Bonjour, veuillez faire une sélection:

(*format pdf)

(** à défaut d'un CP en format pdf, vous pouvez nous envoyer les infos ici)

Vos infos

Suivez-nous

(Mais pas de trop près quand même...)

Logiciels, applications

La TPE de Meyreuil Editag attaque le marché industriel

Publié

le

Le spécialiste du tag hybride, notamment (re)connu par les musées, fondations et galeries d’art, vient de lever 660 K€ auprès de divers investisseurs pour accompagner son développement sur le marché industriel et accélérer son industrialisation.

 Avec ses solutions de supervision d’objets de valeur, la société basée dans l’Hôtel technologique de l’Europarc de Meyreuil (13) figure parmi les petites pépites françaises du numérique. Et ceux qui ont lui fait confiance dès le début ne se sont pas fourvoyés. Créée en 2007, la société, labellisée Entreprise Innovante des Pôles, a bénéficié à son lancement du Dispositif d’Amorçage de Provence (DAP) de Pays d’Aix Développement (communauté du Pays d’Aix), d’une aide d’Oseo (aujourd’hui bpifrance), et fut lauréate du Réseau Entreprendre en 2009.

660 K€

Aujourd’hui, les deux cofondateurs – Frédéric Pithoud et Pierre Moreau –, qui détiennent le capital aux côtés de salariés, viennent de lever plus d’un demi million d’euros auprès de PACA Investissement, le fonds de co-investissement créé par la Région PACA avec le soutien financier de l’Europe (Feder), CAAP Création (Crédit Agricole), la SCR Provençale et Corse (BPPC), Alumni Business Angels et Var Business Angels*.

Rupture technologique dans les musées

Ancien directeur de production chez STMicrolectronics, Frédéric Pithoud, qui visait pourtant au départ la clientèle industrielle, a finalement attaqué en premier le marché culturel auquel la société a apporté une vraie innovation avec sa solution monalitag® dédiée à la supervision des œuvres d’art qui rend l’œuvre d’art hyper connecté. Une gamme apte à gérer tant des opérations basiques (inventaires, maintenance…) que complexes (sécurité renforcé lors des expositions, traçabilité complète des mouvements et suivi des conditions de transport).

Le Louvre pour client

Sur ce marché, la TPE, qui présentera ses nouvelles innovations au Salon International des Techniques Muséographiques (SITEM) ces 3, 4 et 5 février, compte de nombreux musées parmi ses clients dont le MuCem, Le Louvre de Lens … et c’est elle également qui a équipé l’exposition Cézanne-Picasso au musée Granet à Aix-en-Provence en 2009. Forte du « savoir-faire technique et commercial » capitalisé sur ce segment, elle vient de développer une solution de supervision globale des biens – Global Asset Monitoring – à destination du marché industriel sur lequel elle a déjà des références (Schering-Plough du groupe Merck, régie des transports publics de Marseille RTM).

Booster les process industriels

« L’utilisation optimale des moyens industriels et la recherche d’efficacité opérationnelle sont des facteurs clés dans l’industrie. Pour réduire les temps de cycle, diminuer les stocks et en-cours, simplifier voire automatiser les différents process, il faut avoir une visibilité complète sur les opérations industrielles et moyens associés. Nous avons développé une solution capable de « faire parler » tous biens ou actifs industriel ­­— parc de mobilier, de matériel informatique, de véhicules, palettes, bacs plastiques etc. ­—, dans le but d’en augmenter le niveau de sécurité ou d’en optimiser le process », détaille la direction. Et c’est pour accompagner le développement de la solution brevetée (mOOntag®) que les fondateurs ont décidé d’ouvrir leur capital. Pour se différencier dans l’environnement très concurrentiel de la RFID, elle entend capitaliser sur les performances techniques (faible consommation, portée radio…) ainsi que sur la modularité de ses tags minutiarisés compatibles avec les systèmes de gestion existants de l’entreprise. La solution Editag peut coûter entre 5 000 euros et 1 M€.

Internationalisation

Encore peu présente à l’international (4 % de son CA), mais en développement avec un bureau en Allemagne et un partenariat d’affaires aux États-Unis, Editag souhaite s’appuyer sur cette levée de fonds pour accélérer son internationalisation. La société emploie 10 personnes et revendique un CA proche de 1 M€ (comptes non déposés).

Adeline Descamps

* Depuis juillet 2011, PACA Investissement, géré par Turenne Capital, a déjà investi dans 34 entreprises régionales innovantes pour un montant total de 12,4 M€.

Facebook Comments
Lire la suite
Commenter

Répondre

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Ecosystème

Allauch : Sportall lance sa 1ère offre payante avec le média ‘’Fight Nation’’ dédié aux sports de combat

Publié

le

La plateforme 100% sport, Sportall, créée il y a à peine 5 mois à Allauch dans les Bouches du Rhône qui est accompagnée par l’incubateur marseillais Belle-de-Mai dédié au Multimédia et l’incubateur parisien de la Sportech Le Tremplin, poursuit son développement. La jeune pousse annonce la signature d’un partenariat stratégique avec le média ‘’Fight Nation’’, première plateforme numérique en Europe dédiée aux sports de combat et lancée récemment par Arnaud Romera, journaliste depuis plus de 20 ans, ancien président de la Ligue Nationale de Boxe.
« Nos Lives et nos émissions deviendront vite les rendez-vous incontournables de tous les fans français des sports de combat » avance Arnaud Romera, directeur général de Fight Nation.
Devenant la plateforme de diffusion de ‘’Fight Nation’’, Sportall va ainsi diffuser du contenu exclusif aux deux millions de fans de boxe, MMA, Karaté, en France et confirme ainsi son modèle « freemium » mêlant contenus gratuits et payants. Depuis 2020, ce sont plus de 20 disciplines sportives qui sont désormais disponibles sur l’application Sportall grâce à des contenus en direct ou à la demande.

Lire aussi :  Allauch : Sportall, la plateforme vidéo en streaming dédiée au sport, lance son application mobile gratuite

Une offre de lancement à moins de 30 euros par an

Plus de 2 000 heures de programmes sont déjà disponibles sur Fight Nation et 80 galas et combats seront diffusés en direct en 2021, dont les premières diffusions du MMA français. Sportall produira certains contenus live et les contenus éditoriaux seront ajoutés progressivement par Fight Nation.
Cette première offre payante s’intègre dans l’offre Sportall, disponible sur l’application Sportall lancée en novembre 2020 et sur le site internet https://tv.fight-nation.com récemment développé spécifiquement par Sportall pour ce média.
L’offre Fight Nation sur Sportall sera payante à partir du 1er mars, au prix de lancement de 29€99 pour la 1ère année. Par la suite, l’abonnement passera à 59,99€/an. Par saison, Fight Nation proposera plus de 80 soirées en live et en exclusivité impliquant les plus grands champions français.
« Cette première offre payante montre que la diffusion des sports premium est déjà possible sur Sportall. Elle ouvre la voie à d’autres annonces dans le courant de l’année 2021 » indique Thierry Boudard, PDG de Sportall.
L’offre est déjà disponible sur Sportall et permettra de regarder le combat du samedi 27 février en live : duel au sommet pour la première Fight Nation ! Le jeune Jaouad Belmehdi (10V • 0D • 3N) affronte chez lui, à Béziers, l’amiénois Sabri Sediri (13V • 1D • 1N) pour le titre vacant de champion de France des poids-légers. Une rencontre des plus indécises entre deux espoirs de la boxe hexagonale précédée de trois combats professionnels. Seulement sur Fight Nation !

https://www.sportall.fr/
https://tv.fight-nation.com

Facebook Comments
Lire la suite

Ecosystème

Saint-Rémy-de-Provence : Betoobe annonce l’ouverture de 20 postes sur les prochains mois

Publié

le

L’éditeur de Saint-Rémy-de-Provence, Betoobe, accélère et lance une campagne de recrutement de grande envergure pour accompagner sa forte croissance en France. Les postes sont proposés au siège de l’éditeur dans la région marseillaise et pour certains en France en Télétravail.
Editeur d’une plateforme permettant de gérer l’intégralité du cycle de vie des flottes mobiles, Betoobe a réalisé en 2020 une croissance de plus de 300 % malgré le contexte de crise sanitaire qui a profondément ébranlé les capacités d’investissement des entreprises. Dans ce contexte, Betoobe a signé de nombreux nouveaux projets et prévoit de poursuivre sa croissance de l’ordre de 200 % en 2021. Betoobe va désormais réinvestir ses bénéfices pour faire évoluer sa solution et mener à bien de nouveaux projets.
L’éditeur souhaite donc étoffer ses équipes techniques, support et commerciales. En rejoignant Betoobe, les futurs collaborateurs intégreront une société dynamique qui positionne les valeurs d’innovation, d’expertise et d’excellence opérationnelle au centre de sa stratégie. Betoobe s’attachera à leur proposer un cadre de travail bienveillant où ils pourront acquérir en continu de nouvelles compétences et évoluer dans un environnement dynamique.
‘’Nous souhaitons recruter des talents qui désirent nous accompagner dans notre développement et évoluer dans une startup qui souhaite faire grandir ses équipes, clients et partenaires’’, précise Sébastien Reverdy directeur associé chez Betoobe. ‘’Betoobe est l’une des rares entreprises à permettre de travailler dans ces conditions pour le compte de clients toujours en recherche d’innovation et de solutions leur permettant de positionner la mobilité comme un axe clé de leur croissance à long terme.’’
Présentation de quelques postes ouverts chez Betoobe :
– Support Technique : technicien (ne) support à Saint-Rémy-de-Provence (13) et Salon de Provence (13) (plusieurs postes)
– Business Developer (Siège, Toulouse, Lyon, Paris)
– Chef (fe) de Projet (s) (Siège)

La description des postes est disponible à l’adresse suivante : https://betoobe.fr/recrutement/

Facebook Comments
Lire la suite

Blockchain

Marseille : Skeepers (Avis Vérifiés) rachète la start-up Surprise et parie sur la blockchain

Publié

le

Spécialisé dans l’expérience et l’engagement client, le groupe marseillais Skeepers (anciennement NetReviews), qui vient d’intégrer le classement Next40 des 40 start-up françaises les plus prometteuses, annonce le rachat de la start-up parisienne Surprise. Editeur du site Avis Vérifiés, la pépite française de l’engagement client, qui authentifie les retours clients de marques telles que Fnac, Darty, But, Carglass ou Sushi Shop, Skeepers a pour ambition d’être présent sur toute la chaîne de valeur de l’expérience client, de la découverte des produits en ligne au parcours d’achat, jusqu’au réengagement à travers des mécanismes de récompense et ce grâce à l’application Surprise et au protocole blockchain Sandblock développé également par les fondateurs de Surprise.

Surprise, l’application pionnière de la blockchain

Cofondée en 2017 par Sarah Diane Eck et Fabrice Bascoulergue, Surprise a développé une application qui permet à des marchands de proposer un mécanisme de récompenses « cashback » pour tout achat, physique ou en ligne, dans un commerce de proximité. Ces dernières sont calculées de manière à augmenter la visibilité et le chiffre d’affaires du commerçant, sans que celui-ci n’ait besoin d’une compétence particulière en marketing digital et sans perte de temps.
L’application repose sur le protocole blockchain open source Sandblock, un des projets les plus aboutis en termes de recherche et développement dans le domaine des rewards sur blockchain. Sandblock, c’est la volonté de créer un réseau décentralisé de partage de données et de valeur qui garantit aux participants la juste répartition des récompenses associées à la donnée (ex: récompenses clients suite à un achat ou à une review), la fiabilité des données remontées et une visualisation plus fine des mécanismes qui ont conduit à une récompense. Soulignons que la start-up Surprise a été retenue «solution de sortie de crise» par le gouvernement français à destination des commerçants indépendants en avril 2020.

Objectif : créer des synergies technologiques

Après avoir intégré son concurrent brésilien Trusted Company en 2018, et les pépites Mediatech-cx et Teester il y a quelques mois en France, le groupe Skeepers, maison mère d’Avis Vérifiés, se dote avec la suite logicielle de Surprise d’une technologie d’authentification et de traçabilité inégalée – ultime maillon de la relation de confiance entre marques et consommateurs – et d’une solution de reward extrêmement innovante. L’acquisition de Surprise dont le montant n’a pas été communiqué, va permettre entre autres à Skeepers d’augmenter le taux de conversion sur les demandes de reviews et récompenser les consommateurs sur la base d’indicateurs représentants la qualité d’une review ou d’une réponse déposée sur le système (qualité du texte, contenu additionnel type image ou vidéo). Aujourd’hui, neuf achats sur dix sont effet conditionnés par la consultation d’avis d’autres clients. Un système de récompense (réductions, bons d’achat, fidélisation…) peut ainsi être mis en place pour les avis les plus utiles à d’autres consommateurs.
Chacune des sociétés reste pour l’instant indépendante, même si le groupe marseillais qui compte désormais 245 salariés répartis entre Marseille, Nantes et la région parisienne et qui est déjà présent dans 44 pays, « réfléchit à des synergies technologiques » entre toutes les sociétés acquises.

Facebook Comments
Lire la suite

Facebook

Trending

X
X