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Accélérateur, incubateur, pépinière

L’Incubateur Belle de Mai intègre la 1ère promo de La Manufacture, son nouveau programme d’accompagnement

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Il y a une dizaine de jours, l’Incubateur multimédia Belle de Mai à Marseille recevait la 1ère promotion de son nouveau programme d’accompagnement. Baptisé La Manufacture, clin d’œil à la Manufacture de Tabac anciennement installée à la Belle de Mai, il fait suite à la sélection récente de l’Incubateur par le Ministère de la Culture. Ouvert depuis son origine aux porteurs de projets dans les domaines de la technologie de l’information et de la communication, l’Incubateur s’adresse maintenant aux médias émergents et technologies associées, élargissant ainsi son spectre d’accompagnement.
Nouveau financement, ouverture à un autre secteur, plus de projets suivis : l’incubateur franchit un nouveau cap. L’occasion pour l’équipe de revoir complètement son offre d’accompagnement.

Un challenge pour expérimenter et structurer une démarche entrepreneuriale
Pour ce nouveau programme, l’Incubateur Belle de Mai a développé sa propre méthodologie et sa propre vision des modèles entrepreneuriaux en mettant en place, comme sur un site de production, un processus complet de gestion, d’exécution, d’entrainement et de suivi de chaque projet.
Après sélection de leur dossier, les porteurs de projets participent au challenge « 8 Clos ». A la façon d’un Escape Game, ils vivent le parcours accéléré de la création d’un projet tech. Cette journée a pour but de révéler leur esprit entrepreneurial et leur appétence à manipuler le numérique.

Une offre d’accompagnement de nouvelle génération !
Un programme intense, d’une durée de 3 mois, en collectif, avec un parcours personnalisé adapté aux objectifs individuels, va permettre à l’ensemble des participants de structurer leur réflexion sur le produit dès le stade de l’idée. A la façon Half Life, le parcours est entièrement ‘’scripté’’ pour entreprendre dans les meilleures conditions.
Ce premier cycle est l’occasion de les confronter à la réalité de leur proposition de valeur.
Il propose un rythme intensif et hebdomadaire. Chaque participant développe ses compétences à travers les jalons proposés et reçoit de l’expérience en échange.
Passés ces 3 premiers mois, ils doivent démontrer le potentiel de leur concept devant un Comité d’experts qui statut sur l’intégration des projets à la suite du programme, pour une durée de 15 à 21 mois.
« En les soutenant très en amont, nous pouvons défricher leur idée, mieux qualifier leurs projets et leur donner tout de suite les bonnes clés pour avancer. L’objectif est de les aider à transformer une idée en vrai projet de création d’entreprise » déclare Céline Souliers, directrice de l’Incubateur.

Placer le collectif au cœur de l’accompagnement
Afin de développer les notions d’entraide, de travail en équipe, d’échanger sur l’avancée d’un projet, mais aussi d’initier un maximum d’émulsion, l’incubateur a choisi de mettre l’accent sur le collectif. Un collectif présent tout au long du parcours, pour se faire croiser le monde des technologies de l’information et la communication, et celui des médias émergents. Ces heures d’accompagnement supplémentaires permettront d’entrer dans le détail de toutes les étapes de construction d’un projet et de proposer encore plus d’ateliers de perfectionnement (pitch ton projet, session de partage, nager dans l’écosystème…). « Une entreprise ne se construit pas seule. Un entrepreneur doit savoir s’entourer, déléguer et former une équipe aux compétences diverses, et complémentaires des siennes. C’est aussi cet esprit que nous voulons leur insuffler » poursuit Céline Souliers.

Offrir aux porteurs une avance remboursable, sans entrer au capital de l’entreprise
Pour financer leur projet, les participants débloqueront, après le Comité de Sélection, une avance remboursable pouvant aller jusqu’à 40 000 €. L’incubateur prend en charge les prestations nécessaires à la création et au développement de leur projet. L’avance est remboursable, uniquement en cas de succès. L’incubateur est l’une des seules structures à aider financièrement des porteurs de projet sans prendre de parts dans la future entreprise.

Une 2ème promotion devrait commencer en mars 2019. Pour cela, l’Incubateur lancera prochainement un appel à candidatures. Rappelons que depuis sa création en 1999, l’Incubateur a accompagné 194 porteurs de projets, contribuant à la création de 145 entreprises, dont 72% sont toujours en activité. L’année dernière, les entreprises accompagnées ont cumulé plus de 35 millions € de CA.

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3D, VR, AR

Découvrez Mimesis, le masque de protection 100% réalisé sur-mesure, réutilisable et imprimé en 3D

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Mimesis, c’est un masque de protection respiratoire pour praticiens médicaux, 100% sur-mesure, lavable des centaines de fois et imprimé en 3D à la forme de votre visage. Cette simple idée est née il y a 7 mois lors d’un brainstorming autour du Covid-19 mené au sein de l’équipe de la société Inovsys, spécialiste dans conception de pièces spéciales pour l’aéronautique ou l’énergie et implantée sur le Technocentre Henri Fabre, accélérateur d’innovations à Marignane. Ce masque est depuis réalisé par Inovsys en collaboration avec 3D Medlab également sur le Technocentre, spécialisée dans la conception et la production de dispositifs médicaux en impression 3D, et la société montpelliéraine Anatoscope, qui développe des solutions logicielles pour convertir tout type d’image médicale d’un individu en son avatar anatomique 3D en vue de la production de prothèses.

Le confort inégalable du sur-mesure

Sur la base d’un postulat plus poussé que la réalisation de produits standards qui inondent déjà le marché, la flexibilité de la technologie 3D est utilisée pour personnaliser au maximum le masque afin de le conformer à la morphologie du visage de son porteur et apporter un confort inégalable même sur de longues durées.
Nombre de praticiens du monde médical et paramédical vont devoir désormais se protéger quotidiennement et durant plusieurs heures de projections susceptibles d’être contaminées. Dentistes, orthodontistes ou infirmières font partie des premiers concernés auxquels s’ajoutent désormais tous les salariés d’entreprise qui doivent porter le masque quotidiennement.
Après de nombreuses itérations de designs et d’optimisations fonctionnelles, ce sont deux modèles de masques imprimés en TPU (polyuréthane thermoplastique) souple biocompatible, un élastomère aux propriétés adaptées à cet usage, et un dispositif de grille portant un filtrant haute technicité, qui sont proposés. Chaque masque est compatible avec le port d’équipements de protection individuelle et n’entraine pas la formation de buée sur les lunettes ni d’atténuation de la voix.
Pour le produire, il suffit de réaliser un scan du visage du porteur réalisable au moyen d’une application sur smartphone avant de le fabriquer par impression 3D.

Filtration garantie UNS1, l’étanchéité en plus

Les kits proposés comprennent un masque sur-mesure imprimé en 3D (avec une option de visière amovible), un système de fixation et un ensemble de filtres certifiés UNS1 par le gouvernement français et lavables 100 fois. Répondant aux exigences requises pour une utilisation professionnelle, les performances de filtration sont équivalentes à celle des masques chirurgicaux (norme NF EN 14683 : filtration > 95% des particules de 3 μm), tout en apportant une excellente étanchéité. Une alternative avec du tissu filtrant FFP2 à usage unique est en cours d’investigation.
Avec un kit complet, vous disposez de 2000 heures d’utilisation, soit 250 jours de protection (pour une fréquence d’utilisation de 8 heures par jour, en changeant de filtre toutes les 4 heures). Le coût à l’utilisation revient à moins de 30 cents.

www.AnatoMask.com

 

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Accélérateur, incubateur, pépinière

TRIBUNE | L’attractivité des territoires : un véritable tremplin pour l’emploi et la compétitivité

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La crise sanitaire que nous traversons a profondément mis à mal nos organisations et amené nombre d’actifs à évoluer et prendre des décisions structurantes qui impacteront leur avenir professionnel. Dans ce contexte, force est de constater que le sujet lié à la « décentralisation » des entreprises hors des grandes métropoles se positionne aujourd’hui comme une réalité concrète.

Accompagner cette transition pour donner un nouveau souffle à l’économie

C’est précisément sur ce point que les territoires ont un rôle central à jouer pour attirer de nouveaux talents et dynamiser l’économie et l’emploi local. En effet, si les actifs sont demandeurs de mobilité en région, encore faut-il qu’ils puissent y exercer une activité professionnelle en rapport avec leurs attentes, notamment dans les métiers à forte valeur ajoutée comme la technologie, les biotechs, la recherche, etc. Au regard de ces éléments, une bataille semble se profiler entre les différentes régions.

Miser sur la qualité des infrastructures

Une chose est sûre, la qualité des infrastructures est une composante clé de l’attractivité des territoires et peut même représenter une véritable marque de fabrique ou vitrine. Mais celle-ci ne peut s’improviser et nécessite à la fois des investissements massifs, une vision d’avenir et un savoir-faire éprouvé. Technopoles, infrastructures de transports, qualité des réseaux IT, espaces verts et offre culturelle sont autant de points clés qui permettront d’offrir des conditions de travail de premier plan aux entreprises et donc d’attirer de nouveaux talents à long terme.

Repenser les espaces de travail et infléchir la législation pour s’adapter à la nouvelle donne

La crise de la COVID 19 aura mis en avant la possibilité de travailler différemment. En effet, les notions de télétravail, de venue partielle au bureau et de travail hybride font désormais partie de notre quotidien. En ce sens, les territoires, accompagnés de promoteurs innovants, doivent repenser le lieu de travail et créer des bâtiments de nouvelle génération qui pourront accueillir dans des conditions de flexibilité uniques les talents d’aujourd’hui et de demain. Et penser les espaces de travail comme des lieux où favoriser collaboration et ingéniérie collective, des bases arrières de l’entreprise. Il est également essentiel de penser à créer des zones d’activités réellement inclusives qui permettent à la population de vivre au centre de zones d’activités attractives et prenant en compte les nouvelles attentes : écologie, bien-être, développement responsable, etc. Les territoires et les entreprises doivent peser de tout leur poids auprès des gouvernements pour que la législation travail s’adapte à ces nouveaux usages, condition essentielle de l’attractivité de notre pays dans un monde où les talents sont globalisés.

Encourager la fertilisation croisée des talents, source de croissance économique et d’innovation 

Enfin, un autre point clé à prendre en compte est directement lié à la capacité d’un écosystème à savoir travailler ensemble, toutes disciplines confondues, pour faire naître de nouvelles opportunités de collaboration sur un territoire, en particulier grâce à l’apport des centres de recherche à l’échelle régionale qui peuvent créer une fabuleuse émulation sur l’économie locale. Mais ce n’est pas tout, s’appuyer sur un tissu universitaire et un enseignement supérieur de qualité sera également l’assurance de cristalliser localement des compétences et talents qui formeront les élites de demain et donneront une véritable identité aux territoires régionaux. Il s’agit grâce à ces acteurs de transformer le modèle de croissance économique, social et environnemental des territoires.

À travers ces différents éléments, on comprend donc parfaitement l’importance pour les régions de renforcer leur attractivité pour se développer à long terme et répondre aux nouveaux défis auxquels nous devrons faire face.

par Dorothée Lamé-Laroche. directrice du développement de la technopole de Sophia Antipolis

 

 

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Accélérateur, incubateur, pépinière

Sophia-Antipolis : F-Reg, GoMecano et Creative Motion intègrent la promo 2020/2022 du Village by CA

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La promotion 2020/2022 du Village by CA de Sophia Antipolis, l’accélérateur du Crédit Agricole est désormais complète suite à l’arrivée de F-Reg, Go Mecano et Creative Motion. Plusieurs start-up innovantes avec un fort potentiel de croissance et ayant fait leurs premières preuves de marché, sont venues ‘’pitcher’’ mardi 8 décembre devant le comité de sélection constitué de ses partenaires Ambassadeurs*. F-Reg, Go Mecano et Creative Motion ont été retenues pour intégrer le programme d’accélération et complètent une promotion 2020-2022 bien garnie, riche de 22 startups actuellement dans les murs du Village.
Le programme de 24 mois du Village by CA, monté en partenariat avec la CCI Nice Côte d’Azur, est axé sur la montée en compétence des dirigeants dans le domaine de la vente, de la stratégie, de la planification opérationnelle et de la finance d’entreprise. Il permet aux startups, PME, ETI, grands groupes, institutionnels, grandes écoles et universités de coopérer, innover et se développer ensemble.

Les 3 startups sélectionnées

–        F-Reg (Flow Regulation Systems) : Fondée par Emmanuel Curinier et Thierry Courbon en 2014, implantée dans le département des Alpes-Maritimes, il s’agit d’une solution de stockage innovante permettant de lutter contre les inondations urbaines et de prévenir les pollutions par temps de pluie. Avec ses douze salariés, elle commercialise depuis 2018 une vanne de régulation chargée de contrôler les flux d’eau dans les canalisations.

–        Go Mecano : Le garage automobile itinérant créé à Roquefort-les-Pins par Alexandre Nivesse et Mathias Boutsen en 2017 et implanté dans le département des Alpes-Maritimes. Go Mecano est une plateforme tout-en-un permettant aux clients particuliers et professionnels d’obtenir un rendez-vous avec un mécanicien mobile en moins de 72h pour réaliser l’entretien ou la réparation de son véhicule à domicile ou sur site.

–        Creative Motion : Fondée par Lionel Hun en Janvier 2019, Creative Motion conçoit et produit des nouvelles expériences digitales duplicables permettant d’engager émotionnellement les individus et permettant aux marques et aux entreprises de créer un lien particulier avec leurs communautés.

Le Village by CA PCA accompagne désormais 43 startups (dont 21 alumnis) qui ont vu leur croissance commerciale boostée grâce à la synergie entre l’accompagnement proposé et le tissu de partenaires impliqués localement. Le réseau européen de 37 Villages by CA (en France, en Italie et au Luxembourg) permet également de créer des connexions sur l’ensemble du territoire et à l’international.

*Les partenaires ambassadeurs sont SAP Labs France, CGI, CEA Tech, Noeva, Cabinet DSO, EDF, Indosuez, Malongo, Philips Lighting, IBM, Amadeus ou Supralog.

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