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Blockchain

[Étude] Quelles sont les 18 tendances émergentes de la Blockchain en 2019

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Le cabinet new-yorkais CB Insights, spécialiste reconnu dans le monde du financement, vient de publier une étude qui regroupe les 18 tendances émergentes de la blockchain (version anglaise). Classées en quatre catégories – Nécessaires, Expérimentales, Transitoires ou Menaçantes – ces futures tendances intègrent les crypto-monnaies, les applications décentralisées (DApp) ou les applications des « distributed ledger » (des registres partagés) dans les entreprises. Les voici en détail.

Les tendances ‘’Nécessaires’’

Échanges « fiat-crypto »
Les échanges « fiat-crypto » permettent aux spéculateurs, investisseurs et amateurs d’échanger des devises comme le dollar ou l’euro contre du bitcoin ou de l’ethereum. Ces échanges font office de pont entre les devises traditionnelles et crypto. Ils génèrent des revenus aux entreprises comme Coinbase (évaluée 8 milliards de dollars) par le prélèvement de frais de transactions.
Minage de bitcoin
Ce sont les vendeurs de pelles et de pioches qui ont fait fortune pendant la ruée vers l’or. C’en est de même avec la ruée vers le bitcoin et les constructeurs d’équipement de minage. Mais si ces fabricants sont très rentables, ils ont vu leurs revenus baisser suite au crack des crypto-monnaies. Résultat, ils devraient suivre Bitfury, qui a levé 80 millions de dollars pour construire du matériel dédié à l’intelligence artificielle ou la réalité virtuelle.
Dépôt de crypto-monnaies
Les institutions financières, pour pleinement entrer dans le monde des monnaies numériques, doivent trouver comment conserver et sécuriser les crypto-monnaies de leurs clients. C’est un problème difficile à résoudre, car les réseaux crypto fonctionnent déjà comme un coffre-fort numérique qui ne s’ouvre qu’au propriétaire d’une clef. Certaines entreprises proposent du stockage hors-ligne de ces clefs numériques, mais les institutions financières devront trouver une solution sécurisée et connectée pour conserver les biens de leurs clients.

Les tendances ‘’Expérimentales’’

Echanges décentralisés
Les échanges de crypto-monnaies passent par des tiers, comme Coinbase ou Binance, qui sont des entreprises centralisées, en règle avec les autorités américaines et qui prélèvent évidemment des frais de transaction. Certains projets promettent des échanges décentralisés, des plateformes sur lesquelles n’importe qui pourrait échanger directement des crypto-actifs, sans frais. Mais ces plateformes se heurtent à un immense problème : les autorités américaines.
Consortiums
En théorie, les consortiums amènent des entreprises concurrentes à collaborer. Mais les projets de consortiums basés sur les registres partagés ont pour l’instant peu fonctionné, notamment car les entreprises parviennent difficilement à collaborer et que ces systèmes ont du mal à s’adapter aux règlementations. Cependant des projets plus précis ont rencontré un franc succès, à l’image de la blockchain IBM, qui s’est principalement focalisée sur le retail en associant des marques comme Nestlé, Walmart ou Kroger.
Stablecoin
L’un des principaux défauts des crypto-monnaies est leur volatilité. Apporter une stabilité à ces monnaies est nécessaire à une réelle adoption commerciale des crypto-monnaies. C’est pour répondre à ce problème que les stablecoins sont nées. Elles peuvent s’appuyer sur différents leviers pour stabiliser les monnaies, soit en adossant la monnaie virtuelle à une monnaie fiduciaire ou encore en utilisant un algorithme qui vend ou achète des obligations automatiquement pour conserver une valeur stable. Malheureusement, bien qu’ayant atteint leur objectif de stabilité, des projets prometteurs sont déjà compromis, comme le mort-né Basis.
Jetons de sécurité
Les jetons de sécurité sont des biens, souvent des parts d’une entreprise ou des titres, qui ont été numérisés sur une blockchain. Mettre ces biens en ligne rendrait leurs échanges directs, plus simples et sécurisés. Mais migrer des biens réels dans une blockchain soulève des interrogations et des difficultés : par exemple, quel rôle auraient l’État et les autorités sur un acte de propriété transféré sur une blockchain ?
Tokens non-fongibles
Des tokens non-fongibles sont des tokens uniques et non-interchangeables, à la différence d’une monnaie fiduciaire comme l’euro (où un billet de cinq euros aura toujours la même valeur qu’un autre billet de la même somme). Si les tokens non-fongibles ont pour l’instant trouvé leur application dans le jeu vidéo, avec les Cryptokitties ou Decentraland, ils pourraient par exemple permettre la possession d’un bien digital unique.
Marketplace de données
Les intelligences artificielles ont besoin de jeux de données énormes pour s’entrainer, d’où le leadership des GAFAM dans le domaine. Mais pour les autres entreprises, obtenir des jeux de données de qualité pour entrainer une intelligence artificielle peut s’avérer très complexe. La blockchain pourrait leur permettre d’accéder à de telles bases de données via des marketplaces de données, de manière sécurisée.
Organisations décentralisées et autonomes
La technologie blockchain pourrait totalement transformer le monde traditionnel des entreprises en permettant la construction de sociétés sans propriétaire, sans compte en banque ni infrastructure financière et même de payer ses employés sans connaître leur nom. Si un premier projet, The DAO, a échoué suite à un hack en 2016, d’autres projets d’organisations décentralisées se mettent en place, comme des juridictions numériques, et les outils pour y parvenir réellement arrivent rapidement.
Gestion de l’identité
La place de garant de l’identité des internautes des géants du web est de plus en plus remise en question. Avec une blockchain vérifiée et ouverte, il sera possible de s’identifier sur Internet sans pour autant céder ses données personnelles à, par exemple, Facebook. Mais cette solution s’oppose à deux problèmes majeurs : l’État, qui ne souhaite pas abandonner son rôle de garant officiel des identités, et les utilisateurs, qui préfèrent la simplicité des acteurs centralisés à la confidentialité de leurs données.

Les tendances ‘’Menaçantes’’

Registres partagés pour les autorisations et paiements
L’utilisation de la technologie des registres partagés serait, pour les banques, un investissement bien plus rentable que les crypto-monnaies elles-mêmes. Les institutions financières ont été parmi les premières à expérimenter les registres partagés, principalement pour gagner du temps et éviter les intermédiaires lors des transactions. Les banques estiment qu’elles pourraient économiser 20 milliards de dollars en appliquant cette technologie à leur infrastructure d’autorisation et de règlement.
Le Bitcoin
Malgré ses dix ans d’existence, le but du Bitcoin reste trouble. Il n’a pas réussi à s’imposer comme la monnaie digitale quotidienne de référence, ni dans les commerces ni dans les échanges entre particuliers. Mais certains pensent qu’il sera un jour adopté comme tel, et non uniquement comme une monnaie de spéculation. Le Lightning Network permet par exemple de payer rapidement et sans frais.
Privacy coins
Les échanges de bitcoin restent traçables : les autorités peuvent surveiller les échanges et plusieurs entreprises se sont spécialisées dans la détection de transactions illégales. Les privacy coins, comme Monero ou Dash, offrent une alternative totalement anonyme aux crypto-monnaies semi-anonymes. Si elles ont longtemps été réservées au marché noir, ces monnaies numériques anonymes commencent à apparaitre sur des plateformes d’échanges comme Gemini et Coinbase.
Registres partagés dans la supply chain
Les registres partagés ont trouvé leur application dans le milieu de la santé, de l’immobilier, de la banque et d’autres industries ; ils pourraient avoir un impact important sur les chaînes d’approvisionnement, permettant de réduire les coûts et de simplifier l’organisation.
Registres partagés et Internet des objets
Les entreprises se tournent souvent vers l’Internet des objets (IoT) pour numériser leurs procédés. Et les registres partagés émergent comme outils pour améliorer cet IoT. Un registre partagé mis à jour au fur et à mesure qu’évoluent les objets connectés, dans une chaine de production ou entre fournisseurs, permettrait une meilleure connaissance de l’évolution de la production et une meilleure précision des inventaires.

Les tendances ‘’Transitoires’’

ICOs
Les levées de fonds via crypto-monnaies ont fait face, aux États-Unis, à une réglementation rigide. Suite à des plaintes du régulateur américain, de nombreuses ICOs n’ont pas eu lieu ou les fonds levés ont été remboursés aux investisseurs : leur nombre a donc largement diminué. Pour que les ICOs s’installent dans la durée, il leur faudra se mettre en conformité avec les règles.
Plateformes de contrats intelligents
La blockchain permet de stocker des accords sur une blockchain publique. D’ailleurs, plusieurs entreprises ayant eu recours à une ICO ont utilisé des contrats intelligents pour construire des applications décentralisées.

 

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Blockchain

Marseille : Skeepers (Avis Vérifiés) rachète la start-up Surprise et parie sur la blockchain

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Spécialisé dans l’expérience et l’engagement client, le groupe marseillais Skeepers (anciennement NetReviews), qui vient d’intégrer le classement Next40 des 40 start-up françaises les plus prometteuses, annonce le rachat de la start-up parisienne Surprise. Editeur du site Avis Vérifiés, la pépite française de l’engagement client, qui authentifie les retours clients de marques telles que Fnac, Darty, But, Carglass ou Sushi Shop, Skeepers a pour ambition d’être présent sur toute la chaîne de valeur de l’expérience client, de la découverte des produits en ligne au parcours d’achat, jusqu’au réengagement à travers des mécanismes de récompense et ce grâce à l’application Surprise et au protocole blockchain Sandblock développé également par les fondateurs de Surprise.

Surprise, l’application pionnière de la blockchain

Cofondée en 2017 par Sarah Diane Eck et Fabrice Bascoulergue, Surprise a développé une application qui permet à des marchands de proposer un mécanisme de récompenses « cashback » pour tout achat, physique ou en ligne, dans un commerce de proximité. Ces dernières sont calculées de manière à augmenter la visibilité et le chiffre d’affaires du commerçant, sans que celui-ci n’ait besoin d’une compétence particulière en marketing digital et sans perte de temps.
L’application repose sur le protocole blockchain open source Sandblock, un des projets les plus aboutis en termes de recherche et développement dans le domaine des rewards sur blockchain. Sandblock, c’est la volonté de créer un réseau décentralisé de partage de données et de valeur qui garantit aux participants la juste répartition des récompenses associées à la donnée (ex: récompenses clients suite à un achat ou à une review), la fiabilité des données remontées et une visualisation plus fine des mécanismes qui ont conduit à une récompense. Soulignons que la start-up Surprise a été retenue «solution de sortie de crise» par le gouvernement français à destination des commerçants indépendants en avril 2020.

Objectif : créer des synergies technologiques

Après avoir intégré son concurrent brésilien Trusted Company en 2018, et les pépites Mediatech-cx et Teester il y a quelques mois en France, le groupe Skeepers, maison mère d’Avis Vérifiés, se dote avec la suite logicielle de Surprise d’une technologie d’authentification et de traçabilité inégalée – ultime maillon de la relation de confiance entre marques et consommateurs – et d’une solution de reward extrêmement innovante. L’acquisition de Surprise dont le montant n’a pas été communiqué, va permettre entre autres à Skeepers d’augmenter le taux de conversion sur les demandes de reviews et récompenser les consommateurs sur la base d’indicateurs représentants la qualité d’une review ou d’une réponse déposée sur le système (qualité du texte, contenu additionnel type image ou vidéo). Aujourd’hui, neuf achats sur dix sont effet conditionnés par la consultation d’avis d’autres clients. Un système de récompense (réductions, bons d’achat, fidélisation…) peut ainsi être mis en place pour les avis les plus utiles à d’autres consommateurs.
Chacune des sociétés reste pour l’instant indépendante, même si le groupe marseillais qui compte désormais 245 salariés répartis entre Marseille, Nantes et la région parisienne et qui est déjà présent dans 44 pays, « réfléchit à des synergies technologiques » entre toutes les sociétés acquises.

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Blockchain

Marseille : KeeeX aide la Fondation UEFA pour l’enfance a amorcé sa transformation numérique

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La pandémie de Covid-19 et ses conséquences comme celles liées aux difficultés actuelles de se déplacer à l’international auront obligé bon nombre d’entreprises et d’institutions à négocier leur virage vers le numérique. C’est notamment le cas de la Fondation UEFA pour l’enfance qui a bénéficié pour cela de la collaboration de la start-up marseillaise KeeeX et de sa solution de protection des données basée sur la blockchain pour la certification et la traçabilité de documents, de processus et de décisions.

275 projets dans 109 pays

Depuis sa création en 2015, la Fondation UEFA pour l’enfance soutient des projets proposant des mesures pratiques pour aider les enfants vulnérables dans les domaines du sport, de la santé, de l’éducation, du développement personnel et de l’emploi. À ce jour, elle a déjà financé 275 projets, dans 109 pays, sur les six continents. Pour veiller à ce que les financements soient utilisés à bon escient, que les activités soient conformes au mandat et que le projet respecte le code d’éthique de la Fondation, un représentant est envoyé sur place pour procéder aux vérifications nécessaires. Une tâche essentielle qui implique néanmoins des coûts importants, en temps et en argent, et exerce un impact négatif sur l’environnement mais une tâche qui ne peut être réalisée aujourd’hui pour cause de Covid-19.

Une technologie ancrée dans la blockchain

La solution, c’est KeeeX qui la fournit avec sa technologie innovante ‘’Photo Proof Pro’’ composée d’une application mobile destinée essentiellement aux professionnels qui permet aux organisations partenaires sur site de prendre des photos et des vidéos pour illustrer l’utilisation du financement lié au projet en question. Cette application génère des données fiables (intégrité, identité, horodatage et géolocalisation) afin d’assurer l’origine et l’authenticité des informations ainsi transmises.
‘’Bien qu’il soit important de se rendre sur place dans le cadre de certains projets, cette solution d’audit à distance nous permettra de faire des économies importantes en matière de déplacements et de réduire notre empreinte carbone’’, explique Urs Kluser, secrétaire général de la Fondation UEFA pour l’enfance. ‘’La gestion des financements destinés à nos partenaires sera ainsi mieux contrôlée, et les économies réalisées permettront à la Fondation de soutenir davantage de projets’’.
Avec l’application Photo Proof, la Fondation peut suivre les activités des différents projets sans se déplacer. Les photos sont alors ‘’keeexées’’ et leurs preuves d’existence sont écrites pour toujours sur la Blockchain. En outre, grâce à Photo Proof Pro, les bénéficiaires peuvent participer à l’évaluation qualitative du projet.
‘’La Fondation UEFA pour l’enfance illustre de façon remarquable la force éthique d’une relation de confiance dématérialisée et transparente, une relation rendue possible par notre technologie associée à la blockchain Bitcoin’’ explique Laurent Henocque, fondateur et CEO de KeeeX.
En janvier 2021, un projet pilote a été lancé en collaboration avec trois organisations non gouvernementales (ONG) basées respectivement en République démocratique du Congo, en Jordanie et en Ukraine.

La Fondation UEFA pour l’enfance s’est inscrite aux Prix 2021 du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) avec KeeeX. Ces prix récompensent des projets d’excellence en matière de mise en œuvre des résultats du SMSI, en particulier en ce qui concerne la réalisation des objectifs de développement durable (ODD). Ils répondent à une demande des parties prenantes du SMSI, à savoir la mise en place d’un mécanisme efficace d’évaluation des projets et des activités qui tirent parti des possibilités des technologies de l’information et de la communication (TIC) pour promouvoir le développement durable. Les lauréats seront connus en mai 2021

https://fondationuefa.org/
https://keeex.me

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#Covid 19 : eMana (Aix-en-Provence) et Keeex (Marseille) se mobilisent pour aider les entreprises à ‘’télétravailler’’

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Face à la crise sanitaire que nous connaissons à laquelle se rajoute une crise d’ordre économique, de nombreuses entreprises innovantes de la région se mobilisent et mettent en place des mesures de solidarité envers les entreprises qui doivent le temps du confinement assurer la continuité de leur activité notamment en télétravail. A situation d’exception, mesure d’exception !

Ainsi eMana, start-up aixoise, propose de mettre gratuitement à disposition sa solution mail sécurisée 100% française, une messagerie intelligente et collaborative qui priorise le traitement des emails et classe automatiquement l’ensemble des données. eMana pour ‘’electronic man assistant’’ permet ainsi aux managers et à leurs équipes de se consacrer à des tâches à plus forte valeur ajoutée pour l’entreprise. La solution a été conçue pour aider à structurer le travail collaboratif et le travail à distance. À partir de vos emails, eMana construit votre armoire personnelle, et constitue automatiquement une armoire commune à l’entreprise.  La messagerie intelligente se synchronise avec votre boîte mail, intercepte tous vos emails reçus et émis, les classe automatiquement et surtout range les documents associés. De par ses fonctionnalités, elle correspond aux deux conditions nécessaires au bon fonctionnement du télétravail : Garder la synergie relationnelle entre chaque personne d’une équipe, assurée par les moyens de communication rapides (téléphone, visio ou messagerie instantanée) et échanger des connaissances par le partage de documents, condition essentielle pour travailler ensemble à distance, assurée par eMana.
’Nous pouvons vous offrir eMana en moins de 24H, la mise en service est simple’’, explique Raynald Wauters, dirigeant fondateur d’eMana. ‘’Si vous ne souhaitez plus notre messagerie intelligente en fin de pandémie, eMana se débranche aussi vite qu’il se branche’’.
L’offre d’eMana est valable le temps du confinement pour les 200 premières entreprises qui se manifesteraient et est limitée à 5 utilisateurs par société.
https://www.emana.io/

De son côté, la start-up marseillaise KeeeX créée par Laurent Henocque se mobilise aussi pour venir en aide aux entreprises touchées par la crise sanitaire et ses conséquences économiques et a décidé de mettre gratuitement à disposition des TPE/PME deux de ses applications jusqu’au 30 Juin 2020.
La première est une application web, KaaaS, qui permet de ‘’keeexer’’, signer numériquement, horodater et ancrer la preuve d’existence de vos fichiers sur la blockchain pour les rendre vérifiables par tous. L’outil est notamment utilisé pour garantir l’authenticité de documents, déposer des preuves d’antériorité, signer numériquement des fichiers.
La seconde, Photo Proof Pro, est une application mobile permettant de recueillir des preuves photographiques et vidéos, l’audit à distance, la saisie de formulaires, la preuve de passage par flash de QR codes. Les fichiers sont horodatés et géolocalisés et peuvent être envoyés directement sur vos serveurs. Photo Proof Pro peut être utilisée pour une expertise à distance, des preuves de présence, des états des lieux ou la dématérialisation de processus logistiques.
Les entreprises intéressées peuvent se manifester sur contact@keeex.net

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