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La région Sud à Station F pour échanger avec les start-up régionales du programme ‘’Fellowship’’

Renaud Muselier et Christian Estrosi ont invité jeudi 16 mai à la Station F à Paris, les start-ups régionales qui bénéficient gratuitement depuis septembre dernier du programme « Fellowship ».

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Le président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier et le président délégué, Christian Estrosi ont invité jeudi 16 mai à Station F à Paris, les start-up régionales qui bénéficient gratuitement depuis septembre dernier du programme « Fellowship » pris en charge par la région.
Etaient également présents, Xavier Niel bien évidemment, fondateur de Station F considéré comme le plus grand campus numérique de start-up au monde, Cédric Vilani, député de l’Essonne, quelques acteurs régionaux comme TVT Innovation et la French Tech toulonnaise, enfin à cause certainement du football, seulement une trentaine de start-up parmi la cinquantaine concernée! Cela dit, même le président de la Région Sud avait visiblement l’esprit à la finale de l’Europa League qui opposait l’OM à l’Athlético de Madrid le soir même, il devait se rendre à Lyon pour assister au match, aussi il ne fallait pas trop trainer à Paris ! Deux jours avant l’événement, la région avait même avancé de plus d’une heure le rendez-vous, pour démarrer à 14h45.

Renaud Muselier, président de la région Sud

Dans leur discours respectif, Renaud Muselier et Christian Estrosi ont rappelé que ce partenariat établi avec Station F s’inscrivait dans la stratégie menée par la région Provence-Alpes-Côte d’Azur pour devenir  »la première smart région d’Europe » et le  »1er partenaire des entreprises pour gagner la bataille de l’emploi. » Renaud Muselier a de son côté souligné que les efforts de la région pour soutenir les entreprises se poursuivaient, pour les accompagner d’une part à l’international et chasser en meute, exemple au CES de Las Vegas où la région sera une nouvelle fois présente en 2019, ou bien avec le Parcours Sud export que Renaud Muselier présentera fin juin, dans le cadre de la réforme « team France » du gouvernement et pour laquelle la région Sud a été désigné comme région pilote en France.
D’autre part pour accompagner les entreprises dans leur développement, il a rappelé qu’il existait des outils au service d’une politique économique innovante :  »8 Opérations d’Intérêt Régional: un dispositif unique en France, que nous avons initié avec Christian, où nous accompagnons l’émergence de projets structurants et innovants en lien avec nos filières stratégiques. Objectif : 1 milliard d’euros investi, 50 000 emplois créés et 500 nouvelles entreprises implantées sur le territoire. »  Enfin en ce qui concerne le Fonds d’Investissement pour les entreprises de la Région (FIER) qui regroupe un panel d’outils de financement au service des entreprises. Renaud Muselier a martelé  »Nous avons 100 millions d’euros consacrés à l’innovation et plus de 170 entreprises aidées chaque année.  Objectif d’ici à la fin de la mandature : mobiliser 300 millions d’euros pour accompagner plus de 10 000 entreprises ».
Le président de la région Sud a poursuivi en précisant que sa feuille de route à venir passe par l’Intelligence Artificielle,  »Nous allons construire et fédérer un écosystème d’innovation autour de l’intelligence artificielle car nous disposons d’un potentiel incroyable en région autour d’INRIA, de nos 2 universités, de startups comme O² Quant, Amadeus, le pole SCS et bien d’autres. Les domaines d’applications sont multiples, de la transition écologique à la sécurité.’’ Et de conclure que  »La volonté politique est là, la compétence et le souhait d’innover et d’avancer avec vous n’a jamais été aussi fort. »

Cédric Vilani, député de l’Essonne

L’intervention de Cédric Vilani n’avait en revanche rien de politique, bien au contraire le député de l’Essonne a joué sur son expérience pour expliquer aux jeunes pousses que changer de lieux pour travailler, pour se développer peut-être bénéfique car il y a des endroits qui nous transcendent, et Station F en est un ! Pour Cédric Vilani,  »Ce qu’il faut aux start-up, ce n’est pas seulement rencontrer et communiquer avec des investisseurs mais aussi échanger entre elles, apprendre de soi-même mais aussi des autres’’. Pour le mathématicien, un startuper peut avoir tout prévu, il se heurtera de toutes façons toujours à ce qu’il n’avait pas prévu !

Anthony Chamak (Twiin App) avec Xavier Niel, fondateur de la station F

Le seul regret de cet événement, c’est qu’aucune start-up n’ait été invité à prendre la parole pour raconter son expérience au cœur de la Station F et connaître son avis sur le programme ‘’Fellowship’’. Alors, voici quelques réactions enregistrées pour #techsnooper par le startuper Anthony Chamak de Twiins App (Aix-en-Provence), qui a croisé le marseillais Vincent Kieffer et le cannois Pedro Melendez.

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3D, VR, AR

Découvrez Mimesis, le masque de protection 100% réalisé sur-mesure, réutilisable et imprimé en 3D

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Mimesis, c’est un masque de protection respiratoire pour praticiens médicaux, 100% sur-mesure, lavable des centaines de fois et imprimé en 3D à la forme de votre visage. Cette simple idée est née il y a 7 mois lors d’un brainstorming autour du Covid-19 mené au sein de l’équipe de la société Inovsys, spécialiste dans conception de pièces spéciales pour l’aéronautique ou l’énergie et implantée sur le Technocentre Henri Fabre, accélérateur d’innovations à Marignane. Ce masque est depuis réalisé par Inovsys en collaboration avec 3D Medlab également sur le Technocentre, spécialisée dans la conception et la production de dispositifs médicaux en impression 3D, et la société montpelliéraine Anatoscope, qui développe des solutions logicielles pour convertir tout type d’image médicale d’un individu en son avatar anatomique 3D en vue de la production de prothèses.

Le confort inégalable du sur-mesure

Sur la base d’un postulat plus poussé que la réalisation de produits standards qui inondent déjà le marché, la flexibilité de la technologie 3D est utilisée pour personnaliser au maximum le masque afin de le conformer à la morphologie du visage de son porteur et apporter un confort inégalable même sur de longues durées.
Nombre de praticiens du monde médical et paramédical vont devoir désormais se protéger quotidiennement et durant plusieurs heures de projections susceptibles d’être contaminées. Dentistes, orthodontistes ou infirmières font partie des premiers concernés auxquels s’ajoutent désormais tous les salariés d’entreprise qui doivent porter le masque quotidiennement.
Après de nombreuses itérations de designs et d’optimisations fonctionnelles, ce sont deux modèles de masques imprimés en TPU (polyuréthane thermoplastique) souple biocompatible, un élastomère aux propriétés adaptées à cet usage, et un dispositif de grille portant un filtrant haute technicité, qui sont proposés. Chaque masque est compatible avec le port d’équipements de protection individuelle et n’entraine pas la formation de buée sur les lunettes ni d’atténuation de la voix.
Pour le produire, il suffit de réaliser un scan du visage du porteur réalisable au moyen d’une application sur smartphone avant de le fabriquer par impression 3D.

Filtration garantie UNS1, l’étanchéité en plus

Les kits proposés comprennent un masque sur-mesure imprimé en 3D (avec une option de visière amovible), un système de fixation et un ensemble de filtres certifiés UNS1 par le gouvernement français et lavables 100 fois. Répondant aux exigences requises pour une utilisation professionnelle, les performances de filtration sont équivalentes à celle des masques chirurgicaux (norme NF EN 14683 : filtration > 95% des particules de 3 μm), tout en apportant une excellente étanchéité. Une alternative avec du tissu filtrant FFP2 à usage unique est en cours d’investigation.
Avec un kit complet, vous disposez de 2000 heures d’utilisation, soit 250 jours de protection (pour une fréquence d’utilisation de 8 heures par jour, en changeant de filtre toutes les 4 heures). Le coût à l’utilisation revient à moins de 30 cents.

www.AnatoMask.com

 

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TRIBUNE | L’attractivité des territoires : un véritable tremplin pour l’emploi et la compétitivité

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La crise sanitaire que nous traversons a profondément mis à mal nos organisations et amené nombre d’actifs à évoluer et prendre des décisions structurantes qui impacteront leur avenir professionnel. Dans ce contexte, force est de constater que le sujet lié à la « décentralisation » des entreprises hors des grandes métropoles se positionne aujourd’hui comme une réalité concrète.

Accompagner cette transition pour donner un nouveau souffle à l’économie

C’est précisément sur ce point que les territoires ont un rôle central à jouer pour attirer de nouveaux talents et dynamiser l’économie et l’emploi local. En effet, si les actifs sont demandeurs de mobilité en région, encore faut-il qu’ils puissent y exercer une activité professionnelle en rapport avec leurs attentes, notamment dans les métiers à forte valeur ajoutée comme la technologie, les biotechs, la recherche, etc. Au regard de ces éléments, une bataille semble se profiler entre les différentes régions.

Miser sur la qualité des infrastructures

Une chose est sûre, la qualité des infrastructures est une composante clé de l’attractivité des territoires et peut même représenter une véritable marque de fabrique ou vitrine. Mais celle-ci ne peut s’improviser et nécessite à la fois des investissements massifs, une vision d’avenir et un savoir-faire éprouvé. Technopoles, infrastructures de transports, qualité des réseaux IT, espaces verts et offre culturelle sont autant de points clés qui permettront d’offrir des conditions de travail de premier plan aux entreprises et donc d’attirer de nouveaux talents à long terme.

Repenser les espaces de travail et infléchir la législation pour s’adapter à la nouvelle donne

La crise de la COVID 19 aura mis en avant la possibilité de travailler différemment. En effet, les notions de télétravail, de venue partielle au bureau et de travail hybride font désormais partie de notre quotidien. En ce sens, les territoires, accompagnés de promoteurs innovants, doivent repenser le lieu de travail et créer des bâtiments de nouvelle génération qui pourront accueillir dans des conditions de flexibilité uniques les talents d’aujourd’hui et de demain. Et penser les espaces de travail comme des lieux où favoriser collaboration et ingéniérie collective, des bases arrières de l’entreprise. Il est également essentiel de penser à créer des zones d’activités réellement inclusives qui permettent à la population de vivre au centre de zones d’activités attractives et prenant en compte les nouvelles attentes : écologie, bien-être, développement responsable, etc. Les territoires et les entreprises doivent peser de tout leur poids auprès des gouvernements pour que la législation travail s’adapte à ces nouveaux usages, condition essentielle de l’attractivité de notre pays dans un monde où les talents sont globalisés.

Encourager la fertilisation croisée des talents, source de croissance économique et d’innovation 

Enfin, un autre point clé à prendre en compte est directement lié à la capacité d’un écosystème à savoir travailler ensemble, toutes disciplines confondues, pour faire naître de nouvelles opportunités de collaboration sur un territoire, en particulier grâce à l’apport des centres de recherche à l’échelle régionale qui peuvent créer une fabuleuse émulation sur l’économie locale. Mais ce n’est pas tout, s’appuyer sur un tissu universitaire et un enseignement supérieur de qualité sera également l’assurance de cristalliser localement des compétences et talents qui formeront les élites de demain et donneront une véritable identité aux territoires régionaux. Il s’agit grâce à ces acteurs de transformer le modèle de croissance économique, social et environnemental des territoires.

À travers ces différents éléments, on comprend donc parfaitement l’importance pour les régions de renforcer leur attractivité pour se développer à long terme et répondre aux nouveaux défis auxquels nous devrons faire face.

par Dorothée Lamé-Laroche. directrice du développement de la technopole de Sophia Antipolis

 

 

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Sophia-Antipolis : F-Reg, GoMecano et Creative Motion intègrent la promo 2020/2022 du Village by CA

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La promotion 2020/2022 du Village by CA de Sophia Antipolis, l’accélérateur du Crédit Agricole est désormais complète suite à l’arrivée de F-Reg, Go Mecano et Creative Motion. Plusieurs start-up innovantes avec un fort potentiel de croissance et ayant fait leurs premières preuves de marché, sont venues ‘’pitcher’’ mardi 8 décembre devant le comité de sélection constitué de ses partenaires Ambassadeurs*. F-Reg, Go Mecano et Creative Motion ont été retenues pour intégrer le programme d’accélération et complètent une promotion 2020-2022 bien garnie, riche de 22 startups actuellement dans les murs du Village.
Le programme de 24 mois du Village by CA, monté en partenariat avec la CCI Nice Côte d’Azur, est axé sur la montée en compétence des dirigeants dans le domaine de la vente, de la stratégie, de la planification opérationnelle et de la finance d’entreprise. Il permet aux startups, PME, ETI, grands groupes, institutionnels, grandes écoles et universités de coopérer, innover et se développer ensemble.

Les 3 startups sélectionnées

–        F-Reg (Flow Regulation Systems) : Fondée par Emmanuel Curinier et Thierry Courbon en 2014, implantée dans le département des Alpes-Maritimes, il s’agit d’une solution de stockage innovante permettant de lutter contre les inondations urbaines et de prévenir les pollutions par temps de pluie. Avec ses douze salariés, elle commercialise depuis 2018 une vanne de régulation chargée de contrôler les flux d’eau dans les canalisations.

–        Go Mecano : Le garage automobile itinérant créé à Roquefort-les-Pins par Alexandre Nivesse et Mathias Boutsen en 2017 et implanté dans le département des Alpes-Maritimes. Go Mecano est une plateforme tout-en-un permettant aux clients particuliers et professionnels d’obtenir un rendez-vous avec un mécanicien mobile en moins de 72h pour réaliser l’entretien ou la réparation de son véhicule à domicile ou sur site.

–        Creative Motion : Fondée par Lionel Hun en Janvier 2019, Creative Motion conçoit et produit des nouvelles expériences digitales duplicables permettant d’engager émotionnellement les individus et permettant aux marques et aux entreprises de créer un lien particulier avec leurs communautés.

Le Village by CA PCA accompagne désormais 43 startups (dont 21 alumnis) qui ont vu leur croissance commerciale boostée grâce à la synergie entre l’accompagnement proposé et le tissu de partenaires impliqués localement. Le réseau européen de 37 Villages by CA (en France, en Italie et au Luxembourg) permet également de créer des connexions sur l’ensemble du territoire et à l’international.

*Les partenaires ambassadeurs sont SAP Labs France, CGI, CEA Tech, Noeva, Cabinet DSO, EDF, Indosuez, Malongo, Philips Lighting, IBM, Amadeus ou Supralog.

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