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[Expert] A la veille du FIDMed 2018, 11 conseils pour réussir votre levée de fonds

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La levée de fonds, pour une start-up ou une entreprise innovante, représente un passage à la fois délicat et quasi-systématique pour l’entrepreneur qui désire donner de l’ampleur à son projet. Tout comme la rédaction et la défense de votre Business Plan, qui peuvent s’avérer complexes, l’étape de la levée de fonds requiert une certaine expertise. Innovatech Conseil vous livre aujourd’hui ses 11 conseils pour réussir votre levée de fonds et qui vous seront utiles si vous vous rendez au prochain FIDMed qui se tient le 2 octobre prochain dans le nouveau lieu du numérique marseillais, la CIC Place de l’Innovation.

1. Maîtrisez l’exercice de la levée de fonds

Tout d’abord, vous devez savoir qu’une levée de fonds correspond à une opération financière par laquelle, l’entreprise fait appel à des investisseurs (autre qu’un organisme bancaire) pour obtenir un financement en échange d’une prise de participation.
Seules les SA (Société Anonyme) et les SAS (Société par Actions Simplifiée) peuvent prétendre à la levée de fonds, car leur forme juridique est la plus adaptée. Les SARL (Société à Responsabilité Limitée), ne sont pas adaptées à la levée de fonds dans la mesure où elles ne peuvent disposer que d’un nombre d’actionnaires restreint et que sa forme juridique la limite pour répondre aux besoins d’une augmentation de capital de ce type.

2. Anticipez votre besoin de financement

En règle générale, une levée de fonds dure de 4 à 15 mois, entre la rédaction du Business Plan, la recherche d’investisseurs, la phase de négociation, etc. Ce délai requiert une anticipation pour que vous puissiez le prévoir dans votre trésorerie. De plus, cette anticipation vous permettra de disposer de suffisamment de temps devant vous pour ne pas mener votre levée de fonds à la hâte et donc pour choisir l’investisseur idéal, ainsi que de ne pas se retrouver dans une situation de trésorerie très critique

3. Identifiez la nature de vos besoins

Pour identifier objectivement vos besoins en financement, vous devez mener une analyse approfondie de votre société (cette analyse débute généralement à la rédaction de votre Business Plan). Cette analyse portera sur le stade de développement de votre projet, la phase de développement (R&D et/ou commerciale), le niveau de chiffre d’affaires et les prévisions financières liées à votre projet, le point mort, etc. Ces informations vous aideront à déterminer le montant dont vous aurez besoin pour votre levée de fonds.
Une levée de fonds, c’est bien. Mais souvent, le besoin d’une levée de fonds s’inscrit dans une stratégie de développement à long terme. Votre entreprise, à travers sa recherche de financement, aura certainement besoin d’un accompagnement dans son projet, qu’il s’agisse d’un besoin en expertise industrielle, en recherche de débouchés commerciaux, en restructuration, etc.

4. Connaissez les solutions d’aide existantes

Il existe un certain nombreux d’acteurs qui peuvent intervenir dans votre besoin de financement et vous accompagner dans votre levée de fonds :

  • Business Angels
  • Banques privées ou publique (Bpifrance)
  • Fonds d’investissements privés
  • Dispositif France Investissement
  • Apporteurs d’affaires (leveur de fonds)
  • Mais aussi, cabinets de Relations Publiques, incubateurs, services de région, sociétés de conseil en financement de l’innovation (telles qu’Innovatech Conseil), etc

5. Protégez les informations stratégiques de votre entreprise

Pour mener à bien votre levée de fonds, il est primordial que vous protégiez à minima les informations stratégiques de votre entreprise. Pour cela, vous pouvez faire signer à vos investisseurs potentiels un accord de confidentialité, qui vous protège juridiquement en cas de divulgation d’informations sensibles.

6. Aidez-vous si besoin d’un apporteur d’affaires (leveur de fonds)

L’apporteur d’affaires est un professionnel de la levée de fonds qui peut vous aider dans le financement de votre projet innovant. Son expertise et ses conseils vous permettront un gain de temps considérable. L’apporteur d’affaires possède une compétence certaine pour éviter les erreurs graves, pour bien calibrer la levée de fonds et identifier le ou les types d’investisseurs adaptés. Il dispose également d’un carnet d’adresses d’investisseurs qui vous permettra d’identifier avec aisance le partenaire le plus approprié à votre projet. En règle générale, il est rémunéré par une commission de succès (il ne reçoit sa rémunération que si la levée de fonds aboutit) qui correspond à un pourcentage de la sommée levée (entre 1 et 5% en fonction de son montant). Parfois, il faut ajouter des frais fixes à cette commission, les retainer fees. Un bon apporteur d’affaires devra sélectionner l’investisseur non pas en fonction du montant de la levée de fonds, mais selon l’intérêt de votre entreprise.

7. Comprenez les motivations d’un investisseur

L’investisseur n’est pas une âme charitable qui n’attend aucune contrepartie, son action peut revêtir différents objectifs :

  • Chercher à effectuer une plus-value à moyen ou long terme
  • Prendre une participation majoritaire ou minoritaire dans votre entreprise
  • S’impliquer dans votre conseil d’administration ou de surveillance (droit de vote, droit de véto, etc)

Vous devez garder à l’esprit qu’un investisseur aura des attentes vis-à-vis de votre projet et qu’il voudra maximiser la plus-value liée à son investissement.

8. Renseignez-vous sur vos investisseurs potentiels

Lors de votre prospection pour trouver un investisseur et ainsi financer votre levée de fonds, vous ne devez pas négliger de vous renseigner sur l’identité de celui-ci afin d’éviter les mauvaises surprises. Détaillez l’historique de son activité, son expérience, ses résultats financiers et les performances déjà réalisées, sa connaissance du « métier » de financeur et de votre secteur d’activité, etc.

9. Préparez-vous aux multiples échanges

Votre premier contact avec l’investisseur potentiel consistera à la due diligence. Durant cette phase, l’investisseur va analyser les différents aspects (stratégique, commercial, comptable, juridique, etc) de votre projet grâce à votre Business Plan. Au travers de la due diligence, l’investisseur va mesurer le risque pris et la rentabilité possible qu’il pourra tirer de son investissement. Si le projet l’intéresse, il pourra demander à rencontrer vos principaux clients ou vos fournisseurs, afin de compléter sa compréhension globale. Durant cette phase de prospection, vous devez être réactif à ses demandes d’information et ne pas hésiter à informer l’investisseur en cas de changement de situation (nouveau client, CA en hausse ou en baisse, etc).

10. Sachez valoriser votre entreprise et son projet

Afin de mener à bien les négociations et de convaincre votre potentiel investisseur, il vous sera obligatoire de valoriser votre entreprise et son projet avec réalisme. La valorisation correspond à une évaluation financière de la valeur de ces derniers.
La valorisation est un savant mélange d’expérience et de connaissances de votre marché, notamment des levées de fonds déjà faites par vos concurrents ou votre entreprise par le passé.
Le niveau d’avancement de votre projet innovant et l’atteinte de son marché est également impactant sur sa valorisation. Plus le marché est loin, moins la valorisation est élevée et inversement, plus le marché est proche plus la valorisation est élevée. Un paramètre fondamental sur la ou les premières levées de fonds est le pourcentage de dilution souhaité.

11. Appuyez-vous sur votre Expert-Comptable, s’il maîtrise l’exercice

Dans le cadre de votre levée de fonds, l’interlocuteur principal sur lequel vous appuyer est sans conteste votre propre Expert-Comptable, s’il a une réelle expérience en la matière. Celui-ci dispose d’une vision objective de votre entreprise et de l’historique de son développement. Il partage avec vous la vision stratégique et les intérêts financiers et managériaux de votre entreprise et de son projet. Votre Expert-Comptable est l’interlocuteur désigné pour vous aider à maîtriser et protéger les informations stratégiques ainsi qu’à construire l’aspect financier de votre projet de levée de fonds (valorisation de votre entreprise, prévisions comptables, etc). Sa connaissance du monde de la finance d’entreprise lui permet de vous apporter une aide solide pour choisir le bon investisseur.

Article signé par Innovatech Conseil
www.innovatech-conseil.fr
contact@innovatech-conseil.fr

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Top 250 de Syntec Numérique : les éditeurs de logiciels restent optimistes et semblent peu affectés par la crise

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Syntec Numérique publie l’édition 2020 de son Top 250* des éditeurs de logiciels français réalisée en partenariat avec EY et Tech’In France. Le panorama de référence du secteur fête ses dix ans et cette année 326 entreprises ont pris part à l’enquête et se sont confiées sur leur situation économique, leur organisation face à la crise et leurs ambitions. Comme en 2019, Dassault Systèmes, Criteo et Ubisoft trustent les premières places et quelques entreprises régionales trouvent leur place comme Softway Medical (47ème), Atempo Wooxo (93ème), Neotys (126ème), Digitech (166ème) ou Mailinblack (195ème)…

Un chiffre d’affaires doublé en 10 ans

Avec près de 17 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2019 (+ 8% par rapport à 2018) et 95 000 collaborateurs, les éditeurs de logiciels français représentent un secteur qui n’a cessé de croître au fil de la décennie. Ce chiffre d’affaires a plus que doublé en l’espace de 10 ans : en 2010, les 297 éditeurs qui avaient participé à l’étude avaient réalisé 7,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires édition. Aujourd’hui, la filière reste extrêmement dynamique, innovante et optimiste grâce à une forte capacité de résilience.
‘’Malgré la crise, cette dynamique devrait globalement se maintenir sur 2020 puisque 74% des éditeurs prévoient une croissance ou a minima un maintien de leur activité et 72% anticipent un accroissement de leurs effectifs sur 2020’’ souligne Jean-Christophe Pernet, associé EY en charge de l’étude. ‘’La montée en puissance des modèles d’abonnement et les besoins de digitalisation des entreprises sont incontestablement des piliers de la résilience du secteur. L’actualité du secteur en matière de levées de fonds et d’opération de croissance externe vient également conforter ces prévisions ».
Cette dynamique d’un marché qui ne connait pas la crise est en effet propice à l’émergence d’opérations de croissance externe. L’intérêt des éditeurs de logiciels pour de la croissance externe reste toujours marqué : 22 % d’entre eux déclarent en avoir réalisé une en 2019 et près de la moitié du panel se déclare prête à envisager une opération de ce type à l’avenir. Autre constat dressé par les enquêteurs : ces opérations de croissance ne sont pas réservées qu’aux plus grands éditeurs puisque des éditeurs de taille moyenne en ont également réalisé.

Le SaaS et les offres cloud, nouveaux standards du marché

Les éditeurs français continuent leur transition vers le modèle Software as a Service puisque le chiffre d’affaires SaaS représente aujourd’hui 40% de l’activité de l’édition française. Les éditeurs sont depuis de plus en plus nombreux à considérer le SaaS comme leur priorité technologique numéro 1 (62% cette année contre 49% l’année précédente). Une tendance qui se confirme et s’illustre par la domination actuelle et à venir de l’abonnement parmi les modes de contractualisation.
Pour Jean-Christophe Pernet ‘’Ce modèle a joué un rôle de formidable amortisseur sur l’activité des éditeurs, leurs clients ne peuvent pas, sauf rares exceptions, interrompre les contrats’’.

L’international, un enjeu stratégique

L’enjeu est stratégique mais difficile à relever pour les éditeurs de logiciels français : la part du chiffre d’affaires réalisé hors de nos frontières est de 57% (soit une hausse de seulement 3 points par rapport à l’année dernière). Cette hausse est principalement liée aux champions nationaux pesant plus de 100 M€ de chiffre d’affaires et déjà bien établis à l’international. Les Etats-Unis représenteraient d’ailleurs le second marché après la France : 43% du panel les identifient comme un relais de croissance. Quant aux acteurs plus petits, l’internationalisation reste encore un défi difficile à relever : la moitié des éditeurs du panel réalisent plus de 90% de leur chiffre d’affaires en France.

Autre enjeu-clé, Le financement

La quasi-totalité des éditeurs ont recours à l’autofinancement (90%), signe d’une bonne santé financière du secteur. 68% d’entre eux (contre 62% en 2019) ont aussi recours à l’endettement bancaire et 31% au capital-investissement en France. Il s’agit d’une véritable tendance d’ancrage dans le territoire français et au sein des écosystèmes de financement locaux : seuls 11% ont recourt à du capital venant de l’étranger. Dans le cadre de la crise, les éditeurs de logiciels ont pu avoir recours à des mesures de soutien pour garantir leur croissance.

Une dynamique de recrutement mais une pénurie de talents

Malgré ces perspectives optimistes, le recrutement et la gestion des talents restent des impératifs incertains pour soutenir la croissance : en l’espace d’une décennie, les effectifs des éditeurs de logiciels français n’ont pas cessé de croître et les effectifs des pure players ont quant à eux presque doublé. Près de 16 300 emplois nets ont été créés entre 2017 et 2019 chez les pure players, soit une croissance nette de 20%. Et la crise n’aura pas ralenti cette dynamique de recrutement puisque 72 % des répondants prévoient de continuer à augmenter leurs effectifs en 2020.
Toutefois, les difficultés de recrutement, signalées depuis plusieurs années perdurent et se font ressentir par 78% des éditeurs français. Les profils de développeurs restent toujours les plus recherchés. Réactifs face à la crise, les éditeurs ont su adapter rapidement leurs modes d’organisation : 97% d’entre eux ont eu massivement recours au télétravail, 75% ont développé des outils de formation en ligne et 70% ont mis en place de nouveaux moyens de communication entre équipes et avec leurs clients.

Le succès passe aussi par la R&D

Peu importe la taille des éditeurs de logiciels, l’innovation reste un facteur clé de succès : par exemple, 22% du chiffre d’affaires généré par les éditeurs de petite taille est investi en recherche et développement, contre 18% chez les plus gros éditeurs. Le Crédit Impôt Recherche reste un dispositif plébiscité puisque 72% des éditeurs français y ont recours, tout comme le Crédit d’impôt Innovation utilisé par 55% du panel. Le fort ancrage territorial s’observe également dans la localisation des effectifs R&D de l’ensemble du panel : 69% sont basés en France.

*Méthodologie du panorama Top 250 : Le Top 250 des Éditeurs de logiciels français est réalisé sur la base d’une enquête par questionnaire conduite auprès des éditeurs de logiciels français. Le classement général est effectué, dans cette édition 2020, sur la base du chiffre d’affaires correspondant à l’activité d’édition de logiciels de 326 éditeurs. Seules les sociétés françaises déclarant ne pas être filiales d’un groupe étranger sur l’exercice concerné sont incluses dans ce panorama. Les éléments chiffrés individuels communiqués dans cette étude sont issus de données déclarées par les entreprises en réponse au questionnaire. Dans certains cas, ils sont complétés par des données publiques. Les données de chiffre d’affaires sont arrondies à la centaine de milliers d’euros. Les données ont été collectées auprès des éditeurs entre juin et septembre 2020.

Top 250 des éditeurs de logiciels français

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Avis d'Experts

RisingSUD lance sa chaîne de podcasts ‘’InnovatiON’’

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Chaque dernier lundi du mois, risingSUD se propose de décrypter les grands questions d’innovation avec les entrepreneurs et experts de la région Sud. Lundi 29 juin, l’agence de développement économique de la région Sud, a en effet lancé sa chaîne de podcasts ‘’InnovatiON’’ en partenariat avec le média La Tribune.
Pour risingSUD, il est urgent, face aux mutations économiques, sociales et environnementales, de repenser et transformer nos modèles traditionnels. Pour y parvenir, un seul moyen : L’innovation (nouveaux modèles économiques, nouveaux produits, nouveaux services, nouveaux procédés …). Mais innover pour quoi et innover comment ?
Grâce à la parole d’experts réunis pour l’occasion et à des témoignages de chefs d’entreprises régionaux, les podcasts de la chaîne ‘’InnovatiON’’ donneront un éclairage pointu dur différentes thématiques liées à l’innovation et à la transformation dans l’entreprise.
Ces podcasts d’une trentaine de minutes sont à écouter et réécouter sur toutes les plateformes d’écoute.

https://podcast.ausha.co/risingsud-innov

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Médias IT

La French Tech Aix-Marseille Région Sud renouvèle sa gouvernance et met en œuvre sa feuille de route

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Suite à la tenue de son assemblée générale, le 9 mars dernier, soit une semaine avant le confinement, la French Tech Aix-Marseille vient de largement renouveler sa gouvernance en se dotant notamment d’un bureau renforcé, composé à parité de fondateurs de l’association et de nouveaux venus.

Julie Davico-Pahin

Ainsi, Julie Davico-Pahin, co-fondatrice de la start-up Ombrea, prend la présidence déléguée et son action sera plus particulièrement tournée vers la relation entre les start-up du territoire et les institutions locales.
Notre collectif sera présent au quotidien sur le territoire pour aider les startups à se relancer et à grandir, et faire le lien avec les grandes entreprises et les institutions. Pleinement impliquée dans la tech inclusive et durable, je ferai vivre cet axe fort de notre engagement” précise Julie Davico-Pahin.*

 

Thomas Kerjean

Autre nouvel arrivant, Thomas Kerjean, CEO depuis moins d’un an de Mailinblack, l’éditeur marseillais de solutions anti-spam. Ancien de Microsoft où il était entré en 2002, il a occupé le poste de directeur la division Cloud & IA chez Microsoft France. Au sein de la French Tech Aix-Marseille. Il assurera la fonction de secrétaire général.
Quant à la présidence, elle reste dans les mains de Pascal Lorne, fondateur et dirigeant de Gojob. Président depuis 2018, il a été élu pour un deuxième mandat et poursuivra sa mission auprès du gouvernement, des décideurs de l’écosystème Tech et aussi des partenaires. Il s’engagera également à promouvoir l’excellence de la Tech Aix-Marseille sur tout le territoire et au-delà.
‘’Ce sont les startups qui font la croissance et le monde de demain. La French Tech, en ces temps troublés, a donc un rôle essentiel à jouer auprès de l‘écosystème Tech. Nos valeurs fondatrices prennent aujourd’hui tout leur sens : accompagner, créer et faire grandir les start-up d’Aix-Marseille ! C’est notre ambition et notre mobilisation sera totale pour porter haut et fort tous les talents de notre région.’
Cette équipe en mode projet consacrera toute son énergie à la mise en œuvre d’une feuille de route, ambitieuse pour l’écosystème. En s’appuyant sur ses adhérents, ses board members, ses partenaires publics (Métropole Aix-Marseille, Région Sud, Ville de Marseille, CCIAMP) et privés (Caisse d’Epargne CEPAC, Fidal, SFR, Popkast), la French Tech Aix-Marseille entend jouer pleinement son rôle dans la relance de l’activité en s’appuyant sur cinq axes, plus que jamais d’actualité: Fédérer et faire rayonner l’écosystème, booster le financement des start-up, accompagner les startups à l’international, nourrir un vivier de talents et promouvoir la technologie durable et inclusive.
Enfin rappelons que début mars, quelques jours son assemblée générale, la French Tech Aix-Marseille avait nommé, suite au départ de Virginie Lambert-Ferry un nouveau directeur général, Jean-Baptiste Geissler, anciennement expert innovation pour Rising Sud, l’agence de développement économique de la région Sud.

Lire aussi : [Vidéo] Jean-Baptiste Geissler : ‘’Mon objectif, faire en sorte que le dialogue soit meilleur entre les acteurs de l’écosystème Aix-Marseille’’

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