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Accélérateur, incubateur, pépinière

[Vidéo] Marseille : l’incubateur Belle de Mai a accompagné plus de 200 porteurs de projets en 20 ans

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Lundi 2 décembre, l’incubateur Belle de Mai à Marseille a fêté ses 20 ans d’existence lors d’une soirée réunissant les entrepreneurs ‘’incubés’’ depuis ces 20 dernières années, les élus, les partenaires, les figures du numérique… Placés sous le signe de l’innovation et du numérique, tout en étant inspirés par la Pop Culture, divers ateliers ont été proposés parmi lesquels une initiation à la réalité virtuelle en collectif réalisée par la startup E2VR, une rencontre avec une Intelligence pas si artificielle, un robot dessinant sur les murs, un retour vers le passé et du Rétro Gaming. Au programme également de cette soirée, les financeurs de l’Incubateur ont remis 6 prix à des entrepreneurs qui ont marqué leur promotion (entre 2004 et 2015).
Depuis sa création en 1999, l’Incubateur a accompagné 205 porteurs de projets, contribuant à la création de 150 entreprises, dont 72% sont toujours en activité et 550 emplois actifs. L’année dernière, les entreprises accompagnées ont cumulé plus de 35 millions € de CA. Parmi elles, citons par exemple Basile Telecom, Sportback, Keeex ou encore AM solutions, qui ont vu le jour dans les locaux de l’incubateur.

[Vidéo] Céline Souliers, directrice de l’Incubateur Belle de Mai, tire le bilan de ces 20 ans tout en se projetant dans le futur

20 ans d’accompagnement
L’Incubateur Multimédia procède de la Loi sur l’Innovation de 1999, visant à promouvoir la valorisation économique de la Recherche publique. Son implantation à Marseille s’inscrit dans la logique du CIADT (Comité interministériel à l’aménagement et au développement du territoire) de décembre 1998, qui a confirmé Marseille comme « pôle national de compétences en industries de l’information et de la communication, dans le domaine en particulier du multimédia éducatif et culturel ».
Les acteurs publics locaux (collectivités territoriales, organismes de l’Education Nationale) comptent parmi les membres fondateurs de l’AGIM (Association de Gestion de l’Incubateur Multimédia), fondée le 11 janvier 2000.
L’Incubateur Belle-de-Mai a reçu les premiers projets en incubation dès le début de l’année 2000. En mars de la même année, il a été labellisé par la Commission Guillaume, et a signé en juillet une convention triennale avec le Ministère de la Recherche. La première création d’entreprise issue de l’Incubateur Multimédia Belle de Mai est intervenue en mars 2001 : Polygonal Design.
En mars 2005, l’Incubateur a rejoint le Pôle Médias Belle de Mai avec des capacités d’accueil accrues.

L’équipe de l’Incubateur Belle de Mai : (de g à d) Manon, Morgan, Maria, Loïc, Céline et Colin.

Changement de cap avec La Manufacture
En 2018 ; l’incubateur lance un nouveau programme d’incubation destiné aux porteurs de projets dans le domaine des médias émergents. Baptisé La Manufacture, clin d’œil à la Manufacture de Tabac anciennement installé à la Belle de Mai, il fait suite à la sélection de l’incubateur par le Ministère de la Culture, dans le cadre du fonds de soutien à l’émergence et à l’innovation dans la presse. Ce nouveau programme fait passer le nombre de projets suivis de 10 à 30/an. En franchissant ce nouveau cap, l’incubateur qui est passé d’une équipe de 3 personnes à 6 aujourd’hui, a mis en place, comme sur un site de production, un processus complet de gestion, d’exécution, d’entraînement et de suivi de chaque projet.
Aussi, après une participation au challenge « 8 Clos », une sorte d’’’escape game tech’’, les promus intègrent un programme intense de 3 mois, en collectif, avec un parcours personnalisé. Ensuite, ils doivent démontrer le potentiel de leur concept devant un comité d’experts qui statue sur l’intégration du projet à la suite du programme, pour une durée de 15 à 21 mois. Pour financer leurs projets, les participants débloqueront, après le comité de sélection, une avance remboursable – uniquement en cas de succès – pouvant aller jusqu’à 40 000 €. L’incubateur prend en charge les prestations nécessaires à la création et au développement du projet.
L’avenir pour l’incubateur Belle de Mai passe aussi par le programme French Tech Tremplin, une initiative qui vise à faire en sorte que l’écosystème French Tech soit aussi riche et pluriel que la société dont il est issu. L’objectif : optimiser les chances de populations jusqu’ici sous-représentées dans ce milieu en mobilisant des financements, des formations et un système de mentorat. La Belle de Mai a été retenu, aux côtés de l’incubateur Les Premières Sud, pour devenir dès janvier prochain l’opérateur local du French Tech Tremplin. La première promotion composée de 12 porteurs de projets se présente à la Belle de Mai dès le 20 décembre.

Zoom sur les 6 entrepreneurs mis à l’honneur lors de cette soirée anniversaire.

Vincent Berge, CEO Crocos Go Digital, cuvées 2004, 2007 et 2018 pour les sociétés Mobile Distillery, Think&Go et CrocosGoDigital.
Mixant Nouvelles technologies et Neurosciences, CrocosGoDigital propose des formations à la Programmation de robots/drones/électroniques/… dédiées à la Stimulation Cognitives, pour les enfants de 5-15ans. Conçues pour booster tous les enfants de façon ludique – y compris les Précoces ou ayant des Troubles d’Apprentissage (‘DYS’) -, les ateliers sont utilisés dans les Ecoles/Centres Aérés/…, et par les Neuro-spécialistes. CrocosGoDigital vient d’être labélisée French Tech Seed, et de recevoir le Handitech Trophy 2019.

Didier Borg, fondateur Delitoon, cuvée 2009.
Créée en 2011, Delitoon est une plateforme dédiée au webtoon : bande dessinée numérique se déployant sous forme de séries par épisode. C’est la première plateforme à s’être déployée en dehors d’Asie. Déjà partenaire exclusif des plus importants acteurs du webtoon mondial, Delitoon vient de signer un nouvel accord exclusif avec la plateforme LezhinComics (Corée du Sud) confirmant ainsi sa position de leader en France et en Europe. Elle enregistre 1 000 000 d’inscrits et déploie près de 200 séries au format webtoon.

Franck Avenel, CTO Data Observer, cuvée 2007.
Parce que la data est une science complexe, Data Observer crée des solutions sur mesure pour les professionnels de la communication et du marketing. Basées sur leurs propres technologies, leurs solutions sont regroupées au sein de 2 offres : Décryptages pour l’analyse média, la veille et l’analyse web ; Data Intelligence pour les traitements automatiques des données textuelles combinant les 3 maillons suivants : collecte, enrichissement et visualisation.

Charles Martini, CEO Smart Tale Games, cuvée 2015.
Fondé en 2016, Smart Tale s’est illustré comme studio de production de qualité en développant des jeux vidéo de plus en plus ambitieux pour des éditeurs internationaux tels que F1 Mobile Racing pour Eden Games et Codemasters. Le studio a également développé pour Mïcroids Life « Réussir le Code de la Route » sur PS4 et Nintendo Switch en 2019. En parallèle, l’expertise technique de Smart Tale est aux services d’Industriels pour des expériences en Réalité Virtuelle et Réalité Augmentée. Doublant son chiffre d’affaires chaque année, Smart Tale compte dépasser le million d’euros de CA et passer à 25 personnes en 2020 grâce à ses projets contractualisés mais aussi le lancement de projets internes.

Malik Dahman et Didier Sammaritan, co-fondateurs Phosphorus Technologies, cuvée 2010.
Créée il y a 10 ans, la société « Phosphorus Technologies » se développe au niveau national autour de 2 activités : La sécurité informatique des TPE PME en proposant des Plans de Reprise d’Activité sur mesure adaptée aux problématiques de chaque métier et l’accompagnement des entreprises et collectivités dans leur mise en conformité RGPD avec le logiciel « Diod RGPD »
Phosphorus Technologies membre du dispositif Cybermalveillance.gouv.fr a sauvé ces dernières années plus de 90 entreprises touchées par des attaques de ransomware ou des sinistres naturels.

Laurent Henocque, fondateur Keeex, cuvée 2013.
Issue de la recherche française, la startup KeeeX édite des logiciels permettant de certifier et rendre vérifiables données, processus et décisions et utilise notamment la technologie de la blockchain. Elle a reçu de nombreuses distinctions : 2 sélections au CES LAS VEGAS, le Banking Cybersecurity Innovation Award (décerné par Société Générale et Wavestone), 34ème du classement Rise.global des sociétés blockchain les plus influentes au monde. Elle compte comme références des groupes comme Thales, Société Générale, SNCF, Veolia, EDF, Orange… Ses solutions sont par exemple utilisées pour l’authentification de diplômes, la certification de photographies ou vidéos horodatées et géolocalisées, la visibilité temps réel d’une chaîne logistique multi-acteurs, la tenue d’un registre de maintenance ou d’une piste d’audit fiable, la traçabilité de processus industriels ou agroalimentaires complexes.

Photo de Une :  © Martial Thiebaut

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3D, VR, AR

Découvrez Mimesis, le masque de protection 100% réalisé sur-mesure, réutilisable et imprimé en 3D

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Mimesis, c’est un masque de protection respiratoire pour praticiens médicaux, 100% sur-mesure, lavable des centaines de fois et imprimé en 3D à la forme de votre visage. Cette simple idée est née il y a 7 mois lors d’un brainstorming autour du Covid-19 mené au sein de l’équipe de la société Inovsys, spécialiste dans conception de pièces spéciales pour l’aéronautique ou l’énergie et implantée sur le Technocentre Henri Fabre, accélérateur d’innovations à Marignane. Ce masque est depuis réalisé par Inovsys en collaboration avec 3D Medlab également sur le Technocentre, spécialisée dans la conception et la production de dispositifs médicaux en impression 3D, et la société montpelliéraine Anatoscope, qui développe des solutions logicielles pour convertir tout type d’image médicale d’un individu en son avatar anatomique 3D en vue de la production de prothèses.

Le confort inégalable du sur-mesure

Sur la base d’un postulat plus poussé que la réalisation de produits standards qui inondent déjà le marché, la flexibilité de la technologie 3D est utilisée pour personnaliser au maximum le masque afin de le conformer à la morphologie du visage de son porteur et apporter un confort inégalable même sur de longues durées.
Nombre de praticiens du monde médical et paramédical vont devoir désormais se protéger quotidiennement et durant plusieurs heures de projections susceptibles d’être contaminées. Dentistes, orthodontistes ou infirmières font partie des premiers concernés auxquels s’ajoutent désormais tous les salariés d’entreprise qui doivent porter le masque quotidiennement.
Après de nombreuses itérations de designs et d’optimisations fonctionnelles, ce sont deux modèles de masques imprimés en TPU (polyuréthane thermoplastique) souple biocompatible, un élastomère aux propriétés adaptées à cet usage, et un dispositif de grille portant un filtrant haute technicité, qui sont proposés. Chaque masque est compatible avec le port d’équipements de protection individuelle et n’entraine pas la formation de buée sur les lunettes ni d’atténuation de la voix.
Pour le produire, il suffit de réaliser un scan du visage du porteur réalisable au moyen d’une application sur smartphone avant de le fabriquer par impression 3D.

Filtration garantie UNS1, l’étanchéité en plus

Les kits proposés comprennent un masque sur-mesure imprimé en 3D (avec une option de visière amovible), un système de fixation et un ensemble de filtres certifiés UNS1 par le gouvernement français et lavables 100 fois. Répondant aux exigences requises pour une utilisation professionnelle, les performances de filtration sont équivalentes à celle des masques chirurgicaux (norme NF EN 14683 : filtration > 95% des particules de 3 μm), tout en apportant une excellente étanchéité. Une alternative avec du tissu filtrant FFP2 à usage unique est en cours d’investigation.
Avec un kit complet, vous disposez de 2000 heures d’utilisation, soit 250 jours de protection (pour une fréquence d’utilisation de 8 heures par jour, en changeant de filtre toutes les 4 heures). Le coût à l’utilisation revient à moins de 30 cents.

www.AnatoMask.com

 

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Accélérateur, incubateur, pépinière

TRIBUNE | L’attractivité des territoires : un véritable tremplin pour l’emploi et la compétitivité

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La crise sanitaire que nous traversons a profondément mis à mal nos organisations et amené nombre d’actifs à évoluer et prendre des décisions structurantes qui impacteront leur avenir professionnel. Dans ce contexte, force est de constater que le sujet lié à la « décentralisation » des entreprises hors des grandes métropoles se positionne aujourd’hui comme une réalité concrète.

Accompagner cette transition pour donner un nouveau souffle à l’économie

C’est précisément sur ce point que les territoires ont un rôle central à jouer pour attirer de nouveaux talents et dynamiser l’économie et l’emploi local. En effet, si les actifs sont demandeurs de mobilité en région, encore faut-il qu’ils puissent y exercer une activité professionnelle en rapport avec leurs attentes, notamment dans les métiers à forte valeur ajoutée comme la technologie, les biotechs, la recherche, etc. Au regard de ces éléments, une bataille semble se profiler entre les différentes régions.

Miser sur la qualité des infrastructures

Une chose est sûre, la qualité des infrastructures est une composante clé de l’attractivité des territoires et peut même représenter une véritable marque de fabrique ou vitrine. Mais celle-ci ne peut s’improviser et nécessite à la fois des investissements massifs, une vision d’avenir et un savoir-faire éprouvé. Technopoles, infrastructures de transports, qualité des réseaux IT, espaces verts et offre culturelle sont autant de points clés qui permettront d’offrir des conditions de travail de premier plan aux entreprises et donc d’attirer de nouveaux talents à long terme.

Repenser les espaces de travail et infléchir la législation pour s’adapter à la nouvelle donne

La crise de la COVID 19 aura mis en avant la possibilité de travailler différemment. En effet, les notions de télétravail, de venue partielle au bureau et de travail hybride font désormais partie de notre quotidien. En ce sens, les territoires, accompagnés de promoteurs innovants, doivent repenser le lieu de travail et créer des bâtiments de nouvelle génération qui pourront accueillir dans des conditions de flexibilité uniques les talents d’aujourd’hui et de demain. Et penser les espaces de travail comme des lieux où favoriser collaboration et ingéniérie collective, des bases arrières de l’entreprise. Il est également essentiel de penser à créer des zones d’activités réellement inclusives qui permettent à la population de vivre au centre de zones d’activités attractives et prenant en compte les nouvelles attentes : écologie, bien-être, développement responsable, etc. Les territoires et les entreprises doivent peser de tout leur poids auprès des gouvernements pour que la législation travail s’adapte à ces nouveaux usages, condition essentielle de l’attractivité de notre pays dans un monde où les talents sont globalisés.

Encourager la fertilisation croisée des talents, source de croissance économique et d’innovation 

Enfin, un autre point clé à prendre en compte est directement lié à la capacité d’un écosystème à savoir travailler ensemble, toutes disciplines confondues, pour faire naître de nouvelles opportunités de collaboration sur un territoire, en particulier grâce à l’apport des centres de recherche à l’échelle régionale qui peuvent créer une fabuleuse émulation sur l’économie locale. Mais ce n’est pas tout, s’appuyer sur un tissu universitaire et un enseignement supérieur de qualité sera également l’assurance de cristalliser localement des compétences et talents qui formeront les élites de demain et donneront une véritable identité aux territoires régionaux. Il s’agit grâce à ces acteurs de transformer le modèle de croissance économique, social et environnemental des territoires.

À travers ces différents éléments, on comprend donc parfaitement l’importance pour les régions de renforcer leur attractivité pour se développer à long terme et répondre aux nouveaux défis auxquels nous devrons faire face.

par Dorothée Lamé-Laroche. directrice du développement de la technopole de Sophia Antipolis

 

 

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Accélérateur, incubateur, pépinière

Sophia-Antipolis : F-Reg, GoMecano et Creative Motion intègrent la promo 2020/2022 du Village by CA

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La promotion 2020/2022 du Village by CA de Sophia Antipolis, l’accélérateur du Crédit Agricole est désormais complète suite à l’arrivée de F-Reg, Go Mecano et Creative Motion. Plusieurs start-up innovantes avec un fort potentiel de croissance et ayant fait leurs premières preuves de marché, sont venues ‘’pitcher’’ mardi 8 décembre devant le comité de sélection constitué de ses partenaires Ambassadeurs*. F-Reg, Go Mecano et Creative Motion ont été retenues pour intégrer le programme d’accélération et complètent une promotion 2020-2022 bien garnie, riche de 22 startups actuellement dans les murs du Village.
Le programme de 24 mois du Village by CA, monté en partenariat avec la CCI Nice Côte d’Azur, est axé sur la montée en compétence des dirigeants dans le domaine de la vente, de la stratégie, de la planification opérationnelle et de la finance d’entreprise. Il permet aux startups, PME, ETI, grands groupes, institutionnels, grandes écoles et universités de coopérer, innover et se développer ensemble.

Les 3 startups sélectionnées

–        F-Reg (Flow Regulation Systems) : Fondée par Emmanuel Curinier et Thierry Courbon en 2014, implantée dans le département des Alpes-Maritimes, il s’agit d’une solution de stockage innovante permettant de lutter contre les inondations urbaines et de prévenir les pollutions par temps de pluie. Avec ses douze salariés, elle commercialise depuis 2018 une vanne de régulation chargée de contrôler les flux d’eau dans les canalisations.

–        Go Mecano : Le garage automobile itinérant créé à Roquefort-les-Pins par Alexandre Nivesse et Mathias Boutsen en 2017 et implanté dans le département des Alpes-Maritimes. Go Mecano est une plateforme tout-en-un permettant aux clients particuliers et professionnels d’obtenir un rendez-vous avec un mécanicien mobile en moins de 72h pour réaliser l’entretien ou la réparation de son véhicule à domicile ou sur site.

–        Creative Motion : Fondée par Lionel Hun en Janvier 2019, Creative Motion conçoit et produit des nouvelles expériences digitales duplicables permettant d’engager émotionnellement les individus et permettant aux marques et aux entreprises de créer un lien particulier avec leurs communautés.

Le Village by CA PCA accompagne désormais 43 startups (dont 21 alumnis) qui ont vu leur croissance commerciale boostée grâce à la synergie entre l’accompagnement proposé et le tissu de partenaires impliqués localement. Le réseau européen de 37 Villages by CA (en France, en Italie et au Luxembourg) permet également de créer des connexions sur l’ensemble du territoire et à l’international.

*Les partenaires ambassadeurs sont SAP Labs France, CGI, CEA Tech, Noeva, Cabinet DSO, EDF, Indosuez, Malongo, Philips Lighting, IBM, Amadeus ou Supralog.

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