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Ecosystème

Sophia-Antipolis : Mail, Maps, Pay, Med ou Sports …Qwant s’offre un panel de services…tout comme Google !

Considéré comme l’anti-Google français, Qwant joue quitte ou double dès la rentrée de 2018 en lançant plusieurs services dont Qwant Mail, Qwant Maps et Qwant Pay.

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A l’occasion de l’inauguration le 14 juin dernier de ses nouveaux locaux parisiens, rue Spontini dans le 16ème arrondissement, Qwant, initialement PME niçoise, a annoncé ses développements en cours qui lui permettra d’offrir dès la rentrée de septembre une gamme complète de services : une messagerie électronique (Qwant Mail), un service de cartographie (Qwant Maps) et un système de paiement mobile (Qwant Pay) verront le jour ainsi qu’une plateforme dédiée à l’actualité sportive (Qwant Sports) qui sera opérationnelle dès le mois de juillet 2018 ou à la santé (Qwant Med) .

Qwant Pay, un service sécurisé et anonyme dès la rentrée 2018
Après Apple Pay, Google Pay, Samsung Pay… c’est donc au tour de Qwant de lancer son service de paiement. Le principe de Qwant Pay : garantir la sécurité des paiements et l’anonymisation des transactions, conformément au positionnement de l’entreprise qui a fait du respect de la vie privée sa marque de fabrique. Et c’est bien là que Qwant compte faire la différence !
« Les informations de la carte bancaire sont chiffrées sur le téléphone. Rien ne remonte dans un cloud, explique Éric Léandri, co-fondateur et président de Qwant. Nous allons proposer un système de paiement complet, qui a tout mais toutes les cartes de paiement et de fidélité seront protégées. Les données ne seront pas utilisées et il n’y aura aucun lien avec les achats. »
Côté fonctionnalité, rien de très novateur. Comme les solutions existantes, le service permet de stocker ses cartes de fidélité, de membres, ses tickets, de payer online et offline. Il suffit de télécharger l’application, d’entrer les informations de sa carte bancaire et de payer ensuite en magasin via NFC ou online via son compte Qwant Pay.
Les premiers tests de Qwant Pay ont été effectué début juin en Corse en partenariat avec la start-up corse Icare Technologies et le Crédit Agricole. Munis d’une bague connectée Icare, des youTubers et influenceurs ont ainsi testé le produit le temps d’un weekend pour louer une voiture et effectuer leurs achats en magasin et les premiers résultats sont positifs au dire de l’entreprise. Une deuxième phase d’expérimentation est prévue fin juin.
Prêt techniquement, Qwant a monté une joint-venture avec la plateforme espagnole Toro pour déployer ce service pour lequel l’entreprise a investi entre 1,5 et 2 millions d’euros. Le service sera gratuit pour l’utilisateur mais la banque, de son coté, devra reverser à Qwant 1€ par an et par utilisateur. « Si on a 3 millions d’utilisateurs (soit 5% des utilisateurs de Qwant), on sera déjà très profitable« , ambitionne Eric Léandri.

Qwant veut créer son écosystème « à la Google »
En plus de son système de paiement Qwant Pay, la PME niçoise qui regroupe aujourd’hui 160 collaborateurs, annonce également le lancement de son propre système de cartographie Qwant Maps, de son service de courrier électronique Qwant Mail, d’une plateforme dédiée à l’actualité sportive Qwant Sports, le premier moteur de recherche entièrement dédié au sport dès juillet 2018 ou à la santé avec Qwant Med. On peut également rappeler l’existence de la déclinaison pour les jeunes du moteur de recherche avec filtrage de contenu, Qwant Junior, auxquels se sont ajoutés Qwant Mobile, application iOS et Android combinant moteur de recherche et navigateur, Qwant Music, qui réunit l’ensemble des œuvres musicales et des activités en ligne des artistes, et Qwant Games, qui recense toutes les informations liées aux jeux vidéo.
En mettant en œuvre une batterie de nouveaux services, Qwant espère ainsi concurrencer Google et ses applications utilisées par des centaines de millions d’internautes à travers le monde. Le pari est audacieux pour la PME française qui a fait du respect de la vie privée son créneau: « Qwant est le premier moteur de recherche qui protège les libertés de ses utilisateurs et veille à préserver l’écosystème numérique« . Sauf que les données personnelles, au-delà de rapporter de l’argent, 80 euros par an et par utilisateur pour Google par exemple, elles permettent d’optimiser les services. Pour mieux cibler, rendre plus rapides plus pertinentes nos recherches sur internet par exemple. Pas de données récupérées est aussi synonyme de service un peu moins bon. Et bien Qwant espère avoir trouvé une parade avec Masq, un logiciel qui utilise vos données personnelles certes mais en les laissant sur votre smartphone.

Masq, le service sur lequel mise Qwant
Le plus marquant des services qui n’est pas encore lancé, il le sera dans quelques semaines, c’est Qwant Masq. Masq est un agent de gestion de données personnelles local qui s’interface avec les services de Qwant et les services tiers qui souhaiteront l’implémenter. Il stocke localement sur un smartphone les données personnelles de son utilisateur, car le meilleur moyen de conserver ses données privées, c’est encore de les conserver sur son appareil ! Qwant veut démontrer que l’accumulation de données personnelles pour faire de la publicité privée n’est pas le seul modèle économique possible même si les revenus de l’entreprise viennent quasi uniquement de la publicité mais « la sélection des publicités s’appuie uniquement sur les mots entrés par l’utilisateur qui fait une recherche », insiste Éric Léandri. Et d’ajouter : « C’est ce que faisait Google jusqu’au milieu des années 2000, avant de passer à la publicité ciblée et de faire exploser son cours de Bourse ! Un utilisateur rapporte 60 euros par an à Google. Nous, c’est 12 euros. Si vous voulez être riche, faites de la publicité ciblée. Mais on peut très bien vivre sans. »
D’autant qu’avec Masq et ses autres nouveaux services, Qwant compte doubler son revenu par utilisateur et dépasser 10 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018, contre 3,5 millions en 2017.

 

 

 

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Ecosystème

Allauch : Sportall lance sa 1ère offre payante avec le média ‘’Fight Nation’’ dédié aux sports de combat

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La plateforme 100% sport, Sportall, créée il y a à peine 5 mois à Allauch dans les Bouches du Rhône qui est accompagnée par l’incubateur marseillais Belle-de-Mai dédié au Multimédia et l’incubateur parisien de la Sportech Le Tremplin, poursuit son développement. La jeune pousse annonce la signature d’un partenariat stratégique avec le média ‘’Fight Nation’’, première plateforme numérique en Europe dédiée aux sports de combat et lancée récemment par Arnaud Romera, journaliste depuis plus de 20 ans, ancien président de la Ligue Nationale de Boxe.
« Nos Lives et nos émissions deviendront vite les rendez-vous incontournables de tous les fans français des sports de combat » avance Arnaud Romera, directeur général de Fight Nation.
Devenant la plateforme de diffusion de ‘’Fight Nation’’, Sportall va ainsi diffuser du contenu exclusif aux deux millions de fans de boxe, MMA, Karaté, en France et confirme ainsi son modèle « freemium » mêlant contenus gratuits et payants. Depuis 2020, ce sont plus de 20 disciplines sportives qui sont désormais disponibles sur l’application Sportall grâce à des contenus en direct ou à la demande.

Lire aussi :  Allauch : Sportall, la plateforme vidéo en streaming dédiée au sport, lance son application mobile gratuite

Une offre de lancement à moins de 30 euros par an

Plus de 2 000 heures de programmes sont déjà disponibles sur Fight Nation et 80 galas et combats seront diffusés en direct en 2021, dont les premières diffusions du MMA français. Sportall produira certains contenus live et les contenus éditoriaux seront ajoutés progressivement par Fight Nation.
Cette première offre payante s’intègre dans l’offre Sportall, disponible sur l’application Sportall lancée en novembre 2020 et sur le site internet https://tv.fight-nation.com récemment développé spécifiquement par Sportall pour ce média.
L’offre Fight Nation sur Sportall sera payante à partir du 1er mars, au prix de lancement de 29€99 pour la 1ère année. Par la suite, l’abonnement passera à 59,99€/an. Par saison, Fight Nation proposera plus de 80 soirées en live et en exclusivité impliquant les plus grands champions français.
« Cette première offre payante montre que la diffusion des sports premium est déjà possible sur Sportall. Elle ouvre la voie à d’autres annonces dans le courant de l’année 2021 » indique Thierry Boudard, PDG de Sportall.
L’offre est déjà disponible sur Sportall et permettra de regarder le combat du samedi 27 février en live : duel au sommet pour la première Fight Nation ! Le jeune Jaouad Belmehdi (10V • 0D • 3N) affronte chez lui, à Béziers, l’amiénois Sabri Sediri (13V • 1D • 1N) pour le titre vacant de champion de France des poids-légers. Une rencontre des plus indécises entre deux espoirs de la boxe hexagonale précédée de trois combats professionnels. Seulement sur Fight Nation !

https://www.sportall.fr/
https://tv.fight-nation.com

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Ecosystème

Saint-Rémy-de-Provence : Betoobe annonce l’ouverture de 20 postes sur les prochains mois

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L’éditeur de Saint-Rémy-de-Provence, Betoobe, accélère et lance une campagne de recrutement de grande envergure pour accompagner sa forte croissance en France. Les postes sont proposés au siège de l’éditeur dans la région marseillaise et pour certains en France en Télétravail.
Editeur d’une plateforme permettant de gérer l’intégralité du cycle de vie des flottes mobiles, Betoobe a réalisé en 2020 une croissance de plus de 300 % malgré le contexte de crise sanitaire qui a profondément ébranlé les capacités d’investissement des entreprises. Dans ce contexte, Betoobe a signé de nombreux nouveaux projets et prévoit de poursuivre sa croissance de l’ordre de 200 % en 2021. Betoobe va désormais réinvestir ses bénéfices pour faire évoluer sa solution et mener à bien de nouveaux projets.
L’éditeur souhaite donc étoffer ses équipes techniques, support et commerciales. En rejoignant Betoobe, les futurs collaborateurs intégreront une société dynamique qui positionne les valeurs d’innovation, d’expertise et d’excellence opérationnelle au centre de sa stratégie. Betoobe s’attachera à leur proposer un cadre de travail bienveillant où ils pourront acquérir en continu de nouvelles compétences et évoluer dans un environnement dynamique.
‘’Nous souhaitons recruter des talents qui désirent nous accompagner dans notre développement et évoluer dans une startup qui souhaite faire grandir ses équipes, clients et partenaires’’, précise Sébastien Reverdy directeur associé chez Betoobe. ‘’Betoobe est l’une des rares entreprises à permettre de travailler dans ces conditions pour le compte de clients toujours en recherche d’innovation et de solutions leur permettant de positionner la mobilité comme un axe clé de leur croissance à long terme.’’
Présentation de quelques postes ouverts chez Betoobe :
– Support Technique : technicien (ne) support à Saint-Rémy-de-Provence (13) et Salon de Provence (13) (plusieurs postes)
– Business Developer (Siège, Toulouse, Lyon, Paris)
– Chef (fe) de Projet (s) (Siège)

La description des postes est disponible à l’adresse suivante : https://betoobe.fr/recrutement/

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Big Data

Paris/La Ciotat : Atempo.Wooxo va recruter 40 personnes pour consolider sa position de leader européen

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Le groupe Atempo.Wooxo, leader européen des solutions de protection du patrimoine numérique professionnel avec une présence internationale, ouvre une quarantaine de postes en France et à l’étranger pour renforcer ses capacités R&D, soutenir son fort développement à l’international et conforter sa position de leader européen.
Acteur engagé dans la lutte contre la cybercriminalité, Atempo.Wooxo est un fervent promoteur de la souveraineté numérique européenne, et un éditeur reconnu sur le plan international dans le management des très grands volumes de données. Le groupe est en pleine expansion et réalise une croissance à deux chiffres dans un contexte économique difficile dû à la pandémie de la Covid-19, aggravé par une cybercriminalité galopante.
Pour conforter sa position de leader de la protection des données, et d’acteur incontournable du Data Management des grands volumes de données, le groupe investit dans l’innovation et le développement commercial. Il recherche des femmes et hommes de conviction, qui se reconnaissent dans les missions du Groupe, pour soutenir son fort développement.
Atempo.Wooxo recherche des profils expérimentés issus du monde de l’IT, passionnés par les nouvelles technologies mais également de jeunes talents désireux de développer leur expérience et leurs compétences. Les nouveaux collaborateurs se verront confier des missions ambitieuses et bénéficieront d’une large autonomie dans un domaine situé au carrefour de l’innovation big data, de l’intelligence artificielle et de la cybersécurité.
Une quarantaine de nouveaux collaborateurs seront donc recrutés cette année pour renforcer l’avance technologique des solutions du portefeuille du groupe et garantir à ses clients, publics comme privés, les évolutions fonctionnelles qu’ils attendent. Les postes sont à pourvoir en France (Paris, Orléans, Lyon, Marseille, Toulouse et Vannes) et également à l’international dans ses bureaux en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-Unis.
Les profils recherchés sont multiples : Product Marketing Managers, Product Owners, Architectes logiciels, Administrateurs systèmes et réseaux, développeurs C++, Angular, Python, des experts CMake DevOps, Ingénieurs QA, Techniciens Support niveau II, Conseillers numériques, Ingénieurs avant-vente, Consultants, Channel Managers, Territory Account Managers et Contrôleurs de gestion.

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