multi caméras, avec commentateurs, incrustations des scores, toutes les fonctionnalités pour de la captation vidéo sportive en Live. Ce kit a déjà permis de diffuser les évènements sportifs des premiers clients, faisant chacun plus de 50 000 vues sur YouTube.
Sportall a également créé son réseau national de vidéo production, le réseau Sportall Procasters, constitué de sociétés de production et de micro-entrepreneurs expérimentés dans la captation sportive, et équipés de la technologie Sportall. Ce réseau est capable de produire n’importe quel évènement sportif, partout en France, en s’adaptant au budget du client, et apporte toutes les compétences pour la production vidéo-sportive : cameramen, réalisateurs, monteurs, commentateurs.

Une vingtaine de sports disponibles sur l’application avant la fin de l’année 2020 

‘’Plus d’une dizaine de fédérations sportives ont déjà ou vont signer chez Sportall avant le lancement, et nous sommes également en discussions avancées avec des ligues professionnelles » indique Pierre Debleme, Directeur commercial et marketing de la start-up. Parmi elles, la fédération française de Natation, la fédération française de Lutte, l’AFTEQ, l’association française de Teqball et la fédération française de ski nautique et Wakeboard sont déjà clientes de Sportall. La Fédération Française de Lutte et Disciplines Associées a été la première à adopter la solution Sportall il y a quelques mois. « Le constat est simple aujourd’hui. Nous sommes délaissés par les médias traditionnels, fait remarquer Alain Bertholom, le Président de la Fédération Française de Lutte et Disciplines Associées.

Des athlètes de choix pour ambassadeurs

Aux côtés des fédérations, bon nombre d’athlètes français adhèrent aussi à la solution Sportall et n’hésitent pas à prêter leur image à la start-up. Malia Metella, ancienne championne de Natation, qui a remporté la médaille d’argent du 50 mètres nage libre aux Jeux olympiques d’été de 2004 est une des associées de la jeune pousse depuis le premier jour et est directement impliquée dans la préparation des JO à Paris. Ont également rejoint les rangs de Sportall, en tant qu’ambassadeurs : Manon Costard, Championne du Monde de ski nautique ; Djihène Abdelilah, championne du monde de grappling NoGi 2015 ; Nathan Paulin, slackliner et spécialiste de la highline ; Hugo Tormento, Swimrunner ; Pauline Déroulède, championne en tennis fauteuil ou encore Morgan Bourc’his, Triple Champion du Monde de plongée en apnée.

Un modèle économique vertueux

Financée par la publicité via une régie extérieure, le business-modèle est résolument tourné vers le fan qui aura accès à l’appli gratuite, et qui pourra potentiellement s’abonner à une version premium pour plus de contenus, plus de fonctionnalités, et moins de pubs.
Pour les ayant droits, c’est un véritable cercle vertueux que propose Sportall avec une formule simple et commune à tous les sports et un partage des revenus à la clé. Agréger, mutualiser, monétiser. Telle est la recette Sportall.
www.sportall.fr

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Accélérateur, incubateur, pépinière

[Vidéo] Marseille : L’accélérateur M lance sa 3ème cohorte de start-up et fait évoluer son programme d’accompagnement

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L’Accélérateur M, M pour métropole, a ouvert ses portes à Marseille il y a un an, en février 2019 plus exactement. Situé au Castel, ce bâtiment Art déco de l’ancienne Compagnie Générale Transatlantique, à la Joliette, qui fut aussi le siège de la SNCM, l’accélérateur de la Métropole Aix Marseille Provence a déjà accompagné sur cette période 27 start-up, dont deux étrangères, en deux cohortes.
Elles ont bénéficié pendant 4 mois du programme d’accélération M’PowerUp, un programme d’accompagnement personnalisé, mêlant expertises, coaching, mentorat, expérimentations, mise en réseau…une prestation à la carte pour « gagner du temps » jugé par les premières start-up accompagnées comme ‘’très intéressant, très intense mais 4 mois c’est trop court ! ’’.
L’Accélérateur M a donc revu sa copie et décidé de faire évoluer son offre pour les prochains candidats. M’PowerUp durera désormais 8 mois avec 3 niveaux d’accélération : Mach 1 pour la pré-accélération, Mach 2 pour l‘accélération et Mach 3 pour l’hyper accélération.
Dans quelques semaines, l’Accélérateur M va accueillir sa 3ème cohorte actuellement en phase de recrutement. Un appel à candidature a été lancé début mars, il court jusqu’au 26 mars date à laquelle le comité de sélection arrêtera la liste d’une trentaine de start-up qui composera la seule et unique session d’accompagnement de 2020 dont le démarrage est prévu dès le mois d’avril.
Rappelons que pour intégrer l’Accélérateur M, les start-up doivent œuvrer dans l’une des trois thématiques imposées par l’Accélérateur métropolitain : la mer ou l’économie bleue (robotique marine, dépollution, gestion portuaire, traitement de l’eau, aquaculture, sécurité maritime, sports nautiques, tourisme maritime…), les industries créatives ou culturelles (cinéma, musique, radios, télé, édition, effets spéciaux, médias, jeux vidéo, arts et spectacles, eductech, e-sport, datamining, décoration, design, mode, luxe…), et l’urbanisme et la qualité de vie (gestion de l’eau, énergies, BIM, smartgrids, gestion des déchets, qualité de l’air, silver économie…).

Pour candidater : https://accelerateurm.com/

[Vidéo] Franck Araujo, directeur de l’Accélérateur M dresse le bilan de la première année d’existence et évoque l’appel à candidatures en cours.

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Ecosystème

Monaco : Peace and Sport et My Coach lancent l’application Peace and Sport, un outil de paix par le sport

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A l’occasion du Forum International Peace and Sport qui s’est déroulé du 11 au 13 décembre à Monaco, la start-up niçoise située au cœur de l’Allianz Riviera, My Coach a présenté une application innovante, nommée « Peace and Sport X My Coach« , dont la mission est de promouvoir la paix grâce à des programmes sportifs progressifs et annuels. Objectif : créer les conditions du « mieux » vivre ensemble par la pratique sportive.

Didier Drogba, Joël Bouzou et Cédric Messina (DR / My Coach)

Aux côtés de  Joël Bouzou, président et fondateur de Peace and Sport et Cédric Messina, PDG de My Coach, un  footballeur engagé pour la paix durant sa carrière, Didier Drogba, devenu en 2018 vice-président de Peace and Sport, une organisation non-gouvernementale (ONG), basée dans la Principauté, qui veut, au travers du sport et de ses valeurs, propager la paix dans le monde.
‘’L’application Peace and Sport développée par My Coach est un véritable assistant pour les éducateurs explique Joël Bouzou. ‘’En plus de leur donner accès à la méthodologie Peace and Sport, l’application constitue une aide précieuse dans la gestion et l’organisation d’un groupe. Le premier développement de l’application porte sur la paix par le football avant d’explorer d’autres sports en partenariat avec les fédérations internationales.’’
A l’occasion du lancement officiel, des sportifs de haut-niveau comme Marlène Harnois (taekwondo), Florent Pietrus (basket) et Hugo Bonneval (rugby) ont enfilé leur tenue d’entraînement et ont testé en grandeur nature, sur la pelouse du Stade Louis 2 de Monaco, l’application « Peace and Sport X My Coach ».  Avec près de 50 enfants des écoles monégasques, ils ont mené des activités d’échauffement, de pratique sportive et de retour au calme intégrant un volet pédagogique autour de l’expression de soi, verbale ou gestuelle, l’écoute, la confiance et le respect de l’autre.

[Vidéo] Présentation de l’application Peace and Sport

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