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Ecosystème

Nice a testé la reconnaissance faciale à l’occasion du Carnaval

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On connait la fascination que la ville de Nice a pour la vidéosurveillance. Un seul chiffre le démontre, les 2.350 caméras qui équipent la ville, soit une pour 145 habitants, et qui en fait une des municipalités les mieux équipée à ce niveau. Mais Nice a bien l’intention d’entrer dans une autre dimension, celle de la reconnaissance faciale.
Pour le 135ème Carnaval de Nice (16 février au 2 mars 2019), la ville a obtenu de la CNIL, la Commission nationale de l’informatique et des libertés, l’autorisation d’expérimenter pendant trois jours, les 16, 19 et 20 février, le concept de reconnaissance faciale à grande échelle, développée par Confidentia (logiciel Any Vision), une société monégasque, et par le biais du réseau de caméras de vidéosurveillance de la ville. Une première en France sur l’espace public !

La CNIL peu confiante sur le sujet
Vu le type de dossier, la CNIL a bien sûr été mise à contribution. Si cela fait longtemps que Nice voulait se lancer, l’autorité a traîné des pieds, avant d’accepter mais avec de sérieuse restrictions, notamment la capacité de la ville de n’utiliser que 6 de ses caméras et dans une zone très limitée. Elle a demandé notamment la pose de panneaux de signalisation pour avertir les piétons dans la zone d’expérimentation ou recommandé la mise en place d’une seconde porte d’entrée sans caméra. Enfin, les 1000 visages qui pourront être reconnus, le sont sur la base du volontariat.
Paradoxalement, depuis la mise en place du RGPD (Règlement général sur la protection des données personnelles) en mai dernier, il a été précisé que ce type de test n’est plus soumis à l’autorisation de la CNIL mais qu’en revanche il doit respecter un consentement « libre » et « éclairé » de la population.

Une première en France
Ce test grandeur nature s’est déroulé cette semaine et a pu permettre de tester cette technologie dans plusieurs situations, comme celle d’un enfant ou d’une personne âgée perdue dans la foule, mais aussi d’identifier et suivre les mouvements d’une personne « d’intérêt » , c’est-à-dire recherchée, grâce à six caméras de vidéosurveillance positionnées dans la zone de test prédéfinie au cœur du Carnaval.
Pour mettre ce test en place, la Ville de Nice a dû débaucher un millier de personnes volontaires acceptant de se prêter au jeu et de donner leur consentement. Cela permettra à l’équipe responsable du test de rechercher dans la foule des profils comme ceux que nous venons de citer ci-dessus. Notons toutefois que toute personne qui n’aura pas donné son consentement aura ensuite le visage flouté et ne sera par conséquent pas identifiable.

La reconnaissance faciale ne fait pas l’unanimité
Suite à ce test, un rapport devra être remis à la CNIL d’ici deux mois et le maire de Nice, Christian Estrosi, compte bien déposer une proposition de loi afin de faire évoluer le cadre juridique de la vidéosurveillance et de permettre l’usage plus large de la reconnaissance faciale.
Pourtant cette expérimentation est loin de faire l’unanimité. Les commentaires sur les réseaux sociaux sont partagés, les uns approuvent l’initiative, les autres, plus nombreux, pointent du doigt une atteinte aux libertés individuelles. Côté politique, Patrick Allemand, conseiller municipal socialiste de Nice, dénonce la politique du « pied dans la porte » soulignant que la ville de Nice est déjà engagée dans une autre expérimentation de « comparaison faciale » dans les lycées, opération lancée par la Région Sud et menée depuis le mois de janvier aux Eucalyptus avec 200 lycéens niçois volontaires.
« C’est ainsi que le champ de nos libertés individuelles risque de se trouver restreint par le numérique. Si nous ne réagissons pas aujourd’hui, nous nous acheminons vers une société « à la chinoise », conclut l’élu d’opposition.

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Ecosystème

Allauch : Sportall lance sa 1ère offre payante avec le média ‘’Fight Nation’’ dédié aux sports de combat

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La plateforme 100% sport, Sportall, créée il y a à peine 5 mois à Allauch dans les Bouches du Rhône qui est accompagnée par l’incubateur marseillais Belle-de-Mai dédié au Multimédia et l’incubateur parisien de la Sportech Le Tremplin, poursuit son développement. La jeune pousse annonce la signature d’un partenariat stratégique avec le média ‘’Fight Nation’’, première plateforme numérique en Europe dédiée aux sports de combat et lancée récemment par Arnaud Romera, journaliste depuis plus de 20 ans, ancien président de la Ligue Nationale de Boxe.
« Nos Lives et nos émissions deviendront vite les rendez-vous incontournables de tous les fans français des sports de combat » avance Arnaud Romera, directeur général de Fight Nation.
Devenant la plateforme de diffusion de ‘’Fight Nation’’, Sportall va ainsi diffuser du contenu exclusif aux deux millions de fans de boxe, MMA, Karaté, en France et confirme ainsi son modèle « freemium » mêlant contenus gratuits et payants. Depuis 2020, ce sont plus de 20 disciplines sportives qui sont désormais disponibles sur l’application Sportall grâce à des contenus en direct ou à la demande.

Lire aussi :  Allauch : Sportall, la plateforme vidéo en streaming dédiée au sport, lance son application mobile gratuite

Une offre de lancement à moins de 30 euros par an

Plus de 2 000 heures de programmes sont déjà disponibles sur Fight Nation et 80 galas et combats seront diffusés en direct en 2021, dont les premières diffusions du MMA français. Sportall produira certains contenus live et les contenus éditoriaux seront ajoutés progressivement par Fight Nation.
Cette première offre payante s’intègre dans l’offre Sportall, disponible sur l’application Sportall lancée en novembre 2020 et sur le site internet https://tv.fight-nation.com récemment développé spécifiquement par Sportall pour ce média.
L’offre Fight Nation sur Sportall sera payante à partir du 1er mars, au prix de lancement de 29€99 pour la 1ère année. Par la suite, l’abonnement passera à 59,99€/an. Par saison, Fight Nation proposera plus de 80 soirées en live et en exclusivité impliquant les plus grands champions français.
« Cette première offre payante montre que la diffusion des sports premium est déjà possible sur Sportall. Elle ouvre la voie à d’autres annonces dans le courant de l’année 2021 » indique Thierry Boudard, PDG de Sportall.
L’offre est déjà disponible sur Sportall et permettra de regarder le combat du samedi 27 février en live : duel au sommet pour la première Fight Nation ! Le jeune Jaouad Belmehdi (10V • 0D • 3N) affronte chez lui, à Béziers, l’amiénois Sabri Sediri (13V • 1D • 1N) pour le titre vacant de champion de France des poids-légers. Une rencontre des plus indécises entre deux espoirs de la boxe hexagonale précédée de trois combats professionnels. Seulement sur Fight Nation !

https://www.sportall.fr/
https://tv.fight-nation.com

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Ecosystème

Saint-Rémy-de-Provence : Betoobe annonce l’ouverture de 20 postes sur les prochains mois

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L’éditeur de Saint-Rémy-de-Provence, Betoobe, accélère et lance une campagne de recrutement de grande envergure pour accompagner sa forte croissance en France. Les postes sont proposés au siège de l’éditeur dans la région marseillaise et pour certains en France en Télétravail.
Editeur d’une plateforme permettant de gérer l’intégralité du cycle de vie des flottes mobiles, Betoobe a réalisé en 2020 une croissance de plus de 300 % malgré le contexte de crise sanitaire qui a profondément ébranlé les capacités d’investissement des entreprises. Dans ce contexte, Betoobe a signé de nombreux nouveaux projets et prévoit de poursuivre sa croissance de l’ordre de 200 % en 2021. Betoobe va désormais réinvestir ses bénéfices pour faire évoluer sa solution et mener à bien de nouveaux projets.
L’éditeur souhaite donc étoffer ses équipes techniques, support et commerciales. En rejoignant Betoobe, les futurs collaborateurs intégreront une société dynamique qui positionne les valeurs d’innovation, d’expertise et d’excellence opérationnelle au centre de sa stratégie. Betoobe s’attachera à leur proposer un cadre de travail bienveillant où ils pourront acquérir en continu de nouvelles compétences et évoluer dans un environnement dynamique.
‘’Nous souhaitons recruter des talents qui désirent nous accompagner dans notre développement et évoluer dans une startup qui souhaite faire grandir ses équipes, clients et partenaires’’, précise Sébastien Reverdy directeur associé chez Betoobe. ‘’Betoobe est l’une des rares entreprises à permettre de travailler dans ces conditions pour le compte de clients toujours en recherche d’innovation et de solutions leur permettant de positionner la mobilité comme un axe clé de leur croissance à long terme.’’
Présentation de quelques postes ouverts chez Betoobe :
– Support Technique : technicien (ne) support à Saint-Rémy-de-Provence (13) et Salon de Provence (13) (plusieurs postes)
– Business Developer (Siège, Toulouse, Lyon, Paris)
– Chef (fe) de Projet (s) (Siège)

La description des postes est disponible à l’adresse suivante : https://betoobe.fr/recrutement/

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Big Data

Paris/La Ciotat : Atempo.Wooxo va recruter 40 personnes pour consolider sa position de leader européen

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Le groupe Atempo.Wooxo, leader européen des solutions de protection du patrimoine numérique professionnel avec une présence internationale, ouvre une quarantaine de postes en France et à l’étranger pour renforcer ses capacités R&D, soutenir son fort développement à l’international et conforter sa position de leader européen.
Acteur engagé dans la lutte contre la cybercriminalité, Atempo.Wooxo est un fervent promoteur de la souveraineté numérique européenne, et un éditeur reconnu sur le plan international dans le management des très grands volumes de données. Le groupe est en pleine expansion et réalise une croissance à deux chiffres dans un contexte économique difficile dû à la pandémie de la Covid-19, aggravé par une cybercriminalité galopante.
Pour conforter sa position de leader de la protection des données, et d’acteur incontournable du Data Management des grands volumes de données, le groupe investit dans l’innovation et le développement commercial. Il recherche des femmes et hommes de conviction, qui se reconnaissent dans les missions du Groupe, pour soutenir son fort développement.
Atempo.Wooxo recherche des profils expérimentés issus du monde de l’IT, passionnés par les nouvelles technologies mais également de jeunes talents désireux de développer leur expérience et leurs compétences. Les nouveaux collaborateurs se verront confier des missions ambitieuses et bénéficieront d’une large autonomie dans un domaine situé au carrefour de l’innovation big data, de l’intelligence artificielle et de la cybersécurité.
Une quarantaine de nouveaux collaborateurs seront donc recrutés cette année pour renforcer l’avance technologique des solutions du portefeuille du groupe et garantir à ses clients, publics comme privés, les évolutions fonctionnelles qu’ils attendent. Les postes sont à pourvoir en France (Paris, Orléans, Lyon, Marseille, Toulouse et Vannes) et également à l’international dans ses bureaux en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-Unis.
Les profils recherchés sont multiples : Product Marketing Managers, Product Owners, Architectes logiciels, Administrateurs systèmes et réseaux, développeurs C++, Angular, Python, des experts CMake DevOps, Ingénieurs QA, Techniciens Support niveau II, Conseillers numériques, Ingénieurs avant-vente, Consultants, Channel Managers, Territory Account Managers et Contrôleurs de gestion.

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