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Economie numérique

#Covid19 : L’État et la Région Sud établissent un plan de bataille de 1,4 Mds d’euros au profit de l’économie régionale

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La pandémie mondiale du virus Covid-19 représente un basculement historique majeur. Partout, elle engendre des conséquences sociales, financières et économiques sans précédent. En Provence-Alpes-Côte d’Azur, Pierre Dartout, Préfet de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Préfet des Bouches-du-Rhône, et Renaud Muselier, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Président de Régions de France, ont organisé un front commun pour proposer aux entreprises un Plan d’urgence, de solidarité et de relance, à la hauteur de la crise historique que nous traversons.
Lundi 30 mars, les représentants économiques de la région et les trois grandes Métropoles de Provence-Alpes-Côte d’Azur se sont réunis autour du Préfet et du Président de la Région pour s’organiser et faire état de la situation économique régionale.
Ainsi au 26 mars, ce sont quelque 14 400 établissements de la région Sud qui ont recouru à l’activité partielle pour plus de 115 000 salariés.
‘Depuis 10 jours, l’activité économique et la consommation ont chuté de plus d’un tiers en France, du jamais vu en un temps si court. Les entreprises, notamment les TPE PME qui constituent le socle de l’économie régionale, sont touchées de plein fouet. Après seulement 10 jours, près de 98 % des entreprises se déclarent impactées’’ souligne Renaud Muselier, Président de la Région Sud, Président de Régions de France. ‘’L’urgence de la situation appelle à une prise de mesures exceptionnelles pour venir en aide aux soignants, aux entreprises, mais aussi à tous les secteurs directement touchés par cette crise. C’est pourquoi nous avons décidé de mettre en place ce Plan d’urgence et de solidarité de 227,5 M€, dont 70 M€ d’aides sont directement adressées aux entreprises régionales. La Région met en place une série de dispositifs aux critères assouplis pour répondre aux besoins de tous les secteurs’’.

Mise en place d’une cellule régionale de veille économique

Afin de suivre l’évolution de la situation économique de la région, de s’assurer de la mise en œuvre des mesures gouvernementales et de suivre leurs effets, Pierre Dartout a souhaité mettre en place une cellule régionale de veille économique qui associe la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, la Direction Régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt, la Direction Régionale des Finances Publiques, Banque de France, CCI, CMAR, l’URSSAF, la Banque Publique d’Investissement.
En sus de cette cellule, le Préfet de région entretient des contacts réguliers avec les chambres de commerce, de métiers et d’agriculture, avec le patronat et certaines organisations syndicales mais aussi avec un certain nombre de filières de la pétrochimie, de l’aéronautique, du transport ou du BTP.
Les Régions viennent en soutien des mesures exceptionnelles mises en place avec leurs moyens et au regard de leurs compétences. Dans cette période de crise, l’Etat et les Régions de France font preuve de méthode, de solidarité et d’unité. C’est pourquoi la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur a souhaité mettre en place un Plan d’urgence et de solidarité capable d’amortir le choc de cette crise et un Plan de relance et d’investissement pour rétablir l’économie régionale dès que possible.
‘’Après l’urgence, il faudra pouvoir accompagner la relance de notre économie en soutenant nos entreprises et leurs investissements. Il faut donc s’y engager. Face à cette situation, nous avons bâti un Plan global d’1,4 milliards d’euros pour relancer l’économie régionale dans les meilleurs délais. Nous pourrons nous appuyer sur nos partenaires, nos trois grandes Métropoles et nos territoires pour agir dans ce cadre’’ conclut Renaud Muselier.

Plan d’urgence, de solidarité́ de la Région Sud : 227,5 millions d’euros

En Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Région Sud lance un Plan d’urgence, de solidarité́ et de relance aux côtés de l’Etat pour accompagner les habitants du territoire à travers cette crise. Un Plan régional d’urgence et de solidarité́ pour Provence-Alpes-Côte d’Azur : 227,5 millions d’euros pour répondre immédiatement à la crise

1. L’urgence : Les soignants et les entreprises : 124 millions d’euros pour la 1ère ligne

  • Face à l’urgence et à la propagation du virus, la Région a engagé́ 12 M€ pour le personnel soignant.

✓ En effet, un dispositif exceptionnel de 8 M€ a été lancé pour que les 14 000 étudiants en santé (stagiaires paramédicaux, externes en santé) mobilisés en première ligne, puisse avoir droit à une prime de 200€ pendant toute la durée de la crise. Pour faciliter le déplacement des soignants, la
gratuité des transports régionaux a été mis en place à leur attention jusqu’à nouvel ordre.

✓ Depuis le 21 mars, un décret autorisant les collectivités à commander des masques a été publié. Dès sa parution, la Région a passé une commande de 4 millions de masques homologués, qui seront livrés la semaine du 30 mars, sous le contrôle d’un comité d’éthique Agence Régionale de Santé – Région.

  • 42 M€ de Fonds européens déjà sécurisés dans cette crise.
  • Le Plan d’urgence pour les entreprises représente quant à lui une enveloppe de 65 M€
    ✓ La Région Provence-Alpes-Côte d’Azur a décidé de participer au Plan de Solidarité́ National lancé par l’Etat à hauteur de 18 M€. L’apport global des Régions de France est de 250 M€ sur un total d’1 milliard d’euros. Ce plan est renouvelable dès le mois d’Avril selon l’évolution de la situation, et se décompose en 2 volets :
    • 1er volet : 1 500 euros pour les TPE et les indépendants
    • 2ème volet : 2 000 euros, avec une co-instruction Etat/Région des dossiers supérieurs
    ✓ 47 M€ en aides directes de la Région pour soutenir toutes les entreprises, pour déposer son dossier un guichet unique Région a été mis en place au 0 805 805 145, et par mail à l’adresse : guichetmonfinancement@maregionsud.fr. Pour plus d’informations, consultez le site
    ✓ Maintien des délais de paiement sous 21 jours sous réserve de l’impact du délai de transmission des pièces justificatives dû au télétravail.
    ✓ Suppression des pénalités de retard pour les entreprises touchées par la crise du COVID-19, dans le cadre des marchés passés avec la Région Sud.
  • Le Plan d’urgence pour le secteur de l’Agriculture représentera 5 M€
    ✓ 5 M€ spécialement sécurisés pour les entreprises agricoles
    ✓ Mise en place de simplification des règlements pour maintenir le paiement de toutes les aides FEADER.

2. La solidarité économique et sociale : « Ne laisser personne sur le bord du chemin » : 103,5 millions d’euros pour soutenir tous les secteurs touchés

  • Ouverture des 2 CREPS d’Aix-en-Provence et Boulouris pour accueillir les SDF – 190 places
  • Mise à disposition possible des internats aux soignants: déjà en place à Toulon dans le Lycée Rouvière.
  • Redistribution de 15 000 masques récupérés dans les lycées de la Région aux réseaux de santé, dont les pharmacies voisines.
  • Mise en place d’une chaîne de solidarité en cours pour les bénévoles volontaires qui veulent s’engager.
  • Une enveloppe de 4,5 M€ dédiée à la jeunesse, l’enseignement supérieur et la recherche
    ✓ Une aide de 2 M€ pour le rapatriement pour tous nos étudiants régionaux en stage ou poursuivant leurs études à l’étranger, en partenariat avec les quatre universités de Provence- Alpes-Côte d’Azur.
    ✓ 2,5 M€ pour assurer le maintien et prolongation du financement des doctorants régionaux.
  • 5 M€ sanctuarisés et versés pour le monde sportif,malgré les annulations. Les subventions votées seront maintenues.
  • Pour la Culture, une enveloppe globale de 35 M€
    ✓ 30 M€ sanctuarisés et versés malgré les annulations pour que les subventions votées soient maintenues.
    ✓ Et mise en place d’un Plan exceptionnel de 5 M€, pour que notre région
    reste terre de Culture
  • Accompagner les compagnies et artistes les plus fragiles.
    • Renforcer le soutien aux structures permanentes et festivals.
    • Renforcer nos aides à la diffusion artistique dans nos six départements.
    • Abonder les dispositif d’Etat dans les domaines des musiques, du livre, du cinéma ou des arts plastiques.
  • Pour les Transports, 21 M€ débloqués
    ✓ Plan de soutien pour les transporteurs de voyageurs et scolaires (77% des montants initialement
    prévus pour un service plein).
    ✓ Adaptation quotidienne du Plan régional de transports pour couvrir les besoins spécifiques des
    soignants et des salariés.
    ✓ Suspension des prélèvements en avril des paiements des Pass annuels pour les abonnés aux TER.

Plan de relance pour l’après-COVID en région Sud : 1,2 milliard d’euros d’investissements massifs

  • 88 M€ de soutien aux Maires et aux Intercommunalités pour démultiplier l’action des collectivités : 78 M€ déjà sanctuarisés et 10 M€ supplémentaires
    ✓ Soutien aux communes avec 25 M€ sanctuarisés et 10 M€ supplémentaires mobilisés pour un « FRAT COVID».
    ✓ Soutien aux projets des intercommunalités et des Métropoles: 53 M€ pour un « CRET COVID » (avec option de réévaluation des priorités nouvelles de chaque territoire).
  • Investir 50 M€ pour moderniser le service public d’éducation dans les Lycées
    ✓ Développement du numérique et amélioration des équipements et des infrastructures dans nos lycées.
  • Moderniser le service public de transport régional avec 762 M€ programmés
    ✓ Achat de trains, acquisition de cars, plan de modernisation des infrastructures (contrat de
    performance avec SNCF Réseau), tout aux normes COP d’avance (trains à batterie, amélioration des performances, cars électriques, GNV, hydrogène…).
  • 100 M€ investis par la Région pour contribuer au programme « Autoroute du quotidien »
    ✓ En cohérence avec notre convention « Autoroutes durables» avec Vinci, grand programme de travaux routiers pour le territoire, avec la participation de l’Etat, des Conseils Départementaux et
    des Métropoles.
  • Accompagner la relance des entreprises avec un objectif de relocalisation industrielle : 17 M€, à travers la création d’un fonds de participation stratégique post-COVID.
    • Relancer l’industrie touristique avec un dispositif dédié de 2,6 M€

    ✓ Plan de promotion, d’attractivité et de relance post-COVID.
    ✓ Restructuration de la demande internationale, européenne et française en partenariat avec Atout
    France, le Comité́ Régional de tourisme et les partenaires associés, en lien étroit avec les professionnels.
  • Plan d’investissement « Mieux vivre en Provence-Alpes-Côte d’Azur » (2022-2027) : 155,5 M€, en faveur de :
    ✓ La production des énergies renouvelables
    ✓ La rénovation énergétique des bâtiments et la transition énergétique de l’habitat ✓ La transition énergétique dans le cadre de la rénovation urbaine
  • Un engagement historique de 100 M€ pour la recherche et les conditions de travail des soignants au Contrat de Plan Etat-Région.
    ✓ Renforcer le soutien aux chercheurs en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
    ✓ Financement du SAMU régional et investissement dans des travaux ou des constructions pour améliorer les conditions de travail des soignants.
    ✓ Démultiplier les points locaux d’accès aux soins: objectif 150 maisons régionales de santé en 2023.

 

 

 

 

 

 

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Economie numérique

Syntec Numérique prévoit un recul de 4,6% du secteur IT en 2020 et table sur 1% de croissance en 2021

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Lors de sa conférence semestrielle tenue jeudi 3 décembre, Godefroy de Bentzmann, président de Syntec Numérique, a présenté un bilan 2020 du secteur IT moins négatif que prévu malgré le ralentissement provoqué par la crise sanitaire. S’appuyant sur les résultats d’une enquête téléphonique commandée à IDC et réalisée du 5 octobre au 6 novembre 2020 auprès de 235 entreprises du secteur du numérique, l’organisation professionnelle des acteurs du numérique prévoit un recul de 4,6% du chiffre d’affaires de ses adhérents sur l’ensemble de 2020, avant un rebond de 1% en 2021.
« Le marché du numérique résiste mieux que la moyenne des secteurs en France, car il est stimulé par la transformation digitale des organisations », souligne Godefroy de Bentzmann dans un communiqué.
Syntec Numérique n’a pas manqué de souligner que c’était beaucoup mieux que les -6,7% anticipés lors de son enquête de printemps et que le secteur ferait deux fois mieux que le reste de l’économie. Cela n’en reste pas moins une déception pour un secteur qui affichait encore une croissance de 4,2% en 2019. Ainsi, cette année, 41% des entreprises interrogées seront en décroissance. Et seulement 33% en croissance.
La situation est par ailleurs contrastée selon les métiers : Ce sont les éditeurs qui ont le mieux résisté avec un chiffre d’affaires en hausse de 0,3% en 2020 (contre 6,6% en 2019). A l’inverse, les entreprises de services du numérique (ESN) reculent de -4,2% (contre +3,1% en 2019).  Mais ce sont les entreprises d’ingénierie et de conseil en technologies (ICT) qui sont les plus touchées par le ralentissement économique. En 2020, leurs revenus ont plongé de 12,3% en raison de leur lien avec les secteurs en crise de l’aéronautique et de l’automobile durement touchés par la crise sanitaire. Les SMACs (social, mobilité analytique, Cloud) sont restés les moteurs de l’activité, avec une croissance estimée à +6,4% par rapport à 2019 (+12,2% pour le seul cloud). Dans ce secteur, le risque de suppression d’emplois est présent et plus de 10 000 postes sont en danger, selon le Syntec Numérique.

Rebond attendu pour 2021

Sur 2021, Syntec Numérique prévoit une croissance de 1%, mais ce rebond « reste limité et conditionné par l’évolution de la crise sanitaire et à la situation économique des clients ». La situation est pour l’instant contrastée suivant les différents acteurs de la filière. Cette croissance devrait être portée par une augmentation des dépenses IT « qui connaîtront une hausse importante pour 53% des organisations (clients & prospects) en 2021« , selon le Syntec Numérique. Les éditeurs de logiciels devraient repartir plus vite (+3,8%), suivis par les ESN (+1%) puis l’activité de conseil en technologie qui devrait toujours être en décroissance l’année prochaine (-3,3%).
Sur le front de l’emploi, les recrutements repartent à la hausse avec de nouveaux des tensions sensibles sur certains profils (notamment sur les métiers de la cybersécurité, l’intelligence artificielle, l’IoT…). Seuls bémols, la croissance sera limitée par l’absence de croissance embarquée des effectifs sur la partie conseil et le fait qu’un certain nombre d’entreprises clientes se sont fixé comme objectif de renégocier leurs contrats fournisseurs. ‘’Deux entreprises sur trois’’ dans le ‘’numérique disent avoir stabilisé ou augmenté leurs effectifs en 2020’’, selon le Syntec numérique.

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Economie numérique

Nice : Qwant s’engage pour un monde meilleur en signant le manifeste Tech For Good

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Soucieux de protéger la confidentialité des données de ses utilisateurs, Qwant est plus que jamais en phase avec l’initiative « Tech For Good ». Avec 49 autres entreprises engagées, le moteur de recherche éthique souhaite répondre aux grands enjeux de notre temps à savoir, réduire la pauvreté, donner un accès à une éducation de qualité pour tous, lutter contre le réchauffement climatique et donner accès à une énergie propre à un coût abordable. Pour cela, il vient de rejoindre Tech For Good France, un réseau d’entrepreneurs et d’investisseurs qui développent et financent des solutions Tech et digitales afin d’accélérer la transition vers une société plus durable et plus responsable. De ce fait, Qwant est signataire du manifeste du même nom, pour répondre aux objectifs de développement durable inscrit dans l’agenda « Horizon 2030 » fixés par l’ONU. Au cœur de cette approche, une conviction : la technologie ne profite à la société, aux citoyens et aux consommateurs que si elle respecte leur vie privée, leur autonomie, leur liberté de choix et de compréhension.
‘’Ce manifeste Tech For Good représente toutes les valeurs que nous nous efforçons de mettre en place depuis la création de Qwant : éthique et responsabilité, souligne Jean-Claude Ghinozzi, le patron de Qwant. ‘’Au-delà du défi entrepreneurial, c’est un véritable engagement sectoriel des plus grands acteurs mondiaux, pour faire de la technologie le socle inébranlable sur lequel reposeront, les principes fondamentaux d’un monde meilleur.’’

Le défi du manifeste

Les 50 entreprises s’engagent à :

  • coopérer avec les efforts de la communauté internationale, dans le respect de l’État de droit et conformément à un devoir de vigilance et de transparence, pour mettre en place l’interdiction des contenus pédopornographiques, des contenus terroristes ou d’extrême violence en ligne, la réglementation des contenus haineux, la désinformation et la manipulation des opinions ;
  • mettre en œuvre dans leurs produits et services des principes tels que la “sécurité par la conception » et la « vie privée par la conception », la durabilité et la protection de la liberté de choix des consommateurs ;
  • assumer leurs responsabilités économiques et sociales en contribuant équitablement aux taxes dans les pays où ils opèrent ;
  • soutenir les efforts de recherche mondiaux pour développer une compréhension commune de la technologie, et organiser leurs recherches en consultation ou en collaboration avec les scientifiques et les citoyens, par exemple par l’ouverture et le partage des données en toute confiance et l’interopérabilité des plateformes ;
  • profiter de la révolution technologique pour relever les défis sanitaires et environnementaux ; pour contrôler, réduire et gérer les incidences de leurs activités sur l’environnement ; pour soutenir la transition écologique de leurs industries respectives ; et pour poursuivre les objectifs des Nations unies en la matière ;
  • veiller à ce que leurs technologies favorisent l’intégration sociale, professionnelle et économique, fassent progresser l’accessibilité de leurs services à tous, en particulier aux personnes handicapées et aux personnes traditionnellement marginalisées ou exclues, et réduisent partout la fracture technologique numérique ;
  • promouvoir la diversité et l’égalité des chances, notamment en ce qui concerne la justice sociale, l’inégalité des richesses, l’égalité des sexes et des races, l’affiliation religieuse et l’orientation sexuelle dans leurs stratégies d’entreprise, ainsi que dans la conception de leurs technologies et processus, dans la mise en œuvre de leurs solutions, dans l’expérience de l’utilisateur et dans la chaîne de valeur ;
  • soutenir les efforts visant à élargir la culture technologique, à éduquer le plus grand nombre possible de personnes à une connaissance raisonnée et à une utilisation responsable des données et des technologies et, à cet effet, renforcer la coopération entre les gouvernements, les entreprises, les universitaires, les communautés technologiques et la société civile.
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Cluster, association

Syntec Numérique et Tech‘In France fusionnent pour devenir l’acteur de référence dans le numérique

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La décision était attendue de longue date. Deux des principales organisations de la filière Tech en France, Syntec Numérique et Tech’In France ont annoncé vendredi 27 novembre leur intention de fusionner en 2021. Les conseils d’administration des deux organisations professionnelles du numérique en France ont entériné cette fusion. Elle devrait donner naissance à une nouvelle structure et marque, dont le nom n’est pas encore communiqué, d’ici le 2ème trimestre 2021. Son cadre juridique et sa nouvelle gouvernance restent encore à définir.

Les présidents de Tech’In France, Pierre-Marie Lehucher, et de Syntec Numérique, Godefroy de Bentzmann (Crédit Photo : Beger-Levrault/Syntec Numérique)

Déjà engagés dans des travaux communs, les représentants d’entreprises du numérique ambitionnent de faire de cette nouvelle entité l’interlocuteur de référence des entreprises du numérique pour les pouvoir publics en France et en Europe. La nouvelle entité représentera  65 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 600 000 emplois directs (éditeurs, SSII, intégrateurs, fournisseurs de services…).
Syntec Numérique et Tech’In France ont ciblé 5 grands enjeux, jugés prioritaires pour la France en matière de numérique, auxquels ils pensent pouvoir répondre par cette fusion : la place du numérique dans la société ; la France numérique en Europe ; la croissance et la compétitivité de nos entreprises du numérique ; la transformation numérique de toutes les entreprises et administrations, vecteur de croissance de l’économie ; les enjeux sociaux, sociétaux et écologiques du numérique.
Rappelons que le Syntec Numérique a été créé en 1969 sous le nom Syntec Informatique (devenu Syntec Numérique en 2010) pour représenter des entreprises de services du numérique (ESN), des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies. Aujourd’hui, il représente 2 000 adhérents réalisant 80% du chiffre d’affaires total du secteur. L’association Tech in France, quant à elle, a été créée en 2006 sous le nom d’AFDEL (Association française des éditeurs de logiciels) et comptabilise aujourd’hui 400 entreprises adhérentes. Sa mission est de rassembler et représenter des éditeurs de logiciels, de services internet et de plateformes.

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