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Economie numérique

Coup d’envoi du programme Attract Talent à Londres

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Le 27 avril prochain sera présenté pour la première fois à Londres le programme Attract Talent en faveur du développement économique de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Un lancement au sein du Google Campus avec la French Tech Londres pour un programme d’avenir qui vise à structurer une communauté de talents à travers le monde.
Soutenu par la région Paca, piloté par l’ARII (Agence Régionale pour l’Innovation et l’Internationalisation des entreprises en Provence-Alpes-Côte d’Azur) en partenariat avec Provence Promotion et initiée dans le cadre de la French Tech, Attract Talent a déjà mobilisé une quinzaine d’entreprises et 150 profils pour participer à l’événement. Un réseau d’ambassadeurs et d’acteurs économiques locaux témoigneront du potentiel du territoire et exposeront des opportunités d’investissements. Prochainement, une plateforme digitale « State of Art » sera mise en ligne pour faciliter les collaborations. Elle permettra aux talents à l’international de se joindre à des entreprises et des projets régionaux en disposant de l’information la plus complète et la plus actualisée. Un moyen de plus pour convaincre les profils audacieux de rejoindre la communauté Attract Talent.

La Provence, une région d’avenir qui attire et retient les talents… C’est ce qu’espère Pierre Distinguin, directeur du programme Attract Talent qui tend à réunir start-up, PME et profils de haut niveau autour du développement économique de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Son lancement se déroulera à Londres le 27 avril au sein du Google Campus, haut lieu du high-tech, de la créativité et de l’innovation. Un choix cohérent et symbolique pour faire connaître ce programme qui s’adresse à des profils exerçants dans des écosystèmes compétitifs, des régions fortes économiquement et influentes au niveau mondial. Cet événement sera sous forme d’after-work (18h-21h) avec 2 tables-rondes et un cocktail de networking. Son objectif est de démontrer que la région offre un environnement privilégié pour vivre et travailler, un cadre de vie propice à la réussite et aussi d’inciter les talents depuis l’étranger à s’impliquer dans l’économie provençale.

Les projets de Smart City à Marseille sur Euroméditerranée ou à Nice avec l’Ecovalley sont par exemple de nature à séduire de l’autre côté de la Manche. Mais d’autres investissements sont aussi en mesure de capter l’attention d’entrepreneurs, de cadres ou de jeunes diplômés notamment dans les domaines de la santé et du bien-être avec l’Immunopôle à Marseille ou le Centre Innovation et Usages Santé à Nice ou encore l’année Capitale du Sport.

« La région labellisée French Tech puise depuis longtemps sa force dans de nombreux domaines technologiques tels que l’IT, les medtech, ou encore les cleantech mais aussi dans la culture ou le sport. C’est un vivier de compétences et d’innovations. L’ambition d’Attract Talent est de multiplier les « impact players » sur le territoire avec nos entreprises provençales et de favoriser le « matching » entre talents et start-up ou PME. Nous avons déjà recensé 50 têtes de réseau françaises ou francophiles parmi les 400.000 français vivant à Londres qui pourront refléter notre dynamisme et qui contribueront au développement de cette région en investissant ou en travaillant avec les entreprises locales » explique Pierre Distinguin.

Des actions pour faciliter les rencontres

Un réseau d’ambassadeurs de l’innovation et de l’enseignement supérieur est impliqué dans le programme Attract Talent : les 4 écuries French Tech régionales d’Aix-Marseille, d’Avignon, de la Côte d’Azur et de Toulon pour répondre aux besoins des start-up, sourcer des profils de haut niveau et les guider dans un écosystème compétitif en partenariat avec les agences de développement économique régionales, les principaux pôles de compétitivité et les grandes écoles de commerce comme Skema et Kedge Business School. Plus la communauté grandit, plus l’attractivité du territoire se renforce et facilite la croissance de nouveaux secteurs économiques et culturels. Ainsi, son rôle d’accélérateur de projets intéresse de plus en plus d’acteurs locaux divers (chefs de laboratoires, responsables de festivals, sportifs de haut niveau…) mais aussi de grands groupes (Pernod Ricard, Airbus Helicopters…).
55 entreprises ont déjà signé pour entrer dans la communauté dont Supersonic Imagine (une entreprise phare en Europe dans le domaine de l’imagerie médicale) ou encore Black Euphoria (qui prône le transmedia et le storytelling) et une centaine supplémentaire devrait rejoindre le réseau fin 2017. De quoi faciliter les rencontres fructueuses avec les 150 talents déjà inscrits souhaitant investir ou se développer dans une région d’avenir. Afin d’optimiser l’échange entre les entreprises et les talents, une plateforme digitale « State of the Art » avec des profils sourcés en amont et le référencement de centres d’intérêts communs sera mise en place prochainement.

D’autres événements Attract Talent sont à venir, dont la French Tech week et Host Talent qui consiste à accueillir un talent dans une entreprise locale avec une mise en réseau personnalisée et une présentation de projets adaptés. C’est dans le Vaucluse qu’aura lieu le premier Host Talent.
En savoir plus et rejoindre communauté :http://attracttalentlondon.strikingly.com/

Inscription à l’événement :
https://www.eventbrite.com/e/attract-talent-london-connecting-professionals-opportunities-between-london-the-south-of-france-tickets-19527812212

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Economie numérique

Syntec Numérique prévoit un recul de 4,6% du secteur IT en 2020 et table sur 1% de croissance en 2021

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Lors de sa conférence semestrielle tenue jeudi 3 décembre, Godefroy de Bentzmann, président de Syntec Numérique, a présenté un bilan 2020 du secteur IT moins négatif que prévu malgré le ralentissement provoqué par la crise sanitaire. S’appuyant sur les résultats d’une enquête téléphonique commandée à IDC et réalisée du 5 octobre au 6 novembre 2020 auprès de 235 entreprises du secteur du numérique, l’organisation professionnelle des acteurs du numérique prévoit un recul de 4,6% du chiffre d’affaires de ses adhérents sur l’ensemble de 2020, avant un rebond de 1% en 2021.
« Le marché du numérique résiste mieux que la moyenne des secteurs en France, car il est stimulé par la transformation digitale des organisations », souligne Godefroy de Bentzmann dans un communiqué.
Syntec Numérique n’a pas manqué de souligner que c’était beaucoup mieux que les -6,7% anticipés lors de son enquête de printemps et que le secteur ferait deux fois mieux que le reste de l’économie. Cela n’en reste pas moins une déception pour un secteur qui affichait encore une croissance de 4,2% en 2019. Ainsi, cette année, 41% des entreprises interrogées seront en décroissance. Et seulement 33% en croissance.
La situation est par ailleurs contrastée selon les métiers : Ce sont les éditeurs qui ont le mieux résisté avec un chiffre d’affaires en hausse de 0,3% en 2020 (contre 6,6% en 2019). A l’inverse, les entreprises de services du numérique (ESN) reculent de -4,2% (contre +3,1% en 2019).  Mais ce sont les entreprises d’ingénierie et de conseil en technologies (ICT) qui sont les plus touchées par le ralentissement économique. En 2020, leurs revenus ont plongé de 12,3% en raison de leur lien avec les secteurs en crise de l’aéronautique et de l’automobile durement touchés par la crise sanitaire. Les SMACs (social, mobilité analytique, Cloud) sont restés les moteurs de l’activité, avec une croissance estimée à +6,4% par rapport à 2019 (+12,2% pour le seul cloud). Dans ce secteur, le risque de suppression d’emplois est présent et plus de 10 000 postes sont en danger, selon le Syntec Numérique.

Rebond attendu pour 2021

Sur 2021, Syntec Numérique prévoit une croissance de 1%, mais ce rebond « reste limité et conditionné par l’évolution de la crise sanitaire et à la situation économique des clients ». La situation est pour l’instant contrastée suivant les différents acteurs de la filière. Cette croissance devrait être portée par une augmentation des dépenses IT « qui connaîtront une hausse importante pour 53% des organisations (clients & prospects) en 2021« , selon le Syntec Numérique. Les éditeurs de logiciels devraient repartir plus vite (+3,8%), suivis par les ESN (+1%) puis l’activité de conseil en technologie qui devrait toujours être en décroissance l’année prochaine (-3,3%).
Sur le front de l’emploi, les recrutements repartent à la hausse avec de nouveaux des tensions sensibles sur certains profils (notamment sur les métiers de la cybersécurité, l’intelligence artificielle, l’IoT…). Seuls bémols, la croissance sera limitée par l’absence de croissance embarquée des effectifs sur la partie conseil et le fait qu’un certain nombre d’entreprises clientes se sont fixé comme objectif de renégocier leurs contrats fournisseurs. ‘’Deux entreprises sur trois’’ dans le ‘’numérique disent avoir stabilisé ou augmenté leurs effectifs en 2020’’, selon le Syntec numérique.

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Economie numérique

Nice : Qwant s’engage pour un monde meilleur en signant le manifeste Tech For Good

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Soucieux de protéger la confidentialité des données de ses utilisateurs, Qwant est plus que jamais en phase avec l’initiative « Tech For Good ». Avec 49 autres entreprises engagées, le moteur de recherche éthique souhaite répondre aux grands enjeux de notre temps à savoir, réduire la pauvreté, donner un accès à une éducation de qualité pour tous, lutter contre le réchauffement climatique et donner accès à une énergie propre à un coût abordable. Pour cela, il vient de rejoindre Tech For Good France, un réseau d’entrepreneurs et d’investisseurs qui développent et financent des solutions Tech et digitales afin d’accélérer la transition vers une société plus durable et plus responsable. De ce fait, Qwant est signataire du manifeste du même nom, pour répondre aux objectifs de développement durable inscrit dans l’agenda « Horizon 2030 » fixés par l’ONU. Au cœur de cette approche, une conviction : la technologie ne profite à la société, aux citoyens et aux consommateurs que si elle respecte leur vie privée, leur autonomie, leur liberté de choix et de compréhension.
‘’Ce manifeste Tech For Good représente toutes les valeurs que nous nous efforçons de mettre en place depuis la création de Qwant : éthique et responsabilité, souligne Jean-Claude Ghinozzi, le patron de Qwant. ‘’Au-delà du défi entrepreneurial, c’est un véritable engagement sectoriel des plus grands acteurs mondiaux, pour faire de la technologie le socle inébranlable sur lequel reposeront, les principes fondamentaux d’un monde meilleur.’’

Le défi du manifeste

Les 50 entreprises s’engagent à :

  • coopérer avec les efforts de la communauté internationale, dans le respect de l’État de droit et conformément à un devoir de vigilance et de transparence, pour mettre en place l’interdiction des contenus pédopornographiques, des contenus terroristes ou d’extrême violence en ligne, la réglementation des contenus haineux, la désinformation et la manipulation des opinions ;
  • mettre en œuvre dans leurs produits et services des principes tels que la “sécurité par la conception » et la « vie privée par la conception », la durabilité et la protection de la liberté de choix des consommateurs ;
  • assumer leurs responsabilités économiques et sociales en contribuant équitablement aux taxes dans les pays où ils opèrent ;
  • soutenir les efforts de recherche mondiaux pour développer une compréhension commune de la technologie, et organiser leurs recherches en consultation ou en collaboration avec les scientifiques et les citoyens, par exemple par l’ouverture et le partage des données en toute confiance et l’interopérabilité des plateformes ;
  • profiter de la révolution technologique pour relever les défis sanitaires et environnementaux ; pour contrôler, réduire et gérer les incidences de leurs activités sur l’environnement ; pour soutenir la transition écologique de leurs industries respectives ; et pour poursuivre les objectifs des Nations unies en la matière ;
  • veiller à ce que leurs technologies favorisent l’intégration sociale, professionnelle et économique, fassent progresser l’accessibilité de leurs services à tous, en particulier aux personnes handicapées et aux personnes traditionnellement marginalisées ou exclues, et réduisent partout la fracture technologique numérique ;
  • promouvoir la diversité et l’égalité des chances, notamment en ce qui concerne la justice sociale, l’inégalité des richesses, l’égalité des sexes et des races, l’affiliation religieuse et l’orientation sexuelle dans leurs stratégies d’entreprise, ainsi que dans la conception de leurs technologies et processus, dans la mise en œuvre de leurs solutions, dans l’expérience de l’utilisateur et dans la chaîne de valeur ;
  • soutenir les efforts visant à élargir la culture technologique, à éduquer le plus grand nombre possible de personnes à une connaissance raisonnée et à une utilisation responsable des données et des technologies et, à cet effet, renforcer la coopération entre les gouvernements, les entreprises, les universitaires, les communautés technologiques et la société civile.
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Cluster, association

Syntec Numérique et Tech‘In France fusionnent pour devenir l’acteur de référence dans le numérique

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La décision était attendue de longue date. Deux des principales organisations de la filière Tech en France, Syntec Numérique et Tech’In France ont annoncé vendredi 27 novembre leur intention de fusionner en 2021. Les conseils d’administration des deux organisations professionnelles du numérique en France ont entériné cette fusion. Elle devrait donner naissance à une nouvelle structure et marque, dont le nom n’est pas encore communiqué, d’ici le 2ème trimestre 2021. Son cadre juridique et sa nouvelle gouvernance restent encore à définir.

Les présidents de Tech’In France, Pierre-Marie Lehucher, et de Syntec Numérique, Godefroy de Bentzmann (Crédit Photo : Beger-Levrault/Syntec Numérique)

Déjà engagés dans des travaux communs, les représentants d’entreprises du numérique ambitionnent de faire de cette nouvelle entité l’interlocuteur de référence des entreprises du numérique pour les pouvoir publics en France et en Europe. La nouvelle entité représentera  65 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 600 000 emplois directs (éditeurs, SSII, intégrateurs, fournisseurs de services…).
Syntec Numérique et Tech’In France ont ciblé 5 grands enjeux, jugés prioritaires pour la France en matière de numérique, auxquels ils pensent pouvoir répondre par cette fusion : la place du numérique dans la société ; la France numérique en Europe ; la croissance et la compétitivité de nos entreprises du numérique ; la transformation numérique de toutes les entreprises et administrations, vecteur de croissance de l’économie ; les enjeux sociaux, sociétaux et écologiques du numérique.
Rappelons que le Syntec Numérique a été créé en 1969 sous le nom Syntec Informatique (devenu Syntec Numérique en 2010) pour représenter des entreprises de services du numérique (ESN), des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies. Aujourd’hui, il représente 2 000 adhérents réalisant 80% du chiffre d’affaires total du secteur. L’association Tech in France, quant à elle, a été créée en 2006 sous le nom d’AFDEL (Association française des éditeurs de logiciels) et comptabilise aujourd’hui 400 entreprises adhérentes. Sa mission est de rassembler et représenter des éditeurs de logiciels, de services internet et de plateformes.

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