Bonjour, veuillez faire une sélection:

(*format pdf)

(** à défaut d'un CP en format pdf, vous pouvez nous envoyer les infos ici)

Vos infos

Suivez-nous

(Mais pas de trop près quand même...)

Economie numérique

[VIDÉO] Sortie du Livre Blanc ‘’Emploi IT & Digital Transition numérique » de la Maison de l’emploi de Marseille

Publié

le

C’est un livre blanc consacré à l’‘’Emploi IT & Digital Transition numérique » totalement inédit tant au niveau local que national. Porté par la Maison de l’Emploi de Marseille (MDE), sa rédaction est le fruit d’un travail partenarial qui a mobilisé plus de 50 acteurs et contributeurs dont #techsnooper. Experts, institutions, professionnels se sont associés afin de partager un diagnostic du territoire identifiant les atouts, les points de vigilance, les chances et les perspectives.
Le 30 avril dernier, à la Maison de l’emploi de Marseille, la présentation de ce livre blanc s’est fait en grande pompe à l’invitation de Dominique Tian, premier adjoint au maire de Marseille et président de la Maison de l’Emploi.  « La révolution du numérique est comparable à celle de l’imprimerie. Nous voulons en saisir toutes les opportunités pour l’économie et l’emploi dans notre territoire. D’où ce livre blanc avec un diagnostic précis de cette filière et des préconisations pour se préparer à des emplois qui n’existent pas encore. Le numérique ne doit pas être une menace, mais une vraie solution pour la réussite de nos concitoyens« , indique Dominique Tian.

La filière numérique, un atout pour la métropole
Dans les Bouches-du-Rhône, la filière numérique c’est 8 000 entreprises numériques, 10 milliards de chiffre d’affaires, et près de 49 000 emplois, ‘’le double’’ selon Samuel Masson du cabinet Omniciel qui estime qu’il faut aussi prendre en compte les postes liés au digital au sein des entreprises non identifiées comme numériques, soit 80 000 emplois à considérer ! La filière numérique pèse autant que le tourisme et l’industrie portuaire dans l’économie locale et son potentiel de développement pour l’emploi est considérable. « La filière numérique est un atout pour la métropole, elle crée plus de 1000 postes nets par an, c’est l’une des premières pourvoyeuses. Elle pourrait être la première en nombre de salariés dans le futur.’’ estime Samuel Masson.
Véritable outil d’aide à la décision, il s’inscrit pour la MDE dans l’animation de la démarche de GPECT (Gestion prévisionnelle des emplois et compétences territoriale) économie numérique et commerce. 10 filières stratégiques du territoire sont décrites dans ce livre blanc et 7 propositions ont été formulées afin que chacun puisse les discuter, les enrichir, les mettre en œuvre.

[Vidéo] Stéphanie Chauvet, directrice de la Maison de l’emploi de Marseille, explique quel a été le processus de réalisation du Livre Blanc Emploi IT & Digital Transition numérique.

Des questions et 7 propositions
Quel est l’état des lieux de la filière numérique et quel est l’impact multisectoriel de la digitalisation ? Quelles sont les perspectives réalistes, concrètes, ? Quelles solutions mettre en œuvre pour contrer la pénurie de profils ? La transition numérique, solution ou une menace pour l’emploi ? Autant de questions et autant de réponses dans ce livre blanc qui propose également 7 actions à engager pour faire évoluer la situation et pallier la pénurie. L’une de ces actions est de sensibiliser et mobiliser les femmes. Il est vrai que le numérique est à 80 % une affaire d’hommes. Dans tous les secteur, la moyenne nationale est de 47% de femmes, dans le numérique, ce chiffre est de 27,5%.

[Vidéo] Olivier Cazzulo, délégué régional de Syntec Numérique, le premier syndicat professionnel de l’écosystème numérique français, dresse  en complément des propos de Stéphanie Chauvet (cf vidéo ci-dessus) les préconisations prioritaires inscrites dans Le livre blanc à prendre en compte pour contrer la pénurie de profils que connaît la filière numérique.

Enfin, le livre blanc propose également la création d’un observatoire du numérique territorial, qui serait en mesure de fournir un baromètre opérationnel et des analyses ciblées pour éclairer tous les acteurs. 

Les 7 propositions du livre blanc
1. Inventer le digital inclusif
2. Mobiliser les femmes
3. Connecter la jeunesse
4. Valoriser le territoire
5. Décloisonner les recherches
6. Rapprocher offre et demande
7. Evaluer les progrès

Téléchargez la version PDF du Livre Blanc sur www.mdemarseille.fr.

Facebook Comments
Lire la suite
Commenter

Répondre

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Economie numérique

Syntec Numérique prévoit un recul de 4,6% du secteur IT en 2020 et table sur 1% de croissance en 2021

Publié

le

Lors de sa conférence semestrielle tenue jeudi 3 décembre, Godefroy de Bentzmann, président de Syntec Numérique, a présenté un bilan 2020 du secteur IT moins négatif que prévu malgré le ralentissement provoqué par la crise sanitaire. S’appuyant sur les résultats d’une enquête téléphonique commandée à IDC et réalisée du 5 octobre au 6 novembre 2020 auprès de 235 entreprises du secteur du numérique, l’organisation professionnelle des acteurs du numérique prévoit un recul de 4,6% du chiffre d’affaires de ses adhérents sur l’ensemble de 2020, avant un rebond de 1% en 2021.
« Le marché du numérique résiste mieux que la moyenne des secteurs en France, car il est stimulé par la transformation digitale des organisations », souligne Godefroy de Bentzmann dans un communiqué.
Syntec Numérique n’a pas manqué de souligner que c’était beaucoup mieux que les -6,7% anticipés lors de son enquête de printemps et que le secteur ferait deux fois mieux que le reste de l’économie. Cela n’en reste pas moins une déception pour un secteur qui affichait encore une croissance de 4,2% en 2019. Ainsi, cette année, 41% des entreprises interrogées seront en décroissance. Et seulement 33% en croissance.
La situation est par ailleurs contrastée selon les métiers : Ce sont les éditeurs qui ont le mieux résisté avec un chiffre d’affaires en hausse de 0,3% en 2020 (contre 6,6% en 2019). A l’inverse, les entreprises de services du numérique (ESN) reculent de -4,2% (contre +3,1% en 2019).  Mais ce sont les entreprises d’ingénierie et de conseil en technologies (ICT) qui sont les plus touchées par le ralentissement économique. En 2020, leurs revenus ont plongé de 12,3% en raison de leur lien avec les secteurs en crise de l’aéronautique et de l’automobile durement touchés par la crise sanitaire. Les SMACs (social, mobilité analytique, Cloud) sont restés les moteurs de l’activité, avec une croissance estimée à +6,4% par rapport à 2019 (+12,2% pour le seul cloud). Dans ce secteur, le risque de suppression d’emplois est présent et plus de 10 000 postes sont en danger, selon le Syntec Numérique.

Rebond attendu pour 2021

Sur 2021, Syntec Numérique prévoit une croissance de 1%, mais ce rebond « reste limité et conditionné par l’évolution de la crise sanitaire et à la situation économique des clients ». La situation est pour l’instant contrastée suivant les différents acteurs de la filière. Cette croissance devrait être portée par une augmentation des dépenses IT « qui connaîtront une hausse importante pour 53% des organisations (clients & prospects) en 2021« , selon le Syntec Numérique. Les éditeurs de logiciels devraient repartir plus vite (+3,8%), suivis par les ESN (+1%) puis l’activité de conseil en technologie qui devrait toujours être en décroissance l’année prochaine (-3,3%).
Sur le front de l’emploi, les recrutements repartent à la hausse avec de nouveaux des tensions sensibles sur certains profils (notamment sur les métiers de la cybersécurité, l’intelligence artificielle, l’IoT…). Seuls bémols, la croissance sera limitée par l’absence de croissance embarquée des effectifs sur la partie conseil et le fait qu’un certain nombre d’entreprises clientes se sont fixé comme objectif de renégocier leurs contrats fournisseurs. ‘’Deux entreprises sur trois’’ dans le ‘’numérique disent avoir stabilisé ou augmenté leurs effectifs en 2020’’, selon le Syntec numérique.

Facebook Comments
Lire la suite

Economie numérique

Nice : Qwant s’engage pour un monde meilleur en signant le manifeste Tech For Good

Publié

le

Soucieux de protéger la confidentialité des données de ses utilisateurs, Qwant est plus que jamais en phase avec l’initiative « Tech For Good ». Avec 49 autres entreprises engagées, le moteur de recherche éthique souhaite répondre aux grands enjeux de notre temps à savoir, réduire la pauvreté, donner un accès à une éducation de qualité pour tous, lutter contre le réchauffement climatique et donner accès à une énergie propre à un coût abordable. Pour cela, il vient de rejoindre Tech For Good France, un réseau d’entrepreneurs et d’investisseurs qui développent et financent des solutions Tech et digitales afin d’accélérer la transition vers une société plus durable et plus responsable. De ce fait, Qwant est signataire du manifeste du même nom, pour répondre aux objectifs de développement durable inscrit dans l’agenda « Horizon 2030 » fixés par l’ONU. Au cœur de cette approche, une conviction : la technologie ne profite à la société, aux citoyens et aux consommateurs que si elle respecte leur vie privée, leur autonomie, leur liberté de choix et de compréhension.
‘’Ce manifeste Tech For Good représente toutes les valeurs que nous nous efforçons de mettre en place depuis la création de Qwant : éthique et responsabilité, souligne Jean-Claude Ghinozzi, le patron de Qwant. ‘’Au-delà du défi entrepreneurial, c’est un véritable engagement sectoriel des plus grands acteurs mondiaux, pour faire de la technologie le socle inébranlable sur lequel reposeront, les principes fondamentaux d’un monde meilleur.’’

Le défi du manifeste

Les 50 entreprises s’engagent à :

  • coopérer avec les efforts de la communauté internationale, dans le respect de l’État de droit et conformément à un devoir de vigilance et de transparence, pour mettre en place l’interdiction des contenus pédopornographiques, des contenus terroristes ou d’extrême violence en ligne, la réglementation des contenus haineux, la désinformation et la manipulation des opinions ;
  • mettre en œuvre dans leurs produits et services des principes tels que la “sécurité par la conception » et la « vie privée par la conception », la durabilité et la protection de la liberté de choix des consommateurs ;
  • assumer leurs responsabilités économiques et sociales en contribuant équitablement aux taxes dans les pays où ils opèrent ;
  • soutenir les efforts de recherche mondiaux pour développer une compréhension commune de la technologie, et organiser leurs recherches en consultation ou en collaboration avec les scientifiques et les citoyens, par exemple par l’ouverture et le partage des données en toute confiance et l’interopérabilité des plateformes ;
  • profiter de la révolution technologique pour relever les défis sanitaires et environnementaux ; pour contrôler, réduire et gérer les incidences de leurs activités sur l’environnement ; pour soutenir la transition écologique de leurs industries respectives ; et pour poursuivre les objectifs des Nations unies en la matière ;
  • veiller à ce que leurs technologies favorisent l’intégration sociale, professionnelle et économique, fassent progresser l’accessibilité de leurs services à tous, en particulier aux personnes handicapées et aux personnes traditionnellement marginalisées ou exclues, et réduisent partout la fracture technologique numérique ;
  • promouvoir la diversité et l’égalité des chances, notamment en ce qui concerne la justice sociale, l’inégalité des richesses, l’égalité des sexes et des races, l’affiliation religieuse et l’orientation sexuelle dans leurs stratégies d’entreprise, ainsi que dans la conception de leurs technologies et processus, dans la mise en œuvre de leurs solutions, dans l’expérience de l’utilisateur et dans la chaîne de valeur ;
  • soutenir les efforts visant à élargir la culture technologique, à éduquer le plus grand nombre possible de personnes à une connaissance raisonnée et à une utilisation responsable des données et des technologies et, à cet effet, renforcer la coopération entre les gouvernements, les entreprises, les universitaires, les communautés technologiques et la société civile.
Facebook Comments
Lire la suite

Cluster, association

Syntec Numérique et Tech‘In France fusionnent pour devenir l’acteur de référence dans le numérique

Publié

le

La décision était attendue de longue date. Deux des principales organisations de la filière Tech en France, Syntec Numérique et Tech’In France ont annoncé vendredi 27 novembre leur intention de fusionner en 2021. Les conseils d’administration des deux organisations professionnelles du numérique en France ont entériné cette fusion. Elle devrait donner naissance à une nouvelle structure et marque, dont le nom n’est pas encore communiqué, d’ici le 2ème trimestre 2021. Son cadre juridique et sa nouvelle gouvernance restent encore à définir.

Les présidents de Tech’In France, Pierre-Marie Lehucher, et de Syntec Numérique, Godefroy de Bentzmann (Crédit Photo : Beger-Levrault/Syntec Numérique)

Déjà engagés dans des travaux communs, les représentants d’entreprises du numérique ambitionnent de faire de cette nouvelle entité l’interlocuteur de référence des entreprises du numérique pour les pouvoir publics en France et en Europe. La nouvelle entité représentera  65 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 600 000 emplois directs (éditeurs, SSII, intégrateurs, fournisseurs de services…).
Syntec Numérique et Tech’In France ont ciblé 5 grands enjeux, jugés prioritaires pour la France en matière de numérique, auxquels ils pensent pouvoir répondre par cette fusion : la place du numérique dans la société ; la France numérique en Europe ; la croissance et la compétitivité de nos entreprises du numérique ; la transformation numérique de toutes les entreprises et administrations, vecteur de croissance de l’économie ; les enjeux sociaux, sociétaux et écologiques du numérique.
Rappelons que le Syntec Numérique a été créé en 1969 sous le nom Syntec Informatique (devenu Syntec Numérique en 2010) pour représenter des entreprises de services du numérique (ESN), des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies. Aujourd’hui, il représente 2 000 adhérents réalisant 80% du chiffre d’affaires total du secteur. L’association Tech in France, quant à elle, a été créée en 2006 sous le nom d’AFDEL (Association française des éditeurs de logiciels) et comptabilise aujourd’hui 400 entreprises adhérentes. Sa mission est de rassembler et représenter des éditeurs de logiciels, de services internet et de plateformes.

Facebook Comments
Lire la suite

Facebook

Trending

X
X