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Economie numérique

La Région Sud attire ! il y a eu 18% d’investissements étrangers en plus en 2018, selon RisingSud

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Si l’on en croit le bilan 2018 que vient de publier RisingSud, l’agence de développement économique de la Région Sud (ex ARII), la région Sud bénéficie d’une confiance renouvelée des investisseurs avec une augmentation du nombre de projets dont 2/3 d’entre eux en lien direct avec les Opérations d’Intérêt Régional, véritables vitrines des excellences de la région Sud.
79 nouveaux projets (soit une augmentation de + 18% par rapport à 2017) permettant la création ou la sauvegarde de 1646 emplois.
Les entreprises à capitaux étrangers installées en région Sud prospèrent! A l’image d’Amadeus, entreprise technologique exclusivement dédiée à l’industrie mondiale du voyage, et installée à Sophia Antipolis, qui poursuit son extension avec 250 emplois supplémentaires annoncés sur son principal centre R&D mondial.
Au total, 29 nationalités différentes ont investi en région. Les Etats-Unis, l’Allemagne et l’Italie restent les premiers pays d’origine pour les investissements directs étrangers.

De nouveaux investisseurs s’engagent en région Sud.
66% des investissements étrangers en 2018 sont des projets de création de site représentant plus d’1/3 de l’emploi créé ou sauvegardé, ce qui témoigne de la consolidation de l’attractivité régionale et augure de futures perspectives d’extension et de développement en région (38% des IDE françaises sont des extensions de sites).
Pour illustration, l’entreprise espagnole de services en transport maritime, IFS Neutral, a choisi Marseille pour sa 1ère implantation sur le territoire national. L’ouverture d’un centre de décision à proximité d’infrastructures performantes comme le Grand Port Maritime de Marseille, ainsi qu’un écosystème complet lié au transport maritime, permettra la création de 15 nouveaux emplois.

La région attire des investissements créateurs d’emplois à forte valeur ajoutée.
Elle se classe 1ère région après l’Île-de-France en termes de projets et d’emplois créés dans la recherche et le développement. 13% des projets R&D nationaux ont été créés en région Sud ! À l’image de Ferchau Engineering GmbH, l’entreprise d’ingénierie spécialisée dans les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique, de l’électrotechnique, qui renforce son activité en région Sud en ouvrant son centre R&D à Sophia Antipolis. Ses clients sont des acteurs mondiaux majeurs, tels que BMW, Audi, Siemens, Bosch, Airbus, etc.

La région Sud accueille principalement des centres de décisions (1/3 des projets), attirés par la position géostratégique de la région Sud, hub incontournable pour atteindre les marchés européens et africains. En 2018, 7 projets sont des primo implantations en Europe et 17 des primo implantations en France.

 

 

risingSUD, l’opérateur de l’attractivité de la Région Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur
Le rayonnement international de la région Sud est un enjeu majeur à travers un programme d’actions concentré sur un plan de prospection ciblé et d’une présence sur de grands salons internationaux. La Région Sud soutient l’attractivité de son territoire avec l’appui de risingSUD, des agences départementales de développement économique (ADE04, ADDET05, Team Côte d’Azur, Provence Promotion, CCI Var agence de développement, Vaucluse Provence Attractivité, Euroméditerranée) et de Business France.

 

 

Ils ont choisi la région Sud !

Exemples de décisions d’implantation en Provence-Alpes-Côte d’Azur en 2018

COSYLAB LABO SYSTEMES CONTROLE SLOVÉNIE –MANOSQUE (04)
PARTENARIAT TECHNOLOGIQUE –PRIMO NATIONAL -10 EMPLOIS
Cosylab est une entreprise Slovène, leader mondial dans la fourniture de matériel et de logiciels pour le développement de systèmes de contrôle et d’intégration d’accélérateurs de particules, de radiotélescopes ainsi que d’autres installations de physique expérimentale de grande envergure. Pour sa première implantation en France, via un partenariat technologique, l’entreprise a choisi la ville de Manosque pour sa proximité avec le site d’ITER (projet international de réacteur de recherche civile à fusion nucléaire) avec lequel l’entreprise collabore déjà. Cet investissement devrait permettre la création de 10 emplois.

EXPEDIA, INC. ÉTATS-UNIS –MARSEILLE (13)
EXTENSION –25 EMPLOIS
Leader européen du voyage d’affaires sur Internet, l’entreprise américaine Expédia Corporate Travel, renforce sa présence à Marseille. Cette extension confirme une nouvelle fois l’attractivité de l’Opération d’Intérêt National Euroméditerranée comme l’une des principales plateformes en
Europe du Sud pour les entreprises internationales. Cet investissement se traduira par la création de 25 nouveaux emplois.

ANSYS, INC. ÉTATS-UNIS –LA FARLEDE (83)
RACHAT-EXTENSION –30 EMPLOIS
Ansys est une entreprise américaine, éditrice de logiciels, spécialisée en simulation numérique. Suite à l’acquisition en France, à l’été 2018, d’une PME d’édition de softwares spécialisés, l’entreprise a souhaité renforcer ses effectifs en région en recrutant près de 30 nouveaux collaborateurs. L’entité française étant déjà présente sur les sites Sophia-Antipolis, Aix-en-Provence et Toulon, c’est ce dernier qui se verra renforcé par l’embauche de 30 nouveaux collaborateurs. Cette extension démontre que la région possède un vivier de talents de haut niveau.

CURA GLOBAL HEALTH ÉTATS-UNIS –AVIGNON (84)
CRÉATION CENTRE DE R&D PRIMO EUROPÉEN –12 EMPLOIS
Cura Global Health est une start-up américaine du secteur des biotech. L’entreprise a souhaité relocaliser son siège et sa R&D en France afin de renforcer son partenariat avec l’entreprise Naturex, leader mondial des ingrédients naturels, située dans le Vaucluse. Il s’agit d’une première implantation européenne pour l’entreprise qui servira comme centre de décisions global et centre de R&D. L’investissement se traduit par la création de 12 emplois.

www.risingsud.fr

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Economie numérique

Syntec Numérique prévoit un recul de 4,6% du secteur IT en 2020 et table sur 1% de croissance en 2021

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Lors de sa conférence semestrielle tenue jeudi 3 décembre, Godefroy de Bentzmann, président de Syntec Numérique, a présenté un bilan 2020 du secteur IT moins négatif que prévu malgré le ralentissement provoqué par la crise sanitaire. S’appuyant sur les résultats d’une enquête téléphonique commandée à IDC et réalisée du 5 octobre au 6 novembre 2020 auprès de 235 entreprises du secteur du numérique, l’organisation professionnelle des acteurs du numérique prévoit un recul de 4,6% du chiffre d’affaires de ses adhérents sur l’ensemble de 2020, avant un rebond de 1% en 2021.
« Le marché du numérique résiste mieux que la moyenne des secteurs en France, car il est stimulé par la transformation digitale des organisations », souligne Godefroy de Bentzmann dans un communiqué.
Syntec Numérique n’a pas manqué de souligner que c’était beaucoup mieux que les -6,7% anticipés lors de son enquête de printemps et que le secteur ferait deux fois mieux que le reste de l’économie. Cela n’en reste pas moins une déception pour un secteur qui affichait encore une croissance de 4,2% en 2019. Ainsi, cette année, 41% des entreprises interrogées seront en décroissance. Et seulement 33% en croissance.
La situation est par ailleurs contrastée selon les métiers : Ce sont les éditeurs qui ont le mieux résisté avec un chiffre d’affaires en hausse de 0,3% en 2020 (contre 6,6% en 2019). A l’inverse, les entreprises de services du numérique (ESN) reculent de -4,2% (contre +3,1% en 2019).  Mais ce sont les entreprises d’ingénierie et de conseil en technologies (ICT) qui sont les plus touchées par le ralentissement économique. En 2020, leurs revenus ont plongé de 12,3% en raison de leur lien avec les secteurs en crise de l’aéronautique et de l’automobile durement touchés par la crise sanitaire. Les SMACs (social, mobilité analytique, Cloud) sont restés les moteurs de l’activité, avec une croissance estimée à +6,4% par rapport à 2019 (+12,2% pour le seul cloud). Dans ce secteur, le risque de suppression d’emplois est présent et plus de 10 000 postes sont en danger, selon le Syntec Numérique.

Rebond attendu pour 2021

Sur 2021, Syntec Numérique prévoit une croissance de 1%, mais ce rebond « reste limité et conditionné par l’évolution de la crise sanitaire et à la situation économique des clients ». La situation est pour l’instant contrastée suivant les différents acteurs de la filière. Cette croissance devrait être portée par une augmentation des dépenses IT « qui connaîtront une hausse importante pour 53% des organisations (clients & prospects) en 2021« , selon le Syntec Numérique. Les éditeurs de logiciels devraient repartir plus vite (+3,8%), suivis par les ESN (+1%) puis l’activité de conseil en technologie qui devrait toujours être en décroissance l’année prochaine (-3,3%).
Sur le front de l’emploi, les recrutements repartent à la hausse avec de nouveaux des tensions sensibles sur certains profils (notamment sur les métiers de la cybersécurité, l’intelligence artificielle, l’IoT…). Seuls bémols, la croissance sera limitée par l’absence de croissance embarquée des effectifs sur la partie conseil et le fait qu’un certain nombre d’entreprises clientes se sont fixé comme objectif de renégocier leurs contrats fournisseurs. ‘’Deux entreprises sur trois’’ dans le ‘’numérique disent avoir stabilisé ou augmenté leurs effectifs en 2020’’, selon le Syntec numérique.

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Economie numérique

Nice : Qwant s’engage pour un monde meilleur en signant le manifeste Tech For Good

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Soucieux de protéger la confidentialité des données de ses utilisateurs, Qwant est plus que jamais en phase avec l’initiative « Tech For Good ». Avec 49 autres entreprises engagées, le moteur de recherche éthique souhaite répondre aux grands enjeux de notre temps à savoir, réduire la pauvreté, donner un accès à une éducation de qualité pour tous, lutter contre le réchauffement climatique et donner accès à une énergie propre à un coût abordable. Pour cela, il vient de rejoindre Tech For Good France, un réseau d’entrepreneurs et d’investisseurs qui développent et financent des solutions Tech et digitales afin d’accélérer la transition vers une société plus durable et plus responsable. De ce fait, Qwant est signataire du manifeste du même nom, pour répondre aux objectifs de développement durable inscrit dans l’agenda « Horizon 2030 » fixés par l’ONU. Au cœur de cette approche, une conviction : la technologie ne profite à la société, aux citoyens et aux consommateurs que si elle respecte leur vie privée, leur autonomie, leur liberté de choix et de compréhension.
‘’Ce manifeste Tech For Good représente toutes les valeurs que nous nous efforçons de mettre en place depuis la création de Qwant : éthique et responsabilité, souligne Jean-Claude Ghinozzi, le patron de Qwant. ‘’Au-delà du défi entrepreneurial, c’est un véritable engagement sectoriel des plus grands acteurs mondiaux, pour faire de la technologie le socle inébranlable sur lequel reposeront, les principes fondamentaux d’un monde meilleur.’’

Le défi du manifeste

Les 50 entreprises s’engagent à :

  • coopérer avec les efforts de la communauté internationale, dans le respect de l’État de droit et conformément à un devoir de vigilance et de transparence, pour mettre en place l’interdiction des contenus pédopornographiques, des contenus terroristes ou d’extrême violence en ligne, la réglementation des contenus haineux, la désinformation et la manipulation des opinions ;
  • mettre en œuvre dans leurs produits et services des principes tels que la “sécurité par la conception » et la « vie privée par la conception », la durabilité et la protection de la liberté de choix des consommateurs ;
  • assumer leurs responsabilités économiques et sociales en contribuant équitablement aux taxes dans les pays où ils opèrent ;
  • soutenir les efforts de recherche mondiaux pour développer une compréhension commune de la technologie, et organiser leurs recherches en consultation ou en collaboration avec les scientifiques et les citoyens, par exemple par l’ouverture et le partage des données en toute confiance et l’interopérabilité des plateformes ;
  • profiter de la révolution technologique pour relever les défis sanitaires et environnementaux ; pour contrôler, réduire et gérer les incidences de leurs activités sur l’environnement ; pour soutenir la transition écologique de leurs industries respectives ; et pour poursuivre les objectifs des Nations unies en la matière ;
  • veiller à ce que leurs technologies favorisent l’intégration sociale, professionnelle et économique, fassent progresser l’accessibilité de leurs services à tous, en particulier aux personnes handicapées et aux personnes traditionnellement marginalisées ou exclues, et réduisent partout la fracture technologique numérique ;
  • promouvoir la diversité et l’égalité des chances, notamment en ce qui concerne la justice sociale, l’inégalité des richesses, l’égalité des sexes et des races, l’affiliation religieuse et l’orientation sexuelle dans leurs stratégies d’entreprise, ainsi que dans la conception de leurs technologies et processus, dans la mise en œuvre de leurs solutions, dans l’expérience de l’utilisateur et dans la chaîne de valeur ;
  • soutenir les efforts visant à élargir la culture technologique, à éduquer le plus grand nombre possible de personnes à une connaissance raisonnée et à une utilisation responsable des données et des technologies et, à cet effet, renforcer la coopération entre les gouvernements, les entreprises, les universitaires, les communautés technologiques et la société civile.
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Cluster, association

Syntec Numérique et Tech‘In France fusionnent pour devenir l’acteur de référence dans le numérique

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La décision était attendue de longue date. Deux des principales organisations de la filière Tech en France, Syntec Numérique et Tech’In France ont annoncé vendredi 27 novembre leur intention de fusionner en 2021. Les conseils d’administration des deux organisations professionnelles du numérique en France ont entériné cette fusion. Elle devrait donner naissance à une nouvelle structure et marque, dont le nom n’est pas encore communiqué, d’ici le 2ème trimestre 2021. Son cadre juridique et sa nouvelle gouvernance restent encore à définir.

Les présidents de Tech’In France, Pierre-Marie Lehucher, et de Syntec Numérique, Godefroy de Bentzmann (Crédit Photo : Beger-Levrault/Syntec Numérique)

Déjà engagés dans des travaux communs, les représentants d’entreprises du numérique ambitionnent de faire de cette nouvelle entité l’interlocuteur de référence des entreprises du numérique pour les pouvoir publics en France et en Europe. La nouvelle entité représentera  65 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 600 000 emplois directs (éditeurs, SSII, intégrateurs, fournisseurs de services…).
Syntec Numérique et Tech’In France ont ciblé 5 grands enjeux, jugés prioritaires pour la France en matière de numérique, auxquels ils pensent pouvoir répondre par cette fusion : la place du numérique dans la société ; la France numérique en Europe ; la croissance et la compétitivité de nos entreprises du numérique ; la transformation numérique de toutes les entreprises et administrations, vecteur de croissance de l’économie ; les enjeux sociaux, sociétaux et écologiques du numérique.
Rappelons que le Syntec Numérique a été créé en 1969 sous le nom Syntec Informatique (devenu Syntec Numérique en 2010) pour représenter des entreprises de services du numérique (ESN), des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies. Aujourd’hui, il représente 2 000 adhérents réalisant 80% du chiffre d’affaires total du secteur. L’association Tech in France, quant à elle, a été créée en 2006 sous le nom d’AFDEL (Association française des éditeurs de logiciels) et comptabilise aujourd’hui 400 entreprises adhérentes. Sa mission est de rassembler et représenter des éditeurs de logiciels, de services internet et de plateformes.

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