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Digital marketing & sales

[Étude] 83% des sites e-commerce sont rentables ou à l’équilibre

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Oxatis, spécialiste des solutions de création de sites e-commerce, a dévoilé la 12e édition de son étude* « Le Profil du e-commerçant » en 2019. Réalisée en partenariat avec la Fevad et le cabinet Ernst & Young. Il ressort de cette étude annuelle que le digital est plus que jamais un levier de croissance fort pour les PME françaises, « Avec un bon niveau de rentabilité, un impact positif du Web sur les magasins physiques (points de vente traditionnels), des perspectives de recrutement très favorables et une présence forte dans les petites communes, l’e-commerce représente une opportunité de croissance majeure« , résume l’étude publiée le 5 février dernier.

De plus en plus de e-commerçants rentables ou à l’équilibre
80% des commerçants interrogés qui ont des canaux de vente physiques et digitaux constatent un impact positif de leur activité commerciale digitale sur leur activité en magasin physique. Ils étaient 65% en 2017. Le digital est reconnu comme un facteur de retour sur investissement pour la majorité des entreprises françaises : 83% des e-commerçants sont rentables ou l’équilibre en 2018.
C’est donc une bonne nouvelle pour les e-commerçants d’autant que ce chiffre est en progrès, puisque la proportion des sites rentables en 2017 était de 33%, et que cette valeur passe à 53% en 2018 soit une augmentation de 20 points. La proportion des sites déficitaires a baissé quant à elle de 19%. A noter que sur le segment BtoB, 87% des sites des PME sont rentables. « Cette croissance devrait encore se renforcer dans les prochains mois sur un marché qui avoisinera les 200 milliards d’euros à l’horizon 2022, soit plus de deux fois le marché actuel du BtoC en France, selon les prévisions de l’Insee« , ajoute l’étude…

Les outils webmarketing de mieux en mieux maîtrisés Les réseaux sociaux : un levier de plus en plus utilisé
Cette étude révèle aussi une meilleure maîtrise des outils de webmarketing. Ainsi Google Ads est en très nette progression (+55% des e-commerçants qui l’utilisent ont des résultats positifs).
On constate également que les e-commerçants se diversifient dans leur usage des leviers digitaux de croissance : 67% utilisent des campagnes textuelles Google Ads, et 61% s’appuient sur Google Shopping pour mettre en avant leur produit.
Les réseaux sociaux sont plus que jamais un levier important pour dynamiser les ventes en ligne : Facebook reste la plateforme préférée des e-commerçants avec 79% d’utilisateurs. Mais Instagram s’impose de plus en plus dans le paysage avec 37% d’utilisateurs.
Concernant le social ads, là aussi les chiffres sont en hausse. 55% des e-commerçants diffusent des annonces sur Facebook Ads (contre 28% en 2017).

Le e-commerce, un secteur qui se porte bien
Autre signe qui montre la bonne santé de ce secteur d’activité : le recrutement. Le e-commerce a créé 9 800 emplois en 2018. Pour 2019, 23% des e-commerçants se déclarent prêt à embaucher un nouveau salarié.
Quant aux profils de candidats recherchés, il s’agit moins d’experts de logistiques, de préparateurs ou de gestion des stocks (26%), que d’experts en commerce et marketing (43%).
Ces recrutements changent la typologie des entreprises e-commerçantes. L’étude d’Oxatis révèle que la part des sociétés de plus de 5 salariés a triplé en trois ans en passant de 12% à 25%.

Enfin, l’enquête montre que presque un e-commerçant sur deux est implanté dans les communes de moins de 20 000 habitants (45%). « L’e-commerce est donc en train de s’affirmer comme un réel contributeur au dynamisme et à l’attractivité économique des territoires […]. Les PME de l’e-commerce participent donc à renverser la tendance au déclin démographique dans les territoires et permet de concilier judicieusement la digitalisation des PME avec une décentralisation réussie« , conclut l’enquête.

*Enquête menée par Oxatis sur plus de 1900 e-commerçants du 27 novembre 2018 au 22 décembre 2018. 403 répondants en France. La méthodologie, le processus de collecte et de traitement des informations ainsi que les résultats chiffrés ont été audités et validés par Ernst & Young en janvier 2019.

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Blockchain

Marseille : Skeepers (Avis Vérifiés) rachète la start-up Surprise et parie sur la blockchain

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Spécialisé dans l’expérience et l’engagement client, le groupe marseillais Skeepers (anciennement NetReviews), qui vient d’intégrer le classement Next40 des 40 start-up françaises les plus prometteuses, annonce le rachat de la start-up parisienne Surprise. Editeur du site Avis Vérifiés, la pépite française de l’engagement client, qui authentifie les retours clients de marques telles que Fnac, Darty, But, Carglass ou Sushi Shop, Skeepers a pour ambition d’être présent sur toute la chaîne de valeur de l’expérience client, de la découverte des produits en ligne au parcours d’achat, jusqu’au réengagement à travers des mécanismes de récompense et ce grâce à l’application Surprise et au protocole blockchain Sandblock développé également par les fondateurs de Surprise.

Surprise, l’application pionnière de la blockchain

Cofondée en 2017 par Sarah Diane Eck et Fabrice Bascoulergue, Surprise a développé une application qui permet à des marchands de proposer un mécanisme de récompenses « cashback » pour tout achat, physique ou en ligne, dans un commerce de proximité. Ces dernières sont calculées de manière à augmenter la visibilité et le chiffre d’affaires du commerçant, sans que celui-ci n’ait besoin d’une compétence particulière en marketing digital et sans perte de temps.
L’application repose sur le protocole blockchain open source Sandblock, un des projets les plus aboutis en termes de recherche et développement dans le domaine des rewards sur blockchain. Sandblock, c’est la volonté de créer un réseau décentralisé de partage de données et de valeur qui garantit aux participants la juste répartition des récompenses associées à la donnée (ex: récompenses clients suite à un achat ou à une review), la fiabilité des données remontées et une visualisation plus fine des mécanismes qui ont conduit à une récompense. Soulignons que la start-up Surprise a été retenue «solution de sortie de crise» par le gouvernement français à destination des commerçants indépendants en avril 2020.

Objectif : créer des synergies technologiques

Après avoir intégré son concurrent brésilien Trusted Company en 2018, et les pépites Mediatech-cx et Teester il y a quelques mois en France, le groupe Skeepers, maison mère d’Avis Vérifiés, se dote avec la suite logicielle de Surprise d’une technologie d’authentification et de traçabilité inégalée – ultime maillon de la relation de confiance entre marques et consommateurs – et d’une solution de reward extrêmement innovante. L’acquisition de Surprise dont le montant n’a pas été communiqué, va permettre entre autres à Skeepers d’augmenter le taux de conversion sur les demandes de reviews et récompenser les consommateurs sur la base d’indicateurs représentants la qualité d’une review ou d’une réponse déposée sur le système (qualité du texte, contenu additionnel type image ou vidéo). Aujourd’hui, neuf achats sur dix sont effet conditionnés par la consultation d’avis d’autres clients. Un système de récompense (réductions, bons d’achat, fidélisation…) peut ainsi être mis en place pour les avis les plus utiles à d’autres consommateurs.
Chacune des sociétés reste pour l’instant indépendante, même si le groupe marseillais qui compte désormais 245 salariés répartis entre Marseille, Nantes et la région parisienne et qui est déjà présent dans 44 pays, « réfléchit à des synergies technologiques » entre toutes les sociétés acquises.

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Digital marketing & sales

Marseille : La Fédération Commerce en 13 et la startup 18h08 lancent la première braderie en ligne de quartier

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Organiser la première braderie en ligne de quartier, l’idée est née de la rencontre entre Audrey Lucchinacci, la dynamique présidente de la Fédération Commerce en 13 (FC13) qui multiplie les initiatives avec les entreprises innovantes locales pour soutenir les commerçants via Shopinsud et les deux jeunes fondateurs de la startup marseillaise 18h08Alexis Duvernoy et Hugo Bourdillon.

Audrey Lucchinacci, présidente de FC13

Le concept est simple. Chaque jour à 18h08 pile, du 17 au 24 février, le site de la start-up propose les produits, à prix cassés, d’une vingtaine de boutiques, Elle M, Freedom, By Ambroisine, HSport, Firenze…, pour cette première opération, toutes sont localisées dans le quartier Saint-Barnabé dans le 12e arrondissement de Marseille.  ‘’Notre objectif est d’organiser des braderies digitales de quartier dans tout Marseille puis à Aix en Provence et dans toute les communes Bouches-du-Rhône’’, explique Audrey Lucchinacci.
Grâce à la plateforme originale de ventes privées 18h08 créée en janvier 2021, c’est l’occasion de profiter de remises allant jusqu’à -60% sur les vêtements pour hommes, femmes et enfants tout en faisant travailler les commerçants locaux en cette période de crise. Le but est aussi de faire connaître les boutiques tout en leur permettant, comme le font les plateformes des géants du secteur, d’écouler leurs invendus.
Mais alors pourquoi 18h08 ?. « On a remarqué qu’il y avait un pic de commandes sur le web entre 18h et 18h30. C’est l’heure à laquelle les français commencent à prendre leur téléphone à la fin de la journée donc autant donner un rendez-vous fixe sur ce créneau », justifient les deux fondateurs.

Site de la Fédération Commerce en 13 : https://shopinsud.io/
https://18h08.fr/

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Digital marketing & sales

NewOxatis déploie des partenariats avec les communautés de communes pour soutenir les commerçants

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Les collectivités prennent les devants pour accompagner durablement les commerçants. La crise sanitaire a profondément impacté les acteurs économiques et impose aujourd’hui à tout commerce de repenser sa stratégie de digitalisation et d’accélérer sa mise en œuvre. Conscient des enjeux du click and collect en particulier ou du e-commerce en général, les petits commerçants sont de plus en plus nombreux à vouloir ouvrir un canal de vente en ligne. Pour autant, ils sont souvent hésitants devant le type de solution à choisir et les ressources à employer pour la mise en ligne de leurs produits. Pour répondre concrètement à ces problématiques, la société marseillaise NewOxatis propose aux communautés de communes une solution e-commerce éprouvée tout en formant une personne ressource au sein de la collectivité territoriale pour assurer la gestion des sites marchands. Une initiative qui vient d’être récemment portée avec succès par la Ville de Plaisance du Touch et la Communauté de communes de la Save au Touch (département de Haute Garonne).
’Notre volonté n’est pas seulement d’apporter une solution ponctuelle de Click and Collect avec des conditions préférentielles, mais surtout de s’inscrire dans une action pérenne’’ précise Philippe Guyot, président de la Communauté de commune de la Save au Touch. ‘’L’objectif est, à terme, que chacun de nos commerçants puissent développer un site e-commerce personnalisé pour en faire un outil de vente durable. Le partenariat avec NewOxatis s’inscrit dans cette démarche et leur permettra de se vendre et d’être visibles sur Internet bien au-delà de l’urgence sanitaire’’.

Un recrutement local pour un accompagnement de proximité

Pour être au plus près des e-commerçants et des producteurs locaux, la communauté de communes a recruté un agent, spécialement formé par les équipes de NewOxatis, pour pouvoir prendre en main rapidement la création et la gestion des sites de la collectivité.
Cette nouvelle recrue, sous les recommandations des commerçants, se charge d’intégrer les produits et de faire le paramétrage de la boutique. La part de travail des commerçants est considérablement réduite et consiste essentiellement à établir la liste des produits qu’ils souhaitent vendre puis gérer la préparation des commandes et la vente proprement dite.
« Dès le lancement du projet nous avons eu 4 demandes de commerçants et producteurs de produits locaux. Notre agent a déjà commencé la création de leurs sites. Pouvoir s’appuyer sur une personne ressource qui fait un vrai travail de proximité en se déplaçant dans les commerces est un soutien très apprécié par les commerçants qui ne sont pas des spécialistes du web » souligne Philippe Guyot.

S’appuyer sur l’expertise d’un acteur majeur du e-commerce en France

NewOxatis qui a rejoint le groupe CMA CGM en mars 2020 est éditrice d’une solution de création de sites e-commerce et capitalise sur une forte expérience auprès des TPME puisque 57% des e-commerçants clients de NewOxatis (sur 7000 références en France) utilisent également des canaux de vente « physique », et ce tout particulièrement en privilégiant des magasins en nom propre (1). Ces magasins sont domiciliés en grande partie dans des communes de moins de 10 000 habitants, et leur présence sur internet leur permet, en tant qu’acteurs économiques locaux, de contribuer au dynamisme des territoires en favorisant l’emploi et le commerce traditionnel.
Le projet de la communauté de communes de Haute Garonne devrait faire des émules compte-tenu de l’annonce du gouvernement concernant le grand plan de numérisation du commerce, doté de 120 millions d’euros, dont 60 millions d’euros sont destinés aux collectivités pour leur permettre de se doter de plateformes communales de commerces en ligne.

(1) Etude Profil du e-commerçant Fevad- NewOxatis-Kedge (2020)

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