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La Banque Postale lancera début 2019 ‘’Ma French Bank’’ avec KissKissBankBank

La Banque Postale, maison mère de KissKissBankBank, a confirmé la création d’ici à la fin de l’année de ‘’Ma French Bank’’, l’entité digitale de l’établissement bancaire qui intégrera l’ensemble des offres KissKissBankBank.

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A l’occasion d’un point presse organisé le 19 avril dernier au Wagon Marseille pour le premier anniversaire de l’agence KissKissBankBank à Marseille (cf. article KissKissBankBank fête son premier anniversaire dans le Sud), La Banque Postale, maison mère de KissKissBankBank, a confirmé la création d’ici à la fin de l’année de ‘’Ma French Bank’’, l’entité digitale de l’établissement bancaire qui intégrera l’ensemble des offres KissKissBankBank.

6 ans de partenariat pour un mariage…
Après six années de partenariat avec La Banque Postale, cette dernière rachetait en juillet 2017 la plateforme de financement participatif afin, notamment, de répondre aux nouveaux usages bancaires. Cette acquisition à 100 %, dont le montant n’avait pas à l’époque été communiqué, s’inscrit dans la stratégie de développement digital de la filiale bancaire de la Poste qui souhaite élargir son offre de produits et services pour répondre aux attentes de ses clients.
Pour KissKissBankBank, s’adosser à un groupe bancaire qui partage la même vision de la banque de demain apparait stratégiquement essentiel et permet à la plateforme de poursuivre son développement en France et à l’international tout en musclant ses arguments face à une concurrence de plus en plus féroce. De plus, KissKissBankBank qui emploie une quarantaine de personnes, a gardé son autonomie, dans ses bureaux de la rue de Paradis, dans le 10e arrondissement de Paris. La Banque Postale s’appuie sur l’équipe dirigeante initiale, composée des trois fondateurs KissKissBankBank, et capitalise sur leur expertise pour continuer à développer l’éditeur et ses trois plateformes (KKBB, Hellomerci et Lendopolis).
KissKissBankBank aime souligner que La Banque Postale est la première banque au monde à avoir signé un deal avec une plateforme de crowdfunding en 2010.
Adrien Aumont, co-fondateur et dirigeant de KissKissBankBank nous explique quel est l’intérêt pour la plateforme de crowdfunding d’avoir signé une alliance avec La Banque Postale.

Ma French Bank : une plateforme fintech citoyenne française
Baptisée « Ma French Bank », précisément pour évoquer la mission en France de La Banque Postale, elle se veut un outil bancaire du quotidien mais « solidaire ». Concrètement, cette banque en ligne associera des services bancaires de tous les jours (compte courant, moyens de paiements, crédit à la consommation, services d’assurance, etc.) et les offres de « crowdfunding » de la plate-forme KissKissBankBank. La Banque Postale mise sur sa proximité avec les foyers français et pour déployer massivement ces nouvelles offres sur le territoire, sur la force de frappe des 9.000 bureaux de Poste : les guichetiers seront en effet chargés d’ouvrir des comptes à la manière dont ils vendent déjà des abonnements téléphoniques. L’intérêt pour le groupe La Poste est de décupler sa conquête commerciale bancaire puisque, aujourd’hui, seuls les conseillers bancaires de La Banque Postale sont en mesure d’ouvrir des comptes.
Pour l’organisme bancaire, le lancement de ‘’Ma French Bank’’ est une première étape dans la création d’un écosystème fintech autour de la Banque Postale.
Explications de Benoit de Rosamel, directeur Méditerranée de La Banque Postale pour les entreprises et le développement des territoires.

Ma French Bank sera physiquement implantée à Paris, rue de Paradis, juste à côté du siège social de KissKissBankBank. Une phase de tests sera lancée en fin d’année et un lancement grandeur nature au premier semestre 2019.

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Ecosystème

Marseille : La fintech +Simple réalise deux acquisitions majeures et s’implante sur le marché italien

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+Simple, le spécialiste du courtage digital en assurance pour les PME et les indépendants, annonce poursuit son expansion géographique en concluant deux acquisitions structurantes : celles des sociétés Aleade, courtier grossiste en assurance installé à Soissons (Hauts-de-France), et S4Y (Solutions 4 You), spécialiste italien de la souscription d’assurance pour les professions réglementées basé à Rome. Les montants de ces deux acquisitions restent confidentiels. Il s’agit de la quatrième acquisition pour le spécialiste du courtage digital en assurance dédié aux PME et indépendants. Après Crealinks et April Entreprise Est en 2020, la fintech marseillaise âgée de six ans seulement poursuit donc sa stratégie de croissance externe et accélère sa stratégie d’expansion commerciale, soutenue par la levée de fonds de 20 millions d’euros bouclée à l’automne dernier.

Automatiser la souscription et la gestion du contrat

Créé à en 2015 par Eric Mignot, Salah Hamida et Anthony Jouannau, +Simple est un courtier numérique en assurance dédié aux TPE et aux indépendants à qui elle propose un parcours simplifié 100% digital pour souscrire aux assurances nécessaires à leur activité professionnelle. Elle a mis au point un « robot courtier » capable, grâce à des algorithmes, d’analyser les besoins du client et d’aller chercher automatiquement les garanties adéquates. Un guichet unique en quelque sorte qui supprime ainsi toutes les lourdeurs administratives et gagne en transparence, et auquel souscrivent les 21 partenaires assureurs de +Simple tels que Allianz, Generali, Malakoff Médéric Humanis ou encore La Banque Postale, qui lui donnent une délégation pour sélectionner et gérer les risques pour leur propre compte. +Simple couvre aujourd’hui 400 métiers via une trentaine de solutions adaptées et revendique aujourd’hui 50.000 clients indépendants, TPE…

11 millions d’euros de chiffre d’affaires consolidé en 2020

Pour +Simple, l’intégration d’Aleade, qui est spécialisée dans la couverture des risques spéciaux et hors normes (camping, discothèques…), et de S4Y, qui s’adresse aux professions réglementées (experts comptables, architectes…), est « une étape cruciale » qui va permettre de diversifier les activités de la start-up tout en poursuivant son développement en France et en Europe.
Implantée à Nancy, Strasbourg, Paris, Marseille, et désormais à Soissons et à Rome, la fintech marseillaise, qui compte près de 50 000 clients et 98 salariés, déclare avoir généré un chiffre d’affaires consolidé de 11 millions d’euros pour l’année 2020.

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Ecosystème

Marseille : l’assurTech +Simple lève 20 millions d’euros pour se lancer à l’international

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Après deux tours de table de 800 K€ en 2017 et 10 millions d’euros en 2018, le courtier en ligne +Simple en conclut un troisième de 20 millions d’euros mené par son partenaire historique Idinvest, accompagné de nouveaux investisseurs en capital-risque dont Mundi Ventures et Speedinvest. Ce financement inclut une part d’augmentation de capital (15 millions) et de dette (5 millions).

Pour une simplification administrative

Créé à en 2015 par Eric Mignot, Salah Hamida et Anthony Jouannau, la start-up marseillaise +Simple est un courtier numérique en assurance dédié aux TPE et aux indépendants à qui elle propose un parcours simplifié 100% digital pour souscrire aux assurances nécessaires à leur activité professionnelle. Elle a mis au point un « robot courtier » capable, grâce à des algorithmes, d’analyser les besoins du client et d’aller chercher automatiquement les garanties adéquates. Un guichet unique en quelque sorte qui supprime ainsi toutes les lourdeurs administratives et gagne en transparence, et auquel souscrivent les 21 partenaires assureurs de +Simple tels que Allianz, Generali, Malakoff Médéric Humanis ou encore La Banque Postale, qui lui donnent une délégation pour sélectionner et gérer les risques pour leur propre compte. +Simple revendique aujourd’hui 50.000 clients indépendants, TPE…

Cap sur l’Europe

+Simple compte utiliser ce nouvel apport de capitaux pour accélérer une « forte dynamique de croissance » en finançant notamment ses projets de développement en France et en Europe ainsi que l’élargissement de sa gamme de services. Pour s’étendre, la start-up a d’ailleurs racheté cet été April Entreprise Est, la filiale strasbourgeoise du courtier April, qui lui permet de mettre un pied en Allemagne. Cette opération, la deuxième après l’acquisition de Crealinks, spécialisé sur les métiers du tatouage, renforce sa stratégie de déploiement en Allemagne mais également en Italie dans les mois à venir. L’intégration d’April Entreprise Est lui ouvre déjà l’accès à un réseau de distribution d’environ 3 200 courtiers régionaux.
+Simple couvre aujourd’hui 400 métiers à travers une trentaine de solutions adaptées. L’assurTech accueille près de 80 collaborateurs, dont une vingtaine de développeurs. Rappelons qu’en 2018, +Simple faisait partie du classement annuel des 100 start-up de la fintech les plus innovantes, établit par le cabinet d’audit KPMG et le fonds de capital-risque H2 Ventures, spécialisé dans la fintech.

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Ecosystème

Alcinéo (La Ciotat) et Keloabs (Salon-de-Provence) iront à Amsterdam au Money20/20 Europe avec Business France

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Elles sont 12 pépites sélectionnées par Business France pour participer sur le pavillon French Tech à l’événement dédié à l’écosystème du paiement, Money20/20 Europe qui revient pour sa troisième édition du 22 au 24 septembre 2020 à Amsterdam.
Evénement phare pour les Fintechs, le Money20/20 a accueilli plus de 6300 personnes l’an dernier venus découvrir les dernières innovations du secteur. Mais c’est aussi et surtout un important lieu de networking avec des leaders du secteur (22% de startups de série C) et des investisseurs. Parmi les 12 start-up qui seront amenées par l’agence française au service du développement international des entreprises, 2 sont régionales. Elles sont toutes deux  implantées dans le département des Bouches-du-Rhône : Alcinéo à La Ciotat et Keloabs  à Salon-de-Provence.

Alcinéo (La Ciotat), une référence mondiale du paiement embarqué.

Créé en 2007 à la Ciotat, Alcinéo s’est spécialisée dans la conception de logiciels embarqués dans les terminaux de paiement électroniques et la sécurité logique. Lors de chaque transaction, des données particulièrement sensibles sont échangées entre la banque du client à celle du marchand, comme la date d’expiration ou la limite d’argent à ne pas dépasser. Pour éviter leur piratage, Alcinéo a donc intégré ses solutions de sécurité logique au sein de ses offres de paiement électronique et les pousse sur un marché relativement porteur.
Avec le développement du sans contact, la start-up a sorti en 2017, en partenariat avec Trustonic (Sophia-Antipolis), une solution mobile permettant aux petits commerçants, les indépendants et notamment les itinérants, d’accepter les paiements sans contact en utilisant leur smartphone ou leur tablette comme terminal de paiement, avec un niveau de sécurité très élevé. Le paiement sans contact représente 60% de l’activité d’Alcinéo car, au-delà du commerce, tous les secteurs du marché y arrivent progressivement, du transport au parking, en passant par les kiosques, les parcmètres…
Alcinéo n’est pas trop représenté en France où le marché est dominé par Ingenico. Mais en revanche, la société (25 collaborateurs) s’est imposée sur les cinq continents, dans une quarantaine de pays. La société réalise plus de 90 % de son chiffre d’affaires à l’étranger. L’Europe représente environ 45 % de son activité, les États-Unis 30 % et l’Asie 25 %.
L’ambition d’Alcinéo est de devenir une grande référence du paiement embarqué.

Keloabs (Salon-de-Provence), une connectivité clé en main pour l’IoT !

Issue en 2012 de la fusion entre Raisonance (Montbonnot, Isère) et Soliatis (Salon-de-Provence, Bouches-du-Rhône), Keolabs est un spécialiste de l’embarqué et des outils de vérification pour les cartes à puce et le Near Field Communication (NFC). Plus précisément, ses activités se portent sur deux marchés distincts : la validation de cartes à puces, et les outils pour le développement d’applications embarquées sur microcontrôleurs.
Keolabs propose ainsi une solution clé en main, appelée IoTize™, qui facilite l’implémentation de la connectivité NFC, Bluetooth ou Wi-Fi pour les systèmes électroniques embarqués dans les machines industrielles et l’électroménager. IoTize vise à relier, par l’ajout d’un module NFC, n’importe quel système embarqué à un smartphone. Le module se connecte au port de ‘’debug’’ de l’appareil électronique et permet, sans installation complémentaire matérielle ou logicielle, d’en lire les caractéristiques ou de les modifier depuis son téléphone, grâce à un procédé breveté par Keolabs. Pour les entreprises, cela permet de déployer leurs produits connectés plus rapidement et avec moins de risque.
IoTize est un projet collaboratif R&D qui a pour but la sécurisation et l’optimisation de cette technologie. Mené par Keolabs, le projet réunit des équipes R&D de STMicroelectronics, Gemalto, le Laboratoire Informatique de Grenoble et l’ISEN de Toulon. Le projet est labellisé par les pôles Minalogic et Pole Solutions Communicantes Sécurisées (SCS) et bénéficie d’un financement FUI à hauteur de 1,4 million d’euros pour une dépense totale de 3,9 millions d’euros.
Keolabs réalise 50% de son activité à l’export (Europe, Asie…) et compte pour références NXP, STMicro,GemaltoMotorolaSamsungLG, Oberthur…,

Les autres start-up de la délégation Business France au Money 20/20 Europe
(22 au 24 septembre 2020)

Famoco (Paris) aide les entreprises à déployer leurs applications métiers sur mobile. La startup fournit des terminaux dédiés fonctionnant sur OS Android. Grâce à un seul terminal, les entreprises peuvent ainsi gérer le paiement sans contact, suivre leurs marchandises ou vérifier des billets de transport ou de spectacle. Ces solutions peuvent être contrôlées à distance grâce à une plateforme SaaS.

Antelop Solutions (Paris). Fondé par deux anciens de Visa, Nicolas Bruley et Nicolas Benady, Antelop Solutions s’est lancé sur le marché du paiement mobile NFC. Malgré un marché très concurrentiel, la startup a réussi à s’imposer comme un important fournisseur de solutions de paiement par mobile et d’authentification. Elle travaille notamment avec les banques et leur système Secure 3D.

Ariadnext (Rennes). Depuis 2010, Ariadnext a fait de l’identité et de la sécurité le coeur de son métier. La startup propose des solutions d’identité numérique. MobileID.io facilite la création d’une identité numérique tandis qu’IDCheck.io contrôle l’identité grâce à une détection de la fraude automatisée. SmartStamp.io et Check’nSign.io, permettent, de leur côté, de sécuriser des documents reçus et de signer électroniquement des contrats.

Bizao (Paris). Pour faciliter les transactions entre la France et l’Afrique, Bizao a développé une solution de paiement via le compte mobile money ou le crédit téléphonique du client. Le système fonctionne quelque soit le canal de distribution utilisé (web, app, ussd,sms). Bizao centralise ainsi les échanges avec les différents opérateurs téléphoniques.

Quarkslab (Paris) aide les entreprises à sécuriser leurs équipements, leur systèmes et leurs programmes en agissant directement au niveau de leur code. L’idée qui se cache derrière la startup est de tenter de “casser” le code de leurs clients pour y trouver les défaillances et les corriger immédiatement. Quarkslab commercialise deux logiciels, IRMA spécialisé sur l’analyse des menaces et EPONA, une protection logicielle. La startup vient de lever 5 millions d’euros pour renforcer sa position sur le marché et se déployer à l’international.

PayCert (Paris) est un organisme de certification indépendant accrédité par le COFRAC. Il intervient pour certifier les systèmes de paiement électronique. Il délivre des certifications de conformité fonctionnelle et sécuritaire relatifs aux cartes ou aux terminaux. La startup travaille avec le secteur bancaire, les laboratoires ou les sociétés de transport.

W-HA (Boulogne-Billancourt) est une société anonyme, filiale d’Orange qui a reçu l’agrément d’établissement de monnaie électronique par l’ACPR. API-Money est une solution de paiement par monnaie électronique adaptée aux plateformes de crowdfunding et aux marketplaces, respectant les réglementations et la directive européennes sur les paiements (DSP2) et plus particulièrement la gestion d’encaissement pour le compte de tiers.

YouTransactor (Paris). Fondé en 2006 par Gérard Compain et Gregory Mardinian, YouTransactor conçoit et commercialise des solutions de paiement sécurisées mobiles adaptées aux environnements difficile (humidité, choc, température). La startup travaille avec des entreprises dans le secteur des transports, notamment Thalys. Elle a déjà déployé plus de deux millions terminaux de paiement sur le terrain.

Dejamobile (Caen) conçoit des solutions facilitant le paiement mobile pour les banques, le transport, le commerce et les entreprises. Elle accompagne ainsi ses clients dans le déploiement du paiement sans contact, la dématérialisation des titres de transport, des cartes de fidélité ou encore des titres restaurants ou des cartes cadeaux.

Paytweak (Paris) sécurise le paiement à distance par email ou sms. L’entreprise envoie un mail ou un sms aux clients indiquant le montant à régler. Paytweak génère un lien sécurisé qui permet de déclencher des paiements par carte de crédit ou wallet, de n’importe où et de façon sécurisée.

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